Le Robot Sentimental
Dans la ville de Paris, en l'an 2055 vivait une jeune femme. Elle était une scientifique, de renom très respecter. La jeune femme avait élaborer, toutes sortes d'expérience. Et elle avait réussi à créer le premier robot humanoïde, automatisé. Il était capable de se débrouiller tout seul.
Ce robot avait l'apparence d'un jeune homme d'une vingtaine d'années. Ses cheveux bruns et longs, qu'il portait jusqu'au épaules était toujours impeccablement lisse et brillant. Ses yeux étaient d'un vert si éclatant, qu'on aurait dit deux émeraudes qui brillaient en plein soleil. Ses joues potelet, rappeler celles d'un bébé. Et son air innocent, rappeler un enfant.
Il n'était pas bien mince, un peu bandoulier, et n'était pas bien grand non plus. Il avait des mains toutes délicates, fragile. Certainement pas des mains d'ouvrier.
Il vivait là, dans cette maison avec sa créatrice. Il travaillait pour elle, c'était le rôle d'un robot. Il vivait bien, avait tous ce dont il pouvait avoir besoin.
Et puis de quoi un robot pourrait se plaindre. Un robot ne ressent rien, l'amour, la haine, la colère, tous ça ne signifie rien pour lui. Il n'a jamais connu ses sentiments, et il ne les connaîtra sans doute jamais.
Mais un jour, alors que la scientifique travaillait sur une nouvelle recherche. Le Robot arriva en courant dans le bureau.
— Madame, madame! Cria le robot.
La jeune femme se retourna, pour voir l'androïde devant elle, tenant une lettre dans ses mains. Stupéfaite, la jeune femme ne savait quoi penser. C'était une jeune femme d'une vingtaine d'années, elle venait depuis deux ans de sortir de ses études. Elle possédait des cheveux bouclé, d'un blond platine qui descendaient jusqu'au bas de son dos. Ses cheveux étaient coiffés dans un chignon, qui l'a rendait sévère.
Ses joues creuses laissaient apercevoir sa fatigue, dû aux longues heures de travail, qu'elle effectuait. Ses yeux en amande, d'un bleue si vif qu'on aurait dit, deux saphir qui brillaient aux éclats. Elle n'était pas bien grande, et plutôt mince. Sa poitrine était assez développer. Et elle semblait posséder une grande force musculaire. Elle portait des lunettes noires, qu'elle ne mettait que dans temps en temps, car elle mettait des lentilles de contact.
— Cette lettre vient d'arriver madame. Lui dit-il.
La scientifique prit la lettre dans sa mains, et après l'avoir ouvert. Elle commença à la lire, au bout d'un certain moment. Elle passa la main dans ses cheveux, puis mit sa tête entrain ses mains et soupira.
— Encore un edette, c'est vraiment pas possible. Marmonna t-elle.
— Que dit cette lettre madame ?
— Je te demande pardon ?!
— J'aimerais savoir ce qu'il y a dans cette lettre, s'il vous plaît. Répondit-il.
— Tous-ça ne te regarde pas ! Tu est mon robot, et tu travailles pour moi !
— Je suis désolé, je voulais juste...
— Tu n'as pas à t'occuper de ma vie ! Répondit-elle avec tellement de force, que le robot trembla de peur.
La femme sortit de la pièce, et dans un excès de rage. Elle claqua la porte derrière en sortant fessant trembler le robot.
Les jours avaient passés, et depuis cette dispute. La relation avec la scientifique et le robot, ne c'était pas amélioré. Ils ne se parlaient plus que pour le travail. Et le reste de la journée, ils ne s'échangeaient même pas un regard.
La jeune femme avait de la peine, même si il s'agissait d'une machine. Elle s'était attachée à lui, elle l'avait fabriquer. Et il avait toujours été si gentil avec elle.
La culpabilité l'emportait, elle ne se sentait pas bien. Elle qui était d'habitude d'un calme si grand et d'une bonté si profonde. Le stress prit le contrôle de ses pensées, comment s'excuser auprès de lui ?C'est ce qu'elle se demandait sans cesse.
La jeune femme eut longuement réfléchi, et décida enfin de se lancer. Mais elle n'était pas très douer pour les excuses, et devant son miroir. Elle se répétait sans cesse, quels mots, elle devait dire devant lui.
Camille appela son robot avec une voix douce et rassurante. Le Robot se présenta à la porte de sa chambre. La femme soupira un grand coup.
— Vous m'avez fait appeler madame ? Demanda le robot.
— Oui, je voudrais ... Heu m'excuser.
— Vous excusez, je ne comprends point ce que voulait dire madame.
