/!\ Attention, scène à caractère sexuelle ! Public prévenu.

J'entreprends de me déshabiller et laisse mes affaires pliés près d'une souche où ils ne pourront pas être emporté par la tempête.

Regarde ce que je m'apprête à faire pour toi mon amour, malgré le fait que je n'aime plus mon corps.

Entièrement nue, mes cheveux déployés sur mes seins j'avance doucement sur l'herbe chauffer par le soleil avant que sa crise ne commence.

Plus j'avance, plus j'entends sa respiration lourde et erratique qui me transperce le cœur.

Mon homme est à l'agonie.

Je me déplace dans son dos et enserre sa taille, me collant contre lui.

- Pardonne-toi, murmurai-je à son oreille.

- C'est trop dur. Je suis incapable de veiller sur toi.

- Ce n'était pas ta faute.

- Bien sûr que si !

- Tu refuses de m'écouter, dis-je simplement.

- Comment le pourrais-je Ruby, c'était mon père. Son sang coule dans mes veines !

- Tu n'es pas comme lui.

Mes doigts glissent sous son tee-shirt et embrase ma peau de délicieux picotements.

- Tu. N'es. Pas. Comme. Lui, répétai-je doucement en ponctuant ma phrase de baiser dans sa nuque.

- J'ai peur de le devenir.

- Je saurais te ramener près de moi, près de nous.

- Ruby !

- Pardonne-toi mon amour. Je suis là, avec toi.

Une de mes mains quitte son ventre et glisse sur son bras parcouru d'arc électrique. Ma peau glisse sur la sienne comme du velours.

- Tu ne me ferais pas de mal Isaac, regarde par toi-même.

- Mais... Dans la voiture.

- Le bébé n'aime pas que tu sois en colère contre sa mère, simplement.

- Je suis désolé, je ne voulais pas.

- Je sais.

- Pourquoi ne m'as-tu pas réveillé, je serais venu avec toi.

- Tu es là.

- Parce que j'ai senti le lit froid.

- Tu ne comprends pas mon envie d'être seule Isaac, je suis morte, j'ai ressuscité. J'ai changé, je le sens dans la moelle de mes os. J'ai besoin de me redécouvrir seule.

Le tonnerre au-dessus de nous gronda plus fort, il était de nouveau en colère. La pluie se mit à tomber par rafale.

- Tu ne sais pas tout non plus Ruby, je me dégoute.

- Chhhhhh, tu as besoin de lâcher toute cette énergie et je suis là.

Il serre les poings à s'en faire blanchir les phalanges, ma main se referme dessus alors que mon autre main continue de caresser son ventre contracté.

- Tu en as besoin, comme j'en ai besoin Isaac.

- J'ai tellement peur de te faire du mal.

- Pourquoi tu m'en ferais ?

Mes cheveux sont trempés, la pluie perle sur mon corps nu mais je n'ai pas froid, au contraire. Quand je suis près d'Isaac, la chaleur parcourt mes veines et allume un brasier immense à l'intérieur de moi. Mes sentiments pour lui sont inchangé, je l'aime.

- Je t'aime, soufflai-je.

- Je t'aime à en crever mon ange.

Il se retourne, agrippe ma mâchoire et abat ses lèvres sur les miennes sauvagement et avidement. Puis s'aperçoit de mon manque de vêtements.

- Qu'est-ce...

Je le ramène vers moi et fouille sa bouche de ma langue, un grondement sort de sa poitrine puis ses mains arpente et caresse ma peau, une seule de ses caresse et mon corps se réchauffe.

- Je me sens vivante avec toi, soufflai-je contre sa bouche. J'ai l'impression de tomber dans le vide à tes côté, c'est ce dont j'ai besoin. Toi et simplement toi.

Il retire son tee-shirt en un tour de main et colle sa peau brûlante contre la mienne, la pluie continue de battre sur nos corps en fusion.

Sa langue entreprend un ballet érotique avec la mienne, je me sens griser, totalement envouter par cet homme qui n'appartient qu'à moi.

