React 14
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Jeongin
Les pétales de fleures tourne autour de moi. Chaque passant fixe mon être comme si j'étais pitoyable. Les larmes aux yeux des que je sort de chez moi, leurs yeux deviennent mon pire cauchemar. Chaque mètres est un combat, chaque trajet une bataille entière. Le froid contre les roues me glace les mains. Je souffle dessus et aperçoit ma destination au loin. A ma droite, encore un autre passant qui à pitié de moi et qui crois que m'offrir un faux sourire le rend moins coupable de mon état. C'est toujours ainsi. Je suis toujours celui que l'on aide.
"Oh je vais t'aider ! Ca doit être dur pour toi de te servir..."
Il n'utilise même pas le mot véritable de mon état. Eviter la question pour ne pas avoir a donner la réponse. Je suis pourtant la solution même à c'est question incessante qui cour sur leurs lèvres.
"Qu'est ce qu'il a ?"
" Encore un jeune qui a du être alcooliser au volant. On ne peut pas être dans cette état a son âges pour rien."
" Tu crois qu'il a une petite amie ? "
" Le pauvre... Je pourrais pas vivre à sa place..."
Qui prévient les handicapé que leurs siège est aussi un boulet de soumission et de honte constante ? Aurais-je vraiment du mourir plutôt que d'avoir ce cancer ?
T/p: Monsieur ? Je vous serre quelque chose ?
Sans même avoir réfléchi, je me suis retrouver devant ce restaurant pour personne a mobilité réduite. Ici pas de chaise, ni de table serrer les unes contre les autres. La jeune femme face a moi arbore un sourire charmant. Ses yeux observent chaque recoins de mon être. Elle n'est pas gêné. Elle ne me regarde pas non plus comme une bête de foire. Ses geste élégants ravive au fond de moi des sentiments que je croyais disparu a jamais. J'observe moi aussi ses long cheveux brun qui coupe au carré son visage, ses mains non manucuré mais précieuse, ses jambes fine. Elle à tout ce qu'une femme rêve d'avoir. Elle n'est pas plus mais semble être tellement mieux.
T/p: Monsieur ?
Depuis le début de ma nouvelle existence, c'est la première fois que je tombe amoureux.
Qui est cette femmes qui me regarde pour ce que je suis ? Comment tiser des liens quand les miens sont déjà déficeler.
Lee know
Qui aurait cru que tu serais là assise près de ton fiancé. Homme que tu déteste par ailleurs. Avide de pouvoir et d'argent dès son plus jeune âges, Wonwoo et toi êtes des amis d'enfance que le destin avait promis au mariage avant même que vous ne soyez née. Sans réel mécontentement, vous vous êtes fiancer il y a quelque mois et vécu vos vie chacun de votre côté. Faisant parti de la haute société, vous assister a de nombreuse fêtes de riche ou bal de charité. Wonwoo sait s'entourer d'homme qui pourrons le tirer vers le haut alors vous faites toujours bonne figure devant les autres comme des amants filant le parfait petit amour.
Seulement,
Tu ne l'aime pas. Vous avez juste suivi l'avis de vos parents mais aucun de vous n'avez consommé quoi que se soit du soit disant amour entre vous. M'enfin, tu es tout de même assise ici, à côté de celui que tu appel "ton homme". Mais non loin de toi il y a cet homme. Il ne ta pas lâcher du regard depuis que tu es entré dans la pièce. Ton nom frôle une dizaine de fois ses lèvres quand il eu enfin réussi à le connaître. Jaloux de celui qui te tiens par les hanche, il te veut toi. Pas une autre, ni même des centaines ou des millier d'autre. Non, juste toi.
Lee know: Appel Jin. Je veux tout savoir d'elle. Maintenant.
Seungmin
Grande médecin reconnu, tu accueille un nouveau stagiaire aujourd'hui. Mais sa première journée commence déjà très mal.
T/p: Huit heure douze. Il est en retard.
Une collègue: De toute façon il pourrait bien arriver dans deux heures que ça ne changerais rien. C'est le fils du directeur de l'hôpital.
Elle soupire alors que je sert encore plus mon gobelet de café entre les mains. Un fils a papa. Super ! Je souffle alors que je comprend pourquoi personne ne dit rien sur lui depuis le début de la journée. Mais alors que tu te lève en frappant lourdement la table, la porte d'entré de la partie réservé au personnelle de l'hôpital s'ouvre en grand. Un homme habiller d'une blouse blanche et d'un sourire dragueur tendu entre ses joues fait son apparition.
Seungmin: Excusez moi de mon retard. J'étais avec mon père.
