➳-STORYTIME : Mon harcèlement

HI BABEES

M O N   H A R C E L E M E N T :

Disclamer :
Tout d'abord, je ne raconte pas mon histoire pour que vous me prenez par pitié —ce que je déteste d'ailleurs—. Je vous dis ça par pure prévention, pour ne pas que vous fassiez la même chose que moi. a croire ou à ne pas croire.
Ah, et si c'est pour ne plus me voir pareil, bye. J'ai pas envie que vous me voyez tout le temps sous le titre d'harcelée, merci.

c o n t e x t e :

Tout à commencer, lorsque j'avais environ 6 ans, oui, six ans...

J'emmenageais deux-trois ans auparavant dans un nouvel appartement situé dans le 95, dans une ville pas très calme dirais-je.
J'ai été une petite fille très calme, sage, très timide et surtout qui ne savait jamais dire non.
Je ne savais vraiment pas dire non, même si je ne voulais pas quelque chose, j'allais dire oui, c'était mon habitude.

Je n'sais pas si le fait que j'étais fille unique a eu des répercussions sur mon comportement ou ce qu'il s'est passé mais je tiens à le précisée. Why not ?

J'avais énormément de voisins dans mon bâtiment, dont 3, eux.

Il y avait deux jumeau, des faux du moins mais on s'en fiche, au'on va appelee Flora et Timothée, et la dernière nous allons la nommer Biouna. Voilà. 

Donc, nous sommes tous dans la même école, j'avais le meme âge que Flora et Timothée, mais Biouna a 3 ans de plus que nous je pense.

Franchement je sais même pas par où commencer.

h i s t o i r e :

Chaque jour ou presque, je restais en bas de mon bâtiment, il y avait une cour où tous les enfants venaient jouer dont une qu'on va appeler Shay.

Donc, je sortais tous le temps, et Thim', Flora et Shay aussi.

Au début, nous étions tous amis, on jouait ensemble, on rigolait, I live my best life avec nos cordes à sauter qui comptait nos sauts, balle au prisonnier et j'en passe...

Je ne cachais pas mon côté sensible, qui se laissait faire car oui, c'est vrai, je me laissais faire. Je pense que lorsqu'ils ont découverts cela, ils se sont dis "Tiens, pourquoi pas en profiter, elle est si bête !"

C'est de là, qu'ils ont commencés à m'embêter. Ça commençait par des jeux où ils m'exclurent, puis par des plans contre moi dont Shay faisait parti alors qu'elle était en même temps ma coupine(je qualifierai ça de faux cul, mais ne parlons pas dans le dos des gens), des moqueries, puis ils ont passés à la seconde. Les années passaient, et j'en souffrais toujours autant, mes parents le savaient, et faisaient leur possible en allant parler aux parents de Biouna, et la mère de Thim' et Flora, leur père étant absent.

Les parents disaient toujours :

«Oui, oui, nous allons lui/leur parler»

Mais je ne sais pas si leur paroles ont bien été prononcés et/où si l'éducation a été bâclée, mais je sais que j'en faisais les frais.

Ça continuait toujours, même à l'école, toujours, toujours. Ils ne me lâchaient pas la grappe et étaient même violents envers moi, une petite gifle ici, ils me fouettaient même avec des cordes. Juste pour vous dire à quel point les enfants, ou pré-adolescents sont des monstres. Mais God is here, il voit tout. 

Enfin, je me faisais harceler quoi.

Je rentrais chaque soir, en pleurs face à ma mère qui m'ouvrait la porte. Toujours, chaque soir, sans exceptions. Même après mon déménagement, ça a continué, avec d'autres personnes, on disait que j'étais la petite hlel voilée qui suçait d'autres hommes dans les toilettes du collège, qui restait toujours plus longtemps pour faire des avances à untel et j'en passe.

Je sais pas pourquoi mais ce moment m'a vraiment marqué : 

F L A S H B A C K :

Nous étions à la piscine avec l'école, j'étais toujours rejetée hein, pour pas changer. Mais j'avais mon petit groupe d'amies, Ania, Julia, et Oika. Ania, c'était vraiment ma bessssttt, je l'aimais trop cette fille mais waaw. Je nageais tout ça, avec ma frite j'ai tapé sans faire exprès un certain Adama, il s'est retourné vers moi en furie, et m'a dis 

"_ Pourquoi tu me touches, casse toi sale pute." 

Je me suis quand même énervée, vais pas non plus restée coincée devant lui, je l'ai tchipé et me suis défendue, pour une fois, c'était d'ailleurs la première ou deuxième fois que je me défendais. 

Puis vous savez quoi ?! Je suis partie à Intermarché m'acheter des kinder chocobons j'm'en rappelle, et qui a eu l'audace de venir me demander même pas un chocobon mais le paquet ?

Adama bien sûr, alala. Et ce qui m'énerve le plus, c'est que j'ai osé mettre ma main dans le paquet, pour en prendre quelques uns, enlever ma main du paquet, tendre ma main au dessus de la sienne, pour lui en donner ! J'étais conne, y'a pas d'autres mots à dire.

Vraiment ça m'a marqué parce que moi, à l'heure d'aujourd'hui, c'est rare, très rare, que je demande quelque chose à quelqu'un.

N : Hum.

Oui bon, toi ça compte pas, t'es the best, je rote sur lui pour vous dire donc lui demander un chewing gum, c'est pas ça qui va me gêner.