Je déboutonne son jeans un peu maladroitement, mes mains tremblent d'excitation, ça fait tellement longtemps, trop longtemps, j'appréhende un peu. Mais je sais que mon corps le réclame à cœur et à cri.

- J'ai rêvé de ce moment tellement de fois, murmure Isaac dans un souffle.

Les flashs de notre première fois me reviennent.

L'injection d'onyx, le sentiment de mourir.

C'était un belle euphémisme, je suis réellement morte et j'étais loin du compte.

Puis mon retour et l'accueil d'Isaac.

Notre première fois.

C'était tellement fort, tellement puissant, intense.

- À quoi tu penses pour sourire comme ça ? me sort Isaac de mes pensées.

- Des souvenirs, murmurai-je.

- De nous ? demande-t-il avec un petit sourire qui fait ressortir sa fossette.

- Notre première fois.

- Mhmm, je me rappel très bien de cette matinée.

- Alors rappel moi comment s'était, murmurai-je contre ses lèvres.

Il agrippe mes hanches et me soulève du sol avant de m'allonger sur l'herbe mouillé, mes cheveux étaler autour de mon visage me collant à la peau. Il dégage quelques mèches de ma poitrine et entreprend de me lécher un téton, un frisson me parcours. Le froid de l'extérieur contre sa bouche chaude. Puis l'autre sein avant de descendre le long de mon corps.

Isaac s'amuse à mordiller la chair tendre de mon bassin, un rire sort de ma gorge.

- Ce rire m'a tellement manqué.

Je tire quelques mèches humide de ses cheveux vers l'arrière afin qu'il me regarde. Il mordit sa lèvre en retenant un grognement, avant de plonger dans mes prunelles.

- Ça aussi, ça m'avait manqué, souffle-t-il.

- Quoi ?

- Tes yeux qui changent de couleurs selon tes émotions, dit-il en caressant ma pommette.

Ce que je voyais dans les siens était un désir brut, un désir puissant, un désir ardent.

- Je te désire autant qu'avant Ruby, rien n'a changer.

Il mord ses lèvres, mes yeux suivirent son mouvement alors que sa langue glisse sur celle-ci. Nos regards se croisent une fois de plus avant que cette bouche si tentante et enivrante se pose sur la mienne une nouvelle fois.

Notre respiration était lourde alors que n'avions encore rien fait, l'appréhension du plaisir qui vibrait dans mes os me mettais déjà en transe.

Plus mes hormones en ébullition, j'étais cuite.

S'il ne me prend pas rapidement, je ne répondrais de rien.

Je laisse retomber ses mèches qui forme un rideau autour de nous et agrippe son jeans.

Il happe mes lèvres avec avidité profitant de la moindre ouverture pour y glisser sa langue et venir caresser la mienne. Mon bas ventre s'embrase, une nuée de papillons s'envole à l'intérieur de mon ventre, puis il plaque son torse musclé sur ma peau comme une couverture chaude et rassurante.

- Isaac, si tu ne me baise pas tout de suite. Il y aura des conséquences, haletai-je.

Son regard croise le mien, puis lentement un sourire étira ses lèvres.

- Voyez-vous ça ? Que de vilain mots dans une si jolie bouche.

Un gémissement sort de ses lèvres alors que mes ongles s'enfoncent dans sa chair et descendent sur ses pectoraux recouverts d'un fin duvet.

- Ce que je veux se trouve là, argumentai-je en promenant ma paume sur le renflement de son pantalon.

- Alors sert toi.

Je descends la fermeture éclair d'un geste rapide et abaisse son pantalon et son boxer d'un même mouvement, mais le jeans en avait décider autrement, il était trempé.

- Aide-moi.

Il se leva et de débarrassa de ses vêtements, son membre était encore plus imposant que dans mes souvenirs. Son sexe pointait vers moi comme un défi à remporter. Je me redresse sur les genoux et empoigne l'arrière de ses genoux et lèche son membre sur toute la longueur.

- Putain, Ruby ! croassa Isaac en empoignant mes cheveux.

- Tu veux que j'arrête ? demandai-je mutine.