Il profite. Tu le sais, même la machine a café la compris. En te levant tu lui demande de te suivre et vous quittez la pièce pour vous élancez dans un long couloir.
T/p: Je serais votre tutrice pour les prochains mois à venir. Je vous préviens tout de suite,
Tu te retourne vers lui alors qu'il te fixe attendant la fin de ta phrase avec excitation.
T/p: Rien a faire de qui est votre père, ici les minutes et les secondes compte plus que le sang qui coule dans vos veines. Alors si vous êtes encore en retard demain, je vous fait changer de service. C'est bien compris ?
Il arbore un sourire en coin alors que tu viens d'attirer pleinement son attention.
Seungmin: Et si j'arrive en avance j'aurais votre numéro ? Vous êtes beaucoup trop sexy en colère.
Hyunjin
C'est toujours une partie d plaisir d'être manager de star internationale. Notez l'ironie.
Aujourd'hui ça fait exactement huit ans que je fais ce métier formidable et remplit de respect et d'amour pour le staff... Non c'est vrai que quelque fois je suis tomber sur des artiste charmant et vrai sympas, mais là... Je donnerais tous ce qu'on veut pour échanger ma place !
Rien à faire, je ne peut pas blairer ce type. Dès que je lui dit quelque chose il fait l'inverse et il me même plu que la vie dur. Mon rêve serait de l'attacher a une chaise et qu'il se taise a jamais. Quoi que il serait capable de bouffer les câbles.
Hyunjin: Manager ! Apportez moi de l'eau. Nan en fait donnez moi un café sans sucre.
T/p: Oui.
Je me lève et file déjà vers le fond de la scène tandis que le grand Hwang Hyunjin, célébré acteur qui fait tomber toutes les femmes, s'installe sur son siège après avoir fini une scène. Je ne sais pas se que je déteste le plus chez lui. Son ton de diva ou la façon qu'il à de sortir inlassablement avec toutes les actrice qui lui tourne autour.
T/p: Prétentieux...
J'attrape donc un gobelet dans la remise et me dépêche de préparer le café. Pendant ce temps deux jeunes femmes du staff entre et me foudroie des yeux alors que je me brule avec l'eau bouillante.
Staff 1: Tu crois que c'est elle ?
staff 2: Elle n'est même pas jolie... Je suis sur qu'elle sort avec lui que pour son argent !
Elles murmurent évidement comme des chiens qui essaient d'être discret et quitte la pièce en insultant de tout les noms ma personne. Dans l'incompréhension, je quitte la remise et part donner à l'autre Don Juan son café. Mais à l'instant même ou je passe le pas de porte, mon téléphone sonne.
T/p: Monsieur le directeur ? je vous écoute.
Directeur : Tu as vu les nouvelles ? Je suppose que non. A partir de aujourd'hui tu te fera passer pour la copine de Hyunjin. Et pas de discussion !
T/p: Attendez... Quoi ?!
Changbin
Evidemment que je suis la seule à tomber. Les flics en couverture c'est un peut comme du bon fromage. Ca n'attire que les connaisseurs ou les souries. Et les souries aujourd'hui ce sont se groupe de proxénètes qui croient que je veut travailler avec eux. Evidemment j'adore montrer mon cul à n'importe qui et j'aime voir des vieux à moitié édenté se toucher la nouille sur moi. C'est bien connu.
????: Elle pue le traquenard.
????: Ouai mais elle est bonne.
C'est deux types devant moi ne sont que des idiots. Je suis dans cette salle depuis plus de trente minutes et aucun d'eux n'a été capable de se décidé si je pouvais entrer dans le club. Qui auraient pu deviner qu'ils étaient aussi renseigné sur les policiers sous couverture.
Idiot 1: Je sais pas quoi faire.
Il se gratte la tête comme un abruti alors que son collègue lui frappe l'épaule.
idiot 2: J'appelle le boss. On verra bien ce qu'il dit.
Les deux débilles bercé trop prêt du mur reparte de la où ils sont venu et je me retrouve une nouvelle fois seule dans la pièce. Avec une simple chaise et une table, j'ai l'impression que ma couverture n'a servi a rien tellement leur mentalité ne doit pas dépasser celle d'un castor. Et encore c'est méchant pour le castor. J'entend alors un grand bruit et la porte face à moi s'ouvre d'un coup. Un homme bien habillé en ressort suivi des deux benets qui ne sont plus vraiment sur de leurs choix d'appeler le fameux "boss".
Le fameux "boss": C'est elle ?
T/p: Nan c'est le mur derrière. Ca se voit pourtant il a un super boule.
Question stupide, réponse qui fâche. C'est comme ça que je fonctionne.
