Suite Alternative 2 (ou 3) d'une ancienne histoire
Cette histoire est une des suites alternatives que j'avais faite de la partie précédentes qui s'appelle : je connais pas mes limites
Sachez que je n'ai ni relu donc ni corrigé pcq flemme et puis je préfère laisser ça dans son état initiale
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je me lève avec un mal de crâne horrible. j'essaye de me lever mais je me ramasse à moitié la gueule par terre. je souffle et bon coup et réessaye. j'y arrive mais je tremble un peu des jambes. je pars directement dans la salle de bain pour prendre de l'aspirine. je regarde mon visage dans la vitre et je me fais presque peur sur le coup. mes cheveux sont en bataille, mais ça encore, c'est ok, mais mes yeux sont rouges et légèrement vitreux, et des traces rouges sont présentent sur mes joues. j'ai dû pleurer. merde. j'espère que Rémi m'a pas vu. qu'est ce que j'ai foutus encore...
je frotte vite fait mes joues pour que les traces partent. après avoir fini la contemplation de mon pitoyable visage, je pars prendre le petit déj' d'un air maussade.
Rémi est déjà là. je le salut vite fait et je pars dans la cuisine pour prendre le pot de pâte a tartiner et du pain de mie. je reviens et m'affale sur ma chaise.
- Ça va, bien dormi, me demande t'il moqueur.
- pff... m'en parle pas ! j'ai le crâne défoncé !
- Tu m'étonnes, vu tout l'alcool et la drogue que t'as pris.
- Attends, quoi ? d'la drogue ?
- Ouais, on dansait puis je suis partit aux chiottes, pendant ce temps, t'en a profité pour aller au bar et te faire un " nouvelle ami " comme tu m'as dis et il t'avais refilé quelque chose dans le verre sans que tu t'en rends compte.
- Putain de merde... et il c'est passé quoi après
- je t'ai tout simplement ramené ici.
j'ésite à lui poser la question mais au final, qu'est ce ça fait ?
- est ce que... j'ai pleuré ?
il me regarde surpris. il semble réfléchir puis me répond :
- il me semble que non. par contre je me souviens très bien que " t'avais envie de me faire l'amour ".
je m'étouffe avec la tartine que je venais d'enfourner dans ma bouche et Rémi est obligé de me tapper dans le dos pour pas que je meurt.
- QUOI ?!
- Ouais, t'étais chaud comme la braise hier. t'as fais une belle métaphore en plus.
- pitié dit moi que je t'ai rien fait
- En vrai j'ai eu pire, t'as essayé de me faire un suçon et de m'arracher mon t-shirt pendant que je te portais.
je devins tout rouge.
- tu m'as porté ?
- Ouais, t'était trop défoncé pour marcher donc je t'ai aidé. c'est normal entre ami non ?
Aïe. une fissure de plus, une. ça faisait longtemps qu'il n'avait pas utilisé ce terme, assez pour que je l'oubli. je suis détruit, un peu plus encore maintenant mais j'essaye du mieux que je peux de le cacher derrière mon "beau sourire". je souris devant lui, je rigole parfois même pour cacher. mais je sais pas ce qui se passe, maintenant, tout de suite mon coeur en à ras le cul, il veut déverser toute sa tristesse et sa haine envers Rémi. je ne peux m'en empêcher, mes larmes dévalent longuement mes joues rosés.
Rémi ne m'a pas vu alors je me dépêche d'enfourner en vitesse ma dernière tartine la tête baissé et j'essaye de partir avant qu'un sanglot de s'échappe mais c'est trop tard. j'ai a peine levé mon cul de ma chaise que l'un d'entre eux s'échappe. Rémi me regarda d'un air interrogatif puis ses yeux s'ouvrirent en grand lorsqu'il vit que je pleurais. avant qu'il n'est pu dire quelque chose, je me suis barré en courant dans ma chambre, honteux et en colère contre moi de mon manque de contrôle émotionnel. jessuie mes larmes rageusement, mais elles coulent toujours plus. je commence à frapper contre le mur et à hurler. ma table de nuit est part terre ainsi que la plupart de mes habit qui étaient auparavant dans mon armoir. je me suis défoulé. j'ai libéré toutes ses choses cachés au plus profond de moi qui me dévoraient lentement. bien sûr qu'elle sont encore là, mais ça va quand même mieux. maintenant, je n'ai plus qu'une idée en tête, sortir de cette baraque. j'ouvre ma fenêtre après avoir enfiler un short et un t-shirt et je saute. on est au rez de chaussée donc je crains rien. j'atteris sur l'herbe, je contourner la maison et je sort par le portillon. je marche, encore et toujours. mon téléphone est dans ma poche, une idée me viens. je le chercher dans mon répertoire, j'appuie sur son nom mais je m'arrête juste avant de l'appeler. non, je dois arrêté de le faire chier avec mes histoires, il a déjà les siennes à gérer, pas besoin des miennes en plus ! je fourre donc mon téléphone qui affichait le nom de Maxence dans la poche de mon short. je marche depuis plus de 10min. mes pieds mon guidé tout seul. je me retrouve les pieds dans le sable, une brise légère me chatouille le visage. je prend un grande bouffé d'aire et je m'approche de l'eau pour y tramper mes pieds. mes larmes se sont enfin arrêté.