— La dernière fois, tu t'inquiétais pour moi. Et au lieu de te rassurer, je t'ai rejeter et je n'aurais pas du. Je suis sincèrement désolé, robot.
— Ne vous en faite pas madame, vous savez que je ne ressent pas le moindre sentiment, alors ça ne m'atteint pas. Répondit-il.
— Je sui sheureuse de voir que tu accepte mes excuses. Lui dit-elle.
Le Robot lui fit un hochement de tête amical, et il sortit de la pièce retournant au travail. Quand Camille eut fini sa toute nouvelle recherche, elle appela son robot et tous deux s'étaient rendu à la table. Où ils ont mangé ensemble, bien sûr le robot n'avait pas pu manger. Car si il mangeait, il risquait de faire fusilier ses câbles.
Les jours ont passé, et tout se passer bien pour Camille et son robot. Jusqu'au jour, où la jeune femme reçu un coup de fil. Elle savait qui c'était et pourquoi, cette personne voulait l'appeler. Elle, elle ne voulait pas lui répondre. Mais la sonnerie de téléphone sonnait sans cesse, et au bout d'un moment. Elle n'eût d'autre choix que de répondre au téléphone.
— Oui bonjour madame Parkins, à l'appareil j'écoute.
— Bonjour Camille, ici monsieur Dubok, je suis ici pour vous parler de vos dettes. Répondit-il.
— C'est vous monsieur, oui qu'avez vous à dire, je vous écoute. Lui dit-elle.
— Madame vous n'avez pas payer vos dettes depuis deux mois. Et la loi stipule que j'ai le droit de vendre, un objet qui vous appartient. Afin de rembourser la totalité de vos dettes.
— Que voulez vous vendre ? Demande la jeune femme.
— Je voudrais vendre votre robot. Répondit-il.
— Mon robot ? Non vous ne pouvez pas ! Rétorque-t-elle. Le monde de Camille venait de s'effondrer, le fruit de deux ans de travail venait d'être réduit à néant.
— La loi m'y autorise, votre robot est un bijoux de technologie. Il comblera la totalité de vos dettes.
— Mais j'ai passé deux ans, à le mettre au point ! Vous n'allez pas réduire à néant le fruit de tout ce travail !
— Je suis navrée mais je ne peux pas faire autrement, vous m'avez emprunter beaucoup trop d'argent.
La jeune femme n'eût pas d'autre choix que d'accepter, elle ne savait pas comment annoncer à son robot qu'il allait être vendu. Elle n'avait pas la force de lui annoncer, depuis toute petite, elle n'avait jamais eu d'amis. Toujours seule, et ignorée de tous, on aurait dit un fantôme. Ce robot était son seul ami, il lui portait compagnie, l'écoutait, l'épaulait, était là pour elle.
Le cœur de la jeune femme venait de se briser comme du verre, dans sa chambre, elle pleurait à chaude larmes. Ne pouvant plus se contrôler, elle ne vit pas que son robot était entrer dans sa chambre. Et qu'il essayait désespérément de lui demander ce qui n'allait pas.
Et sans qu'elle ne le remarque, elle avoua à son robot, qu'il allait être vendu. Bizarrement le robot eût un pincement au cœur. Camilla toujours en sanglot, s'accrochait désespérément au bras de son robot. Lui ne prononçait plus un mot, on aurait dit, qu'il avait l'air triste.
Les jours ont passés, et le robot a été vendu, à un homme nommé Barn. C'était un homme dans la cinquantaine, mince, grand avec des cheveux blanc. Un nez aquilin et des yeux globuleux, ainsi que beaucoup de barbe. Il possédait un aspect un peu effrayant, il ne souriait jamais. Et avait toujours un regard strict, il ne semblait pas vouloir rire.
Le robot se rendit chez cet homme, et il fut renommer Félix. Les jours ont passés, et la vie près de cette homme était rude et dur. Au près de Camille, il jouait, parlait avec elle, et fessait toutes sortes de choses amusante. Auprès de cet homme, Félix ne s'amusait plus, et les seules fois où monsieur Barn lui parlait. C'était soit pour lui donner un ordre, soit pour lui hurlait dessus, parce qu'il avait fait bêtise. Monsieur Barn était homme, grossier, vicieux et égoïste. Il ne souciait guère de l'état de Félix. Pour lui, il ne s'agissait que d'une machine, sans émotions et sans âme. Le pauvre Félix travaillait dur du matin au soir, et ne se reposait presque jamais.
