Adieu élégiaque


. Petit poème écrit pendant que je m'ennuyais en français