retour au déjeuner.
je suis à table et je mange mon petit dej en attendant Vincent. j'entends enfin une porte s'ouvrir dans le couloir, enfin il est debout ! après quelques minutes il arrive la tête dans le cul, me fait un rapide bonjour et part direct a la cuisine pour prendre de la bouffe. quand il reviens, je lui demande pour le taquiner :
- Ça va, bien dormi.
- pff... m'en parle pas ! j'ai le crâne défoncé !
il a la voix un peu pâteuse, c'est marrant.
- Tu m'étonnes, vu tout l'alcool et la drogue que t'as pris.
- Attends, quoi ? d'la drogue ?
- Ouais, on dansait puis je suis partit aux chiottes, pendant ce temps, t'en a profité pour aller au bar et te faire un " nouvelle ami " comme tu m'as dis et il t'avais refilé quelque chose dans le verre sans que tu t'en rends compte.
- Putain de merde... et il c'est passé quoi après
- je t'ai tout simplement ramené ici.
il continue de manger et après quelques secondes, il me demande :
- est ce que... j'ai pleuré ?
je le regarde surpris et j'essaye de me rappeler.
- il me semble que non. par contre je me souviens très bien que " t'avais envie de me faire l'amour ".
Vincent s'étouffe littéralement après mon annonce et je suis obligé de lui tapper dans le dos pour pas qu'il décède.
- QUOI ?!
- Ouais, t'étais chaud comme la braise hier. t'as fais une belle métaphore en plus.
- pitié dit moi que je t'ai rien fait, me demande t'il désespéré.
- En vrai j'ai eu pire, t'as essayé de me faire un suçon et de m'arracher mon t-shirt pendant que je te portais.
il devient tout rouge. il est mignon comme ça.
- tu m'as porté ?
- Ouais, t'était trop défoncé pour marcher donc je t'ai aidé. c'est normal entre ami non ?
Pan ! blesse toi tout seul, c'est encore mieux. mon petit coeur à encore prit un coup. bien sûr que je souffre, mais faut rien dire. de toute façon, qui voudrais de Rémi Paix ? certainement pas Vincent. je veux juste l'oubliê et arrêter de l'aimer, retourner à l'époque où on était les meilleurs amis du monde. mais c'est trop tard, je suis tombé amoureux et maintenant cette amour me consume et me détruit à petit feu.
