16 | Lingerie

Une fois dans le salon je vois Mila assise bien sagement devant la baie vitrée, comme je m'y attendais. Je lui ouvre alors pour qu'elle aille courir un peu et faire ses besoins puis reprends ma route vers la cuisine.

Je sais que Félicie est morte de faim, elle est restée trois heures enfermée dans cette foutue salle de bain tandis que je m'inquiétais comme jamais.
Je lui prépare donc un petit repas, léger cependant car je ne voudrais pas qu'elle vomisse pendant notre séance. Je dépose ensuite le tout sur la table du salon.

Je repars après dans la chambre et l'observe attentivement. Elle ne bouge pas mais je sais qu'elle appréhende beaucoup ce qui pourrait lui arriver. Je n'ai pas envie de la punir, comme elle l'a dit on est d'abord un couple et je lui ai fait du mal et c'est elle qui m'a, en quelque sorte, puni en restant enfermée seule dans une pièce, loin de moi.
Cependant, j'ai envie de la taquiner un peu.

Je m'approche doucement en essayant de faire le moins de bruit possible puis dépose quelques baisers sur sa chatte. Elle sursaute avant de gémir de plaisir.

J'introduis ensuite ma langue et elle se cambre pour essayer de se coller davantage à mon visage. Je suce alors son clitoris et ses gémissements ne s'arrêtent plus. Mon sexe lui ne demande qu'à la pénétrer mais il est encore trop tôt.

Je mords ensuite l'intérieur de ses cuisses, la faisant crier, tout en introduisant deux doigts en elle. Ses gémissements et ses cris sont un véritable délice et la vue du corps de ma soumise complètement offert à moi ne fait qu'augmenter mon excitation.

Au bout d'un moment je mets un terme à son supplice pour la laisser reprendre une respiration plus lente. J'embrasse ses seins et sa bouche puis la détache avant de la prendre dans mes bras. Elle essaie ensuite de retirer le bandeau sur ses yeux mais une forte fessée de ma part lui fait comprendre de rester tranquille.

« - As-tu faim ?

- Oui Maître.

- Bien. Suis-moi. »

Je l'aide à se relever correctement puis elle s'agrippe à mon bras et se colle à moi. Je la guide dans la maison jusqu'à une des chaises présentes autour de la table à manger. Elle s'y assied puis je repars dans la chambre pour prendre les menottes en cuir. J'attache donc ses poignets à la chaise puis lui ordonne d'ouvrir la bouche.
Je lui donne à manger et je vois sa poitrine se soulever et se baisser à un rythme plutôt rapide. Elle est excitée et gênée en même temps. Elle aime être humiliée, quelque soit la façon tant que cela ne concerne pas le fait d'être regardée par une tierce personne. Elle ne supporterai pas que quelqu'un d'autre que moi puisse la voir ainsi. Moi ça ne me dérangerais pas mais je respecte ses limites, et puis je suis comblé pour tout le reste donc ça me va.
N'empêche qu'elle pourrait peut-être changer d'avis un jour... C'est à voir.

Lorsque je lui donne à boire, quelques gouttes se mettent à couler sur son menton jusqu'à son collier, je prends alors un malin plaisir à lui lécher le visage, faisant ainsi augmenter son excitation.
Cependant, quelque chose me dérange. Je lui donne alors une claque sur la cuisse.

« - Tes jambes, écarte-les ! Tu dois toujours être disposée à m'accueillir, ne l'oublie pas. D'ailleurs à la maison tu ne portera plus de sous-vêtements, dès que tu rentres tu les enlève, compris ?

- Oui Maître.

- C'est bien. »

J'aimerais lui ordonner de ne pas porter de culotte du tout, c'est-à-dire même à l'extérieur, mais la dernière fois elle a fait une crise d'angoisse car elle avait trop peur que quelqu'un le remarque et est revenue en pleurant à la maison pour en mettre une. J'avais beau la rassurer comme je pouvais elle m'a dit que c'était finalement une limite, qu'elle ne pouvait vraiment pas.
Peut-être arrivera-t-elle avec le temps à avoir moins peur ? En tout cas j'aime la voir tenter de dépasser ses limites.
Ça va prendre du temps, beaucoup de temps, mais je sais qu'elle peut y arriver, j'ai confiance en elle.

Mais je reste patient, il le faut, la brusquer ou la forcer la blesserait et la ferait peut-être partir, encore.

En attendant je constate qu'elle a ouvert ses cuisses au maximum et quelle belle vue ! J'introduis trois doigts en elle puis suce un de ses tétons.
Le plaisir l'envahit instantanément et elle ne peut s'empêcher de crier de plaisir.
Mon érection en devient douloureuse et je fini donc par la détacher et la plaquer contre la table. Je la prends sans retenue et ses cris me confirment qu'elle aime ça.

« - Maître ?

- Oui ?

- Je peux jouir ?

- Non. Retiens-toi. »

Je la vois alors fermer sa bouche pour se contenir au maximum. J'en profite cependant pour lui donner quelques fessées puis au bout d'un bon moment je l'autorise enfin à jouir. Je continue de la prendre encore jusqu'à ce qu'enfin je jouisse à mon tour. Puis, la voyant exténuée, je lui retire le bandeau de ses yeux et la laisse aller se reposer un peu.
Je fais ensuite la vaisselle puis referme la baie vitrée une fois que Mila est rentrée.

Je me rhabille puis m'assois sur le canapé, la petite chienne collée à moi.

Mais à peine ai-je allumé la télé que mon téléphone se met à vibrer, m'annonçant donc une notification.

" Salut, est-ce qu'on peut se voir ? C'est important "

Je constate alors que ce n'est pas qu'une simple notif', mais un message de mon meilleur ami.