L'homme de noir vêtu exquise un sourire en coin et frappe la table devant moi. J'aurais peut être dû me taire...
"Boss": Tu me plaît. Mais est ce que tu ouvrira ta grande gueule quand tu sera à quatre pattes comme toutes les autres ?
Il perd son sourire et me fixe. Ses cheveux noir retombent sur ses yeux lui donnant un air sexy méchant non négligeable.
T/p: Ca dépend vous faites partie des clients ?
Je souri alors que l'être non déclaré face à moi souri de toutes ses dents.
Sexy-man: Vous deux, aller prévenir Kai, j'ai trouver ma faveur.
Felix
Je ne saurai pas expliquer ce que je fou là.
????: Je te cherche depuis si longtemps.
Je ne saurais pas non plus expliquer comment ce type que je connais ni d'Eve ni d'Adam à réussi à me convaincre qu'il pouvait m'aider. Tout ce que je sais c'est que j'ai quitter précipitamment la maison alors que mes yeux étaient devenu rouge sang. Chaque bruit de pas autour de moi est comme un coup de couteau qui transperce mes tympans. Chaque respiration un coup de fusil. Chaque veine, un oasis prêt à me tendre les bras.
????: Les gens comme toi et moi n'ont pas leur place ici. Surtout pas dans une ville aussi remplit. Si tu me suis je pourrais t'aider. Si tu savait comme j'attendais ce moment depuis longtemps.
Son visage blanc fragile et ses yeux rouge contraste avec l'assurance avec laquelle il parle. Comme si on se connaissait depuis des années, il tiens mon visage face au sien. Mes yeux carmin se noient dans l'océan rougeâtre de sa rétine. Je suis attirer par son être, ses lèvres, sa peau.
Il se murmure dans un souffle à lui même.
????: Qu'elle idée de la rencontrer durant la pleine lune. Je doit rester concentré. Pas de morsure hors contrôle. Felix, reprend toi.
Il se met une claque à lui-même qui fait rougir sa joue joliment. Hors de ma conscience, ma main se pose sur la surface nouvellement rouge et caresse sa peau douce.
Felix: T/p... J'essaie de me contrôler là...
Il connait mon prénom ? Mais est ce vraiment moi ? Je sens mon esprit divaguée dans un oublie qui approche a grand pas. Ses lèvres ne sont pourtant pas si loin. Suis-je encore consciente ? Ou est-ce simplement toute mon âme qui me crie de l'embrasser. Je sens que je suis sur le point de tomber dans les pommes.
Felix: Ne joue pas avec le feu T/p.
Ses yeux rouge se fonce encore plus alors qu'il essaie du mieux qu'il peut de contrôle son désir pour la jeune femme dans ses bras. Celle-ci a depuis bien trop longtemps oublier le mot retenu. Et juste avant de poser ses lèvres sur les siennes et de s'évanouir elle glisse une simple phrase.
T/p: J'ai toujours aimé jouer avec le feu...
Jisung
Quelle ironie de mourir alors que personne ne se souviendra de toi. Le vide face à moi me donne envie de vomir. Je me donne envie de vomir. Mon corps, mon visage, tout mon être me répugne.
T/p: Qui va m'aimer si je ne le fait pas déjà moi-même.
Je suis sur le toît de mon immeuble. Si je tombe d'ici, la chute sera fatal, la douleur inexistante et les dégâts irréparables. Un pied devant l'autre, j'ouvre les bras, comme si mon corps rejoingnait les anges qui me surveillent tout la haut.
????: Personne ne te regarde de là haut crois moi.
Je sursaute alors que la voix à côté de moi me fait rater un pas. Mon visage passe d'abord alors que c'est tout mon corps qui suis. Dans sa chute mon esprit se rend compte de la situation. J'ai à peine le temps de crier que j'anticipe déjà le choc précipité par la voix venu de nul part. J'entends quelqu'un qui hurle en voyant ma descente vertigineuse. Mes yeux s'ouvrent en grand alors que la peur envahie mes veines jusque dans ma voix. Je voulais mourir, pas disparaitre.
La cime des arbres atteinte, mon corps passe en automatique. Mes yeux se ferme. Appreté a recevoir la sentence.
Mais rien ne ce passe.
Mon corps ne ressent rien. Est ce vraiment ça la mort ? Suis-je morte ?
????: Si tu veux mourir, fait le au moins quand je ne regarde pas.
Mes yeux s'ouvre d'un coup sur celui qui semble me parler. Un homme, impavide, observe mon visage alors que je suis allongé sur le trottoir devant l'immeuble d'où j'ai glissée.
*image du dessus*
Chan
A venir....
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