14 | Promenade au jardin
Nous sommes tous les deux allongés sur le canapé, son dos contre mon torse, en train de regarder un film humoristique. Parfois je m'amuse à la couper dans son rire en mettant en marche le vibro à l'aide de la télécommande.
Ses réactions m'amusent bien plus que le film.
J'ai encore du mal à réaliser qu'elle est là, Félicie, nue portant seulement mon collier, un vibromasseur en elle avec lequel je contrôle son plaisir.
À plusieurs reprises elle a eu envie de se toucher mais se ravisait à chaque fois. Je pourrais l'attacher pour être sûr qu'elle ne le fasse pas mais ce serait moins drôle.
« - Ça va ? »
Je m'amuse à prendre une voix sensuelle et à la toucher au niveau de ses zones érogènes comme ses tétons ou son cou.
« - Oui Maître. »
Comme je m'y attendais, elle me répond avec une voix remplie de désir, pas loin du gémissement.
« - Sûre ? »
J'actionne de nouveau le vibro et la voilà qui se cambre contre moi.
« - Pitié, Maître, je vous en supplie...
- Quoi donc ?
- C'est horrible Maître...
- Je sais. »
J'éteins ensuite ce précieux jouet et viens glisser deux doigts dans sa bouche, l'excitant davantage.
« - Suce. »
Elle s'exécute directement tandis que je caresse sa tête. Je mentirai si je disais que la vue ne me plaisait pas.
J'actionne ensuite le vibro mais elle réussi à continuer tout en lâchant de temps en temps des gémissements.
Mon sexe est plus que dur et je le colle à l'entrée de son derrière, l'excitant alors bien davantage.
Je suis vraiment sadique, je l'avoue, mais j'aime tellement la voir dans tous ses états, lutter pour ne pas désobéir à mes règles, se vouer corps et âme à moi en y prenant du plaisir.
Elle a toujours été très dépendante de moi mais avec le temps je me suis rendu compte que moi aussi je l'étais devenu, sans elle j'ai l'impression de n'être rien. Ça peut paraitre débile mais je l'aime tellement que je ne me vois pas vivre avec une autre femme.
Elle est la seule à me procurer autant de plaisir, parfois même en ne faisant pas grand chose. Et puis surtout je n'ai jamais autant aimé quelqu'un.
« - Je t'aime Félicie. »
Ces mots m'ont échappé mais ils viennent du cœur.
Elle est si surprise de m'entendre dire ça dans un moment pareil qu'elle se stoppe et me regarde intensément. Je retire alors mes doigts de sa bouche et éteins le vibro. J'éteins également la télé puis positionne Félicie sur le dos sur le canapé et me mets à califourchon sur elle.
Je passe ensuite mon doigt dans l'anneau de son collier et sa main vient caresser la mienne.
Je me penche pour l'embrasser, elle ne doit sûrement pas comprendre ce qui m'arrive mais j'ai besoin de sentir ses lèvres sur les miennes. Sa main vient se poser sur ma tête mais je prends son poignet et l'oblige à le reposer sur le canapé, lui rappelant ainsi sa place de soumise.
Lorsque je me recule ses yeux ne quittent pas les miens. Je fronce alors les sourcils et elle baisse rapidement les yeux.
« - C'est bien, bonne fille. »
Elle essaie tant bien que mal de cacher son sourire mais je sais que ces mots la touchent et lui font du bien. Ça lui permet de savoir que je suis fier d'elle et ainsi, d'une certaine manière, faire augmenter sa confiance et son estime envers elle-même.
« - Enlève ton vibro. »
Elle passe doucement sa main vers son entrejambe plus que mouillée et retire délicatement le vibro puis me le tend de ses deux mains. Mais au lieu de le prendre je me relève seulement.
« - Va le nettoyer. Tout est dans la salle de bain.
- Bien Maître. »
Elle se relève et me tourne le dos pour disparaître dans le couloir menant à la salle de bain. J'en profite pour mater ce petit cul que j'affectionne tant. Ah qu'il est beau ! Rien qu'en m'imaginant la sodomiser de nouveau mon érection se fait plus douloureuse.
« - Patiente un peu oh ! Ah ça fait mal. »
Heureusement que Félicie est trop loin pour m'entendre, elle se serait foutue de moi. N'empêche que ça aurait été une bonne excuse pour la prendre violemment par derrière. Une très belle punition qui l'aurait empêché de s'asseoir correctement pendant longtemps.