je baisse la tête sur ma bouffe, les yeux légèrement embuée, mais je ravalé vite mes début de larmes. je ne dois rien laisser paraître. je continue a manger en silence. jentend Vincent se lever mais un bruit l'accompagne, un sanglot ? je relève la tête et se que je vois me perturbe. Vincent, qui pleure. il ne pleut jamais d'habitude. merde, qu'est ce que j'ai encore fait. je croise rapidement son regard remplis de tristesse. un coup en plus dans le coeur. je déteste le voir triste. je n'ai pas le temps de lui demander quoi que ce soit qu'il court s'enfermer dans sa chambre. je ne le suis pas de suite, trop assommé et surpris de ce qu'il vient de ce passer. je me sens vide. et stupide. j'ai fait pleurer Vincent, encore une fois c'est de moi faute. pourquoi je fait tout le temps tout foiré ? pourquoi... je repousse mon vol de céréales et je décide d'aller voir Vincent. il est enfermé dans sa chambre. il hurle, balance ses affaires partout et frappe sur les murs. mon dieu, comment j'ai pu le rendre aussi triste et en colère a la fois ? je suis un monstre. mais je reste quand même devant sa porte, meme si je suis un connard, je le surveille pour qu'il ne fasse pas de bêtise. si il se suicide à cause de moi je ne me le pardonnerai jamais et j'en mourrai sans doute de honte et de chagrin. après plusieurs dizaines de minutes, le silence est revenu. je suis toujours assis par terre, mon dos contre la porte. je ne m'en était pas rendu compte, mais des gouttes salés perlent depuis longtemps sur mes joues. je l'ai laissent faire, je ne peux plus les arrêter de toute façon. ce silence commence à me faire peur. je colle mon oreille contre le bois de la porte toujours rien. je décide d'ouvrir la porte mais j'ai peur, peur de l'horrible image qui pourrait s'afficher à moi. mais rien, il y a juste personne dans la pièce, tout est retourné mais aucun signe de vie. je suis d'une part soulagé mais je ne sais pas où est Vincent. la fenêtre est ouverte, il a dit sortir par là. je sort de la chambre en la laissant en bordel et je cours vers l'entrée, choppé les clé et sort de la maison pour retrouver Vincent. en premier, je pense au bar olive, où il aurait pu aller pour se bourrer la gueule. je m'y dirige et j'entre, mais pas de Vincent en vue. je pense alors à la plage, forcément, qu'est ce que je suis con ! je fait mon plus grand sprint et mes basket s'enfoncent enfin dans le sable fin. je regarde autour de moi, je vois des gens qui marche, qui joue au foot ou encore qui bronze sur leur serviette mais pas de Vincent. une horrible idée me viens. et si... il c'était laissé coulé dans la mer ? non c'est pas possible, il n'aurait pas fait ça... je commence quand même à stresser. je continue d'avancer et je regarde dans tout les sens, quand soudain j'aperçois enfin ce dos si familier. mes larmes de tristesse se transforme en larmes de joie et je me lance vers lui en une puissante montée d'adrénaline.
ça fait bien 20 minutes que je marche au bord de l'eau. ça me fait du bien, j'ai eu le temps de réfléchir et de remettre mes idées en place. il faut que je m'éloigne de Rémi quelques temps, juste pour pouvoir l'oublié et après on redeviendra les meilleurs potes du monde, comme avant ! oui je vais souffrir, mais vaut mieux ça que me consumer à petit dans rien dire. le sable me glisse entre les orteils. l'eau est transparente, je vois les magnifiques coquillages à travers. je regarde autour de moi, il y a très peu de personnes, des joggeurs et quelques personnes qui se risque à l'eau. j'entends des bruit de pas derrière moi qui se rapproche de plus en plus vite, encore un coureur. je me décalé un peu mais la personne ne passa jamais. au lieu de ça, je suis projeté dans l'eau par une masse qui me saute dessus. je suis dans l'eau, les vagues me remuant les cheveux. Rémi sur moi en train de me faire une énorme câlin.
- Toi je te jure, CEST LA DERNIER FOIS QUE TU ME FAIS ÇA TU MENTENDS ?? Tu m'as fait si peur...
j'ai du mal à realiser. je suis allongé par terre, à moitié dans l'eau, avec Rémi dan mes bras et... attends, ça lui a fait peur que je parte ? il tient tant que ça à moi. putain Vincent, on avait dit quoi ! plus de films à la con ! je le regarde, il a la tête plongé dans mon cou et me sert comme si j'allais disparaître.
- C'est bon Rémi, je suis là. je lui caresse doucement les cheveux pour le calmer. on se redresse un peu et on part du bord de l'eau. mais il n'est pas décidé à me lâcher alors dès qu'on repose nos cul sur le sable, il en reprend dans ses bras musclés. ça va me manquer ça. je suis assis entre ses jambes, mon dos callé contre ses abdos. je me rend compte que c'est un peu "gay" ce qu'on fait là, mais je m'en fous, quand il sera plus en état de choc, tout redeviendra comme avant et il faudras juste que je l'oublie. ça fait maintenant plus de 15min qu'on est comme ça, aucun de nous ne parle, de toute façon je n'ai rien à dire, et apparemment lui non plus.
- Je suis désolé.
désolé ? c'est moi qui si désolé oui, je fais que de la merde, je foire tout, je m'enfuis et ça te met dans un état pas possible et c'est toi qui t'excuse. tes si gentil Pex.
- Pourquoi tu t'excuse, c'est moi le fils de pute dans cette histoire.