N : Elle a tellement honte de rien cette fille, admirez là s'il vous plait. Elle a mais tellement changée, c'est un truc de ouf. Lorsque je l'ai connu, elle osait à peine parler à quelqu'un, elle déprimait h24 [...] maintenant c'est la joie de vivre incarnée. Chapeau bas vraiment.
Lui qui m'insulte tous les jours, me surnomme plutôt «sale grosse» (de sa part, je ne le prend pas mal), s'il me fait un compliment, c'est un réel miracle. Donc.

Merci merci.

Bref.

J'ai pas envie de rentrer dans les détails ou dire les horreurs que j'ai vécu parce que déjà que j'étais contente aujourd'hui, bah ça a plombé ma journée mais bon. C'est pour la bonne cause.

Fin, plomber ma journée est un grand mot, plombée mon déjeuner plutôt, car on se voit le déjeuner moi et N le vendredi donc c'est nickel, deux heures pour manger j'vous dis pas le bordel qu'on a foutu.

b i l a n : 

A noter que j'ai vécu de l'harcèlement scolaire, physique, moral et un autre que je ne citerai pas, il n'y a que N qui le sait et ce n'est pas prêt de changer. Pourquoi moi ? Bah je sais pas et je le saurais sans doute jamais. 

Tout cela a eu d'énormes répercussions sur tous mes faits et geste de la vie quotidienne, par exemple lorsque je vois quelqu'un se faire "victimiser", je peux dire ça comme ça, je vais toujours essayer de la mettre dans le groupe sans trop forcer non plus car je suis extrêmement timide, je suis pas antisociale, qui n'aime pas aller vers les gens, je suis juste timide. En revanche, je suis extrêmement bon délire, drôle et souvent de bonne humeur.

Je peux aussi passer plus d'un jour sans manger, ou à manger que du chcoclat, c'est de là que viens mon addiction au chocolat que je suis entrain de stopper.  Jpeux restée coincée dans mon lit pendant je n'sais combien de temps, des jours. J'évite ça lors de la semaine, les cours quand même.

Même avant cela a eu des répercussions vous vous en doutez sûrement, toujours seule, sans parler. Vraiment parler c'est sous-côté, ça m'a fait tellement de bien. Waaaw, merci Dieu de m'avoir donné la parole et de ne me l'avoir jamais ôté.

Eh et depuis ça, jnattends qu'une chose, les voir, en étant habillé sur pon 67, avec ma fourrure grise, un petit pantalon à pince, un haut, et tout, on fleek, avc un large sourire et N à mon bras, en espérant qunil me voit partir en fou rire jusqu'à pleurer de riez avec lui, assis sur un banc. Et c'est là que baam, ils viennent, et que j'les regarde en continuant à rire, même en tomber par terre mais rire, leur montrer mes belles dents. Juste leur montrer que j'suis heureuse, jnferais passer N pour mon compagnon et comme on est grave complices, bah ça sera cuute.
Et s'ils viennet me parler, bah j'les regarde juste, en clignant des yeux, puis je trace ma route en rigolant. Voilà 😭😂.

c on s e i l s :

Si vous avez besoin e quoi que ce soit, glissez dans mes DM de suite, je vous répondrais. (évitez de dire que j'suis sèche en message s'iiil vouuus plaaaaaaîîîîîîtttt, ça me donne l'occasion de plus parler aux gens même si je parle tellement que je le fais tout le temps, avec tout le monde. Je sais pas si ça se ressens mais je parle trop trop trop).

N : Je confirme. 

Mais pas genre les gens qui soulent à parler truc de ouf, je suis bavarde mais limitée.

•Ne vous laissez pas faire s'il vouuuus plaîîîiiit, vraiment, pensez à mon cœur si je vous voyais comment je serais triste, j'dis pas ça pour faire genre, j'aurais mal au cœur; Montrez vous.

•Ayez confiance en vous, je vous le répéterai jamais assez. Encore une fois, glissez dans mes Dm si vous voulez ! La confiance en soi c'est un truc de ouf, t'es là, t'as pas peur de dire c'que t'as a dire, tu te sens belle dans ta peau, best sensation ever.

•Parlez, parlez vraiment, même si vous pleurez par la suite, ça vous fera un bien fou comme moi ça m'a fait un bien fou.

•Parlez en avec la personne adéquate, moi la première personne avec qui j'n ai  réellement parler c'est N, et regardez, aucune trahison, magnifique. Bon j'avoue j'lui faisais pas entièrement confiance mais il m'inspirait de ouf ! Le destin a fait que !

Bon j'me tais, il va croire j'lui fais une déclaration d'amour le pauvre.

N : Je le crois pas, j'en suis sûre.

Oui oui. 

•Riez, restez avec des personnes aux ondes positives, and be optimistic.

Comme N, n'a pas beaucoup parleé, il va le faire :

GILET JAUNE EH EH EH, GILET JAUNE EH EH EH, FAUT PAYER LES TAXES, (C'EST TROP CHÈR) ×2 FAUT COTISER PAR CI (C'EST TROP CHER) FAUT COTISER PAR LÀ, (C'EST TROP CHER).

BYE BABEES.

J'essaierai de lettre une partie sur des tweets drôles, pour une petit ambiance chill et rigolote.

J'note ça après que N soit parti, soyez comme N s'il vous plaît. 😭😂😂

Walabo, ok mbaybay

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