" Oui évidemment, passe chez moi comme ça tu verras ma nouvelle maison et puis... Tu sais qui ;)

Je ne veux pas mettre mal à l'aise ta copine, qui plus est soumise, d'ailleurs tu m'as jamais dit son nom

Je te le dis pas si tu viens pas :P

T'es un vrai gamin

Je suis surtout un ange

Mon cul oui

Oh Éden qui dit un gros mot, impressionnant !

Arrête de te foutre de moi ou je viens pas

Je sais que tu vas venir puisque t'as dis que c'est important

Tu m'énerve :/

Je sais :) "

Parfois je repense à ce que disait son collègue, Éthan je crois, qu'on dirait un couple quand on se dispute.
Mais entre meilleurs potes le fait de ne pas avoir de délires ensemble ni de taquineries rend la relation ennuyeuse, enfin c'est mon avis.

" Je peux venir demain ?

Je travaille pas mais elle oui, viens donc en fin de journée si tu veux faire sa connaissance "

Il accepte finalement puis me souhaite une bonne soirée.

~

« - Maître ? »

Je détourne les yeux de la télé pour observer Félicie, debout contre le mur.
Elle ne porte qu'une lingerie sexy en dentelle vert canard. Cette couleur fait ressortir à merveille ses cheveux roux et s'accorde avec la couleur de ses yeux, verts également.

J'éteins la télé et m'approche d'elle, Mila de son côté s'allonge sur le canapé là où j'étais, la place étant devenue chaude.

« - Je sais que vous m'avez dit de ne pas porter de sous-vêtements à la maison mais je me suis dit que ce que je porte là vous ferez sûrement plaisir aussi. »

Je glisse mon doigt dans l'anneau de son collier et approche son visage du miens. Elle l'a encore autour du cou puisque je suis le seul à avoir la clé du cadenas.

« - C'est vrai que tu es magnifique ainsi et très excitante. C'est une bonne initiative mais elle va à l'encontre de mon ordre... T'as de la chance pour le moment puisque je devrais te punir, mais ne recommence pas à désobéir. Quand on est seuls tu mettras ce genre de lingerie, quand il y a des invités je te veux habillée mais sans sous-vêtements, c'est clair ? »

Je n'aime pas quand elle désobéi à mes ordres mais la voir ainsi est bien plus excitant que de la savoir habillée même sans rien en dessous.

« - Oui Maître.

- Bien. T'es une bonne chienne. »

Elle a toujours le regard baissé mais je peux voir ses yeux pétiller et un sourire se dessiner sur son visage. Les mots sont parfois largement suffisant pour l'exciter et surtout la rendre fière d'elle.

Je caresse ensuite ses cheveux et comme à chaque fois que je le fais elle ferme les yeux et se frotte un peu plus à ma main.

Puis à un moment donné elle se met à bâiller et s'en excuse. Je comprends assez vite qu'elle est fatiguée par cette journée trop riche en émotions pour elle. Je l'autorise donc à aller se coucher, dans cette tenue.
Mais quand elle me tourne le dos pour aller dans la chambre, je remarque que la culotte qu'elle porte n'est en réalité pas une simple culotte mais un string ! Un string qui met très bien en valeur son adorable cul d'ailleurs.

« - Attends un peu. »

Elle s'arrête puis tourne la tête, une pointe de malice dans le regard.

« - Tu me chauffes là non ?

- Peut-être Maître. »

Je sens qu'elle va finalement devoir attendre pour dormir.

« - Contrairement à toi je n'ai pas sommeil, je suis d'ailleurs en pleine forme et... très excité. C'est ta faute ça tu le sais ?

- Oui Maître.

- Et t'en es fière ?

- Oh oui mon Maître. »

Je ne tarde pas alors à l'attraper par les cheveux et la forcer à se mettre à genoux.

« - Ne te moque pas de moi.

- Pardon Maître ce n'est pas ce que je voulais, je... Ah !»

Ma main s'abat sur sa joue. Évidemment pas violente, seulement assez forte pour lui remettre les idées en place et donc lui rappeler qu'en tant que soumise le respect est primordial.
Je sais qu'elle aime ça, son cri n'était pas rempli de douleur mais uniquement de surprise et de plaisir. Sa respiration est d'ailleurs en train de s'accélérer et de mon doigt je vérifie sa chatte. Et effectivement elle est bien trempée !

« - Ma petite maso, tu mouilles déjà beaucoup tu le sais ça ?

- Oui Maître.

- Ouvre la bouche et tire la langue telle la chienne que tu es. »

Elle s'exécute rapidement puis je lui ordonne de me suivre à quatre pattes. Une fois dans la chambre, je m'allonge sur le lit et tapote le lit pour lui signifier qu'elle peut monter dessus. Je la positionne à quatre pattes au-dessus de moi, ainsi je peux admirer ses seins merveilleusement mis en valeur par ce soutien-gorge.
Je masse ses seins à travers le tissus et Félicie se met à gémir. J'approche ensuite sa tête pour sucer sa langue toujours tirée. Je sais qu'elle n'aime pas trop que je fasse ça, qu'elle préfère mille fois que je suce son clitoris, mais j'ai envie de la titiller un peu ce soir. Elle l'a bien mérité en me provoquant.

Je glisse ensuite un doigt dans son vagin et m'amuse à faire de très lents vas et vient, la faisant se tortiller.

« - Va me chercher tes menottes. »

Elle obéit tout en restant à quatre pattes, la langue bien tirée. Pendant ce temps je me déshabille entièrement et les idées se mettent à fuser dans ma tête jusqu'à ce que j'en trouve finalement une très bonne, quelque chose que je n'ai encore jamais tenté avec elle.
Je verrai bien comment elle se débrouille.

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