Il grogna pour toute réponse en balançant son bassin en avant.

Ma langue glissa sur son gland avant de la prendre dans ma bouche.

- Oh putain !

Mes ongles s'enfonçaient dans la peau tendre de ses cuisses alors que je m'activais sur son manche, après quelques va et vient Isaac me force à m'arrêter.

- Si tu continue je vais jouir.

Il plaque ses lèvres sur les miennes et me rallonge sur l'herbe.

- À ton tour, grogne-t-il.

Il passa sa langue sur un de mes tétons qui pointer dans sa direction, mon dos s'arc bouta et ma gorge lâcha un gémissement.

- Tellement belle !

S'ensuivit d'un second coup de langue sur mon autre téton.

Une fois humide, Isaac souffle dessus envoyant de l'électricité parcourir mon corps. Mes seins étaient à présent douloureux.

- Encore ! soupirai-je la bouche sèche.

- Ma femme est devenue une vrai coquine.

- Les hormones, dis-je.

Il fond sur ma poitrine, aspirant la pointe de mon sein entre ses lèvres et le suça ardemment avant de la mordiller. Un hurlement de plaisir quitte ma gorge.

- Putain Ruby, tu me rends dingue !

Mon compagnon empoigne mon autre sein dont sa bouche ne s'occuper pas, le malaxa et roula la pointe entre ses doigts agiles.

- Même tes seins ont pris du volume, ils sont magnifiques.

J'agrippe ses longues mèches, le souffle court, m'arc boutant contre sa bouche vorace.

Son grognement appréciateur vibra en moi et mit le feu aux poudres, je me mis à onduler du bassin contre le sien réclamant à éteindre ce feu puissant qui me consumer de l'intérieur. Je cherche désespérément un point de contact et ne fût pas déçue de rencontrer son entre jambe qu'il frotta avec ardeur contre le mien.

- Tu vas me rendre fou, grogna-t-il en relevant la tête.

Sa bouche descend, déposant des baisers humides sur ma peau humide. Embrasse mon ventre arrondi et glisse sa langue autour de mon nombril puis souffla une nouvelle fois sur la zone mouillée qui m'hérisse les poils de ma nuque puis un frisson couvrit l'ensemble de mon corps.

- Isaac ! le suppliai-je en ouvrant les cuisses.

En appuie sur les coudes, je découvre Isaac les yeux braqués dans les miens, il agrippe mes chevilles qu'il caressa lascivement et remonte derrière mes mollets, l'arrière de mes genoux puis mes cuisses.

Dépose des baisers mouillés à l'intérieur de mes cuisses, ses cheveux me chatouillèrent la peau. Quand je sentis son souffle chaud se rapprocher de mon entre jambe que je devinais très clairement humide.

Son pouce effleura mon clitoris, auquel je répondis par un gémissement inarticulé.

- Oui, oui ! haletai-je.

Le visage d'Isaac apparu devant moi, sa bouche écrassant la mienne alors que ses doigts caressèrent mon sexe humide.

- Tu es trempé ! grogne-t-il.

- Tu continue de jouer avec moi.

À l'aide de son majeur et son indexe il contourna mon clitoris plusieurs fois, mon cœur au bord des lèvres, la respiration sifflante et une irrépressible envie de le plaqué contre le sol et me servir moi-même de ce quoi il me prive depuis plusieurs minutes.

- Isaac, suppliai-je une fois de plus les larmes aux yeux, des tremblements dans ma voix.

Il descend entre mes cuisses, écarte mes chairs humides et glissa sa langue le long de mon sexe, remontant vers mon clitoris qu'il aspira entre ses lèvres.

- Oh putain oui ! hurlai-je.

Mon corps se mit à trembler de manière compulsive, mes mains accrochées à ses cheveux, hurlant son prénom encore et encore alors que les larmes dévalées contre mes tempes bourdonnantes. Mon bassin remua sous sa bouche avide.

La respiration enfin apaisée d'un premier orgasme, j'ouvre les yeux les joues brûlantes. La langue d'Isaac continue de me lécher pendant quelque seconde quand il se redressa pour approcher son visage.