En attendant son retour, j'observe la vue sur le jardin devant la baie vitrée. Au-delà, aucune maison, juste des champs. Un vrai paradis où personne ne peut l'entendre crier pendant nos ébats. Ce serait vraiment chiant sinon de devoir se retenir ou voir débarquer les flics pour rien à cause de voisins inquiets ou juste trop curieux.
À mon appart' c'est ce qui est arrivé une fois, j'ai dû expliquer que tout était consenti blablabla, la fille était super embarrassée et n'est jamais revenue. C'était un bon coup mais aujourd'hui j'ai retrouvé ma pépite, dont je suis amoureux en plus... Que demander de mieux ?
Une fois qu'elle a fini de nettoyer son jouet et de l'avoir rangé, Félicie vient se mettre à genoux devant moi, tête baissée et les bras croisés dans le dos. Ses cuisses n'étant pas assez écartées à mon goût je lui fait savoir puis la regarde pendant un long moment. Elle ne bouge pas d'un poil malgré la gêne que lui procure le fait d'être regardée ainsi.
Je regarde de nouveau le jardin et une idée me vient alors en tête.
« - Tu veux que je te pénètre ? »
D'abord aucune réponse. Ma question soudaine a dû la déstabiliser.
« - Tu veux que je pénètre ta chatte dégoulinante comme la sale chienne que tu es ?
- Oui Maître. »
Ça y est, sa respiration s'accélère, le désir monte. Sa poitrine monte et descends rapidement. Évidemment qu'elle en a envie, elle n'attend que ça, sa délivrance.
Pour la perturber davantage je m'en vais, direction la chambre. Je prends sa laisse et revient vers elle pour l'attacher à l'anneau du collier.
« - Je veux que ta bouche reste ouverte et que ta langue sois tirée, compris ?
- Oui Maître. »
Elle n'attends pas longtemps avant de le faire puis j'ouvre la baie vitrée et la tire vers l'extérieur. Elle me suit à quatre pattes dans l'herbe et regarde autour d'elle avec appréhension.
Les voisins les plus proches sont trop loin pour l'entendre ou même la voir mais ça ne suffit pas à faire baisser son stress d'être exposée ainsi nue, dehors.
Au moindre bruit elle sursaute et j'ai bien peur qu'elle finisse par faire une crise cardiaque.
Je la rassure alors du mieux que je peux en lui caressant la tête et en la félicitant pour son courage.
Après quelques allers-retours dans le jardin je finis par lâcher la laisse et me position derrière elle.
« - En levrette. »
Ma soumise pose sa joue contre le sol et se cambre au maximum, me laissant une très belle vue sur son intimité.
Je n'attends alors pas bien longtemps avant de la pénétrer avec force, l'attrapant par le bassin pour la soulever un peu et lui imposer mon rythme.
Ses gémissements sont délicieux à entendre et m'excitent.
Je lui permet finalement de rentrer sa langue mais de ne pas fermer la bouche. Je veux l'entendre gémir et crier.
Je me mets à la fesser pour la faire crier davantage et augmenter son excitation. Je passe ensuite un doigt sur son clito et joue avec. Je sens sa chatte se contracter de plus en plus et ses cris s'intensifier, elle n'est pas loin de jouir c'est sûr et moi pareil d'ailleurs.
« - Maître...
- Vas y jouis, jouis pour moi. »
Nous jouissons ensemble, cela faisait si longtemps que ce n'était pas arrivé. C'est si bien.
Je me retire ensuite doucement puis m'assois en tailleur près d'elle dans l'herbe. Elle se redresse puis se roule en boule tel un petit chiot en posant sa tête sur ma cuisse.
Je caresse lentement ses cheveux tandis que nous reprenons une respiration plus lente.
« - Alors ?
- J'ai adoré Maître.
- Tout ?
- Oui tout, même si pour le vibro je crois que je n'allais pas tenir encore très longtemps. C'était vraiment horrible Maître.
- En vérité tu as tenu plus longtemps que je ne le pensais, je suis très fier de toi.
- Merci Maître. Et moi aussi je vous aime. »
Je comprends assez vite qu'elle me répond par rapport à tout à l'heure sur le canapé. Ses mots me font très plaisir.
« - Ça te dit une petite douche ?
- Ensemble ?
- Oui ensemble.
- Alors oui je veux bien Maître. »
Sa réponse me fait rire.
Quand elle se relève ses jambes se mettent à trembler et elle semble à deux doigts de tomber. Rester trop longtemps à quatre pattes n'a apparemment pas plu à ses jambes.
Je décide donc de la porter comme une princesse pour son plus grand plaisir, et le miens aussi je l'avoue.
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