Tous les jours, il pensait Camille se demandant comment elle allait. Il savait que Camille était très sensible, et il s'inquiétait pour elle. Il fallait qu'il aille lui rendre visite, mais comment faire pour que monsieur Barn accepte. Ce n'était pas chose facile, mais il fallait bien essayer. Félix le trouva dans son canapé entrain de regarder la télé. Au moment où il l'a aperçu, il s'est levé de son canapé et fronça les sourcils. Son expression facial, pétrifia le robot. Il commençait à avoir peur de lui. Mais il fallait être courageux, et oser demander l'autorisation.
— Monsieur je voudrais vous demander quelque chose. Dit-il.
— Toi tu veux me demander quelque chose ?
— Oui ,je voudrais pouvoir rendre visite à mon ancienne propriétaire Camille.
— Tu veux revoir Camille ?
— Heu, oui monsieur, s'il vous plaît. Répondit-il.
— Labonne blague, vas travailler au lieu de me demander une telle chose!
— Mais monsieur, je voulais juste ...
— Mais quel fainéant, comment j'ai pu acheter un robot aussi incompétent.
Félix sentit son cœur se serrer, il luttait intérieurement pour ne pas craquer. Il avait une envie, violente de partir de cette endroit horrible. Mais il était piégé là, tout seul. La nuit après sa dure journée de labeur, Félix réfléchissait à sa situation .Il commençait à devenir pensive. Ce soir là, il décida de revenir auprès de Camille. Il attendit que monsieur Barn s'endorme pour pouvoir se faufiler discrètement hors de la maison.
Il marcha ainsi dans le froid de décembre, les lumières de la ville étaient éteintes. L'endroit n'était pas rassurant, un frisson parcouru dans le dos de Félix. Il commençait à s'épuiser, il n'avait presque plus de batterie. Le pauvre robot commençait à des spams ,des bugs de plus en plus violent. Il était à bout de force, ses yeux commençait à se fermer. Il allait tomber en panne.
Mais heureusement, il y arriva, il réussit à atteindre la maison de Camille. Il avait utilisé le GPS, qu'elle lui avait intégrer. Afin de retrouver la maison, arrivait devant le seuil de sa porte. Il poussa un soupir de soulagement, pensant que son cauchemar était terminé. Il frappa à la porte, espérant avoir une réponse.
— Camille, ouvre moi ! Camille, c'est moi Félix, ton robot !
La porte s'ouvrit dans un grincement, et Félix pût voir Camille dans sa robe de chambre. Ses cheveux en pagaille, et ses yeux rougis par les larmes et creusaient par les cernes. Sa respiration était rapide, elle écarquilla des yeux en voyant Félix devant elle. Et elle s'est jeté dans ses bras.
— Félix c'est toi, c'est vraiment toi ? Dit-elle en sanglot.
— Oui c'est moi. Répondit-il doucement.
— J'ai cru ne plus jamais te revoir, tu est venu jusque ici tout seul ? Demande t-elle.
— Oui je suis venu tout seul, monsieur Barn est un homme horrible. Je n'étais pas heureux avec lui, et tu me manquais beaucoup.
— Félix c'est vrai, je te manquais ? Demande t-elle.
— Oui c'est vrai, tu est ma seule amie. La seule qui me traite comme une personne. Répondit-il.
— Mais attends une seconde, tu pleures !
— Je pleures vraiment ?
— Mais oui, tu pleures !
Il passa un doigt sur sa cerne droite, pour remarquer une larme. Il sauta de joie.
— Oui je pleure, je pleure ! Je ressens de la tristesse, je ressens des sentiments ?
— Je crois bien que oui, c'est incroyable ! Dit-elle.
Ils se sont serrés dans leurs bras. Les jours ont passés, et grâce à de nouvelles invention. Camille a pût réussir à rembourser toutes ses dettes. Elle a racheté Félix, et ils ne sont ce sont plus jamais quitté. Quand à Félix, il découvrit de nouveaux sentiments, comme la joie, la peur, la surprise...
Camille reçu un prix Nobel de science pour avoir conçut le premier robot capable de ressentir des sentiments. Félix est devenu très célèbre, il avait été interroger par des dizaines chaînes de télévision du pays. La vie ne pouvait pas être plus belle, Félix et Camille vivaient ensemble, travaillaient ensemble, s'amusaient ensemble. Ils ne pouvaient rien demander de plus, il était heureux de travailler avec elle, et c'était réciproque. Camille continua de travailler sur de nouvelles inventions, avec l'aide de Félix qui est devenu son bras droit.
Fin
J'espère que cette première nouvelle, vous aura plus, il s'agit là d'un début et je vais me perfectionner.
Bisous. 😘
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