- C'était magnifique, murmure-t-il en m'embrassant goûtant à mon propre désir sur ses lèvres et sa langue. Tu es prête à présent, souffle-t-il frottant son nez contre le mien.

- Je l'étais déjà, soupirai-je.

Je baisse le regard entre nos deux corps et l'observe alors qu'il attrape la base de son sexe qu'il caresse plusieurs fois en grondant de plaisir, sa main retrouve mon sexe.

Après un dernier va et vient de ses doigts, il les porte à sa bouche léchant ses doigts, il écarta plus largement mes cuisses à l'aide de ses genoux.

- Vient.

Il aligna nos corps, mes cuisses écarter aux maximum et maintenu par ses genoux, le haut de son corps bascula en avant et me recouvrit de son corps, son sexe effleura le mien une première fois le trempant de mes sécrétion qui nous fît gémir tous les deux à l'unissons.

Son regard argenté me cloua sur place, mes mains s'accrochèrent à ses épaules, je sentais son poids peser sur moi mais j'aimais ça et il savait.

Quant enfin il se décida à me pénétrer, la pression dans mon bas ventre me força à écarter encore plus les jambes alors qu'il entrait centimètre après centimètre.

- Tu es tellement étroite, grogne-t-il d'une voix rocailleuse, altéré par son souffle rapide.

- Pas plus que notre première fois, mais ça fait longtemps.

Je me saisis de sa nuque, abaisse son visage et happe ses lèvres, alors qu'il s'enfonce plus profondément en moi. Ma langue caresse la sienne ardemment, je soulève mes hanches en rythme avec les siennes.

- Fait-moi l'amour, suppliai-je encore et encore. Plus fort.

Il sortit de mon corps et replongea la seconde suivante plus vigoureusement, savourant mon gémissement.

Le ciel changea de couleur virant à un noir d'encre encore plus sombre qu'avant. Le tonnerre claqua dans un grondement déchirant le ciel d'éclairs.

L'homme en face de moi entrelaça ses doigts aux miens, continuant ses coups de reins lascifs. L'air autour de nous changea au moment où la tempête redoubla. Complètement en sueur et haletante, mes jambes se refermèrent plus fort autour d'Isaac qui gronda. Sa bouche s'abattit sur la mienne avec force alors que ses coups de reins se firent plus brutaux et rapide.

Le vent sifflé autour de nous, les arbres se broyés en ployait sous la tempête.

Mes ongles ancrés dans la chair de ses mains, je hurlais à présent de plaisir à m'en décrocher les cordes vocales, suivie par ceux d'Isaac qui souffrait apparemment du même mal que moi.

L'électricité crépita autour de nos corps en mouvement, des éclairs bleus volaient dans la clairière émanant de nos corps en sueur alors que le vent continuer de soufflé.

Nos gémissements et nos cris faisait écho dans la vaste clairière qui accueillait nos ébats, le seul bruit à mes oreilles était le claquement du corps d'Isaac contre le mien, la seule odeur qui embauma mes narines était celle d'Isaac et celle du sexe.

Je me redressai et poussa Isaac qui roula à son tour sur l'herbe humide alors que j'enjamber ses cuisses et me plaça au-dessus de lui et m'empala sur son membre en gémissant. Isaac s'agrippa à mes hanches le regard perdu dans le ciel noir avant de revenir sur moi en grognant son plaisir. Sa main caressa mon ventre rebondi alors que j'accélérer l'allure. Il tira sur mes bras pour m'allonger sur lui alors qu'il donna plusieurs coups de reins infernal qui me laboura les entrailles.

- Ruby, je vais..., halète Isaac en serrant les mâchoires.

- Je suis presque...

Il me renversa une nouvelle fois, me donna de puissants coup de reins qui vibra en moi en écho et titilla mon clitoris de son pouce.

Puis le moment où la délivrance m'ouvrit enfin ses bras, mon corps se referma autour d'Isaac alors que nous hurlons notre jouissance ensemble à l'unissons.