- je m'excuse pour pas avoir fait ça avant.
tout ce passe en un clin d'œil. je n'arrive pas trop a comprendre. ses lèvres... sur les miennes ? il m'a doucement prit ma tête entre ses mains et à posé ses douces lèvres salés sur ma bouche. c'est sublime. j'entoure son dos de mes bras et le sers contre moi. on bascule et arrière. je suis désormais allongé sur lui, nos bouches toujours greffés ensemble. J'apprécie énormément ce moment. ßa langue c'est discrètement glisse dans mon palais et entame une danse endiablé avec la mienne. j'adore ce moment, mais c'est trop magique pour que ça soit vrai, je dois rêver ou m'imaginer tout ça, et puis pourquoi ferait-il ça au juste ? il ne peux pas ... m'aimer ? après encore quelques minutes de pure plaisir, je me retire.
- Pourquoi tu as fait ça ?
il me regarde surpris et semble revenir à la réalité. il panique et essaye de trouver une explication mais je continue avant qu'il trouve une réponse :
- Si c'était juste pour me consoler, t'as réussi.
il me regarde avec des yeux de chiens battues.
- j'ai pas fait que ça pour te consoler.
mon sang ne fait qu'un tour dans mes veines. alors pourquoi, il n'y a qu'une seule explication mais c'est impossible je l'ai déjà dit, il ne peux tout simplement PAS m'aimer.
je plonge mes yeux dans ses pupilles sombres. il a des traces de larmes sèches sur les joues. mon dieu je l'ai fait pleurer, je suis horrible bordel... il passe une main sur ma joue, avec toute la tendresse du monde. il ouvre la bouche mais les mot ne veulent pas sortirent.
- je... je t'aime putain !
je pense que j'ai buggé et que mon système à redémarrer. je le regarde étonné. il a la tête baissé comme si il était honteux de ce qu'il venait de dire.
- tu me fais une blague là hein ? c'est pas possible, quelqu'un, m'aimait, moi ? tu te fous de moi Rémi c'est ça ? bah c'est pas drôle.
il me regarde, blessé par ce que je viens de dire, ses bras me relâche un peu. j'ai merdé.
- Ho.... je suis désolé, je voulais pas te blesser.
il commence à se dégager de moi et veux se relever mais je lui attrapé la main. il me regarde avec de la tristesse mais je remarque aussi de la colère. de la colère ?
- c'est bon te fatigue pas, je savais que t'allais mal réagir. je savais que c'était une mauvaise idée, mais pourtant je l'ai fait, et tu sais pourquoi ? parce qu oui je t'aime, oui ça a l'air débile parce que tes mon meilleur ami mais je t'aime voilà, je l'ai pas choisi, je l'aurait choisi sa serai pas tombé sur toi, mais maintenant c'est trop tard. j'ai était con, comment j'ai pu croire l'espace d'un instant que ça allait être réciproque...
il s'est levé et est en train de repartir. je voudrais l'empêcher de partir mai je suis comme figé. putain mais réveille toi Vincent, c'est on unique chance de lavoir, il t'as déclaré ton amie et tu réagis pas ?! d'un coup, je comprend ce qu'il se passe, mon cerveau refonctionne et je me lève pour lui courir après. il n'est qu'à 10metres de moi mais c'est compliqué de sprinter dans le sable. j'arrive enfin à son niveau et je le tire par le bras essoufflé. il me regarde plus surpris que énervé et je lui balance tout à la figure :
- Non Rémi, c'est moi qui suis désolé, c'est moi le con dans cette histoire, je t'aime depuis une éternité et je n'ai pas su te le dire, je fugue, je te fais du mal, tu m'a dis que tu m'aimes et je t'ignore, alors que c'est totalement réciproque, juste parce que j'ai pas de couilles ? bah oui, je suis un gros débile qui assume pas ses sentiments et qui sais juste détruire les personnes qui l'entoure. alors c'est moi qui te dis désolé pour tout ce que je t'ai fais subir. désolé Rémi.
il me regarde, la haine a disparut de ses pupilles, et un magnifique sourire est apparu. il rigole et commence à pleurer. qu'est ce qui lui arrive ? moi aussi je souris mais je ne comprend pas trop. il rigole encore.
- alors tu m'aimes ? putain sérieux ! je, désolé de réagir comme ça mais j'y croyais tellement pas que ça me fait faire des trucs bizzares.
je rie doucement et lui aggripe le col sans prévenir et je colle ma bouche à la sienne.
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