La seule chose que je vis avant de sombrer dans l'extase la plus intense était le regard de mon homme et ses lèvres criant mon prénom. Puis son corps retomber lourdement contre le mien, hors d'haleine.

Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés comme ça, mais quand j'ouvris les yeux, mon partenaire reposer encore sur moi, les yeux fermés, la respiration encore lourde.

Le ciel au-dessus de notre tête avait de nouveau retrouver sa couleur bleuté, un coup d'œil autour de nous, m'appris dans quel état lamentable nous avons laisser cette endroit, plusieurs arbres étaient coucher à terre, d'autres déracinés. Un rire quitte mes lèvres, Isaac releva la tête de mon cou et me regarda intensément des arc électrique dansant dans ses prunelles.

- Qu'est-ce qui te fait rire comme ça mon ange ? demande-t-il.

- Regarde autour de toi.

Il tourna la tête d'un côté, puis de l'autre, un sourire en coin.

- Encore mieux que la première fois. Je veux revivre ce moment pour le reste de mes jours.

- C'était intense, soufflai-je contre ses lèvres.

- Incroyable, murmure-t-il alors qu'il embrasser mes lèvres lentement.

Je remue mes membres endoloris et ankyloser, mes mains se posèrent sur la peau humide de son dos qui soupira d'aise avant d'être envahi par la chair de poule. Quelques mèches lui barrer le visage, je pris soin de les glisser derrière son oreille pour découvrir un sourire béat et un visage parfaitement détendu.

- Ça te va plutôt bien se petit sourire béat, le taquinai-je.

- Tu es ma drogue, il me faut ma dose quotidiennement.

Je le frappe sur le torse en riant, alors qu'il sourit en roulant sur le côté m'emportant avec lui toujours enfoui à l'intérieur de moi.

- Ça va ? demande-t-il alors.

- Plus que bien, murmurai-je détendu au possible.

- Tant mieux, sourit-il.

- Pourquoi ?

Il n'avait pas besoin d'en dire plus, je le sentais à l'intérieur de moi qui reprenait de la vigueur.

- Tu es insatiable à ce que je vois, souriais-je.

- J'aimerais profiter de toi avant que nous reprenions la route. Qui sait dans combien de temps nous aurons un moment rien qu'à nous.

Il bougea lentement ses hanches contre les miennes alors qu'un gémissement quitte mes lèvres.

- C'est le plus jolie son que j'ai jamais entendu, soupire-t-il en happant mes lèvres.

- Fait-moi l'amour, susurrai-je.

Mon dos fut une nouvelle fois plaquer contre l'herbe fraiche, le soleil filtré dans la petite clairière réchauffant notre peau. Alors qu'il se tenait au-dessus de moi et me couvrit de tout l'amour qu'il avait à m'offrir. Ce fût doux et lent comme il savait être sauvage et implacable.

Mon homme comprenait mes besoins.

Alors il me fît l'amour, jusqu'à ce que nos corps hurlent de jouissance.

Puis nous avons rejoins le véhicule main dans la main. Lahna et Liam n'avait pas quitter le véhicule, à notre arriver tous les deux avaient les yeux grands ouvert et regarder autour d'eux encore stupéfait.

- Je n'ose même pas vous demandez comment c'était, dit Liam en clignant des paupières.

Isaac tapota le dos de Liam qui sortit de sa contemplation.

- Encore mieux que tu l'imagine, soupira Isaac en se calant sur le siège arrière et m'attirant à lui.

- La vache ! souffla le conducteur.

- Ouais, grogna Isaac content de lui.

- Et tu es encore en vie, dit Liam en me regardant dans le rétro.

- Et super épuisée.

- Tu m'étonne, marmonne Liam en mettant le contact.

Isaac et moi éclatons de rire alors que Liam continuait de maugréer dans ses moustaches sur sa période sèche de sexe, avant qu'il lance un regard que je ne comprenais pas à Isaac. Celui-ci détourna les yeux pour se focaliser sur moi.

Avant de dire ouf, mes yeux se fermèrent et je me laisser bercer par le ronronnement du moteur, les bras d'Isaac enfermer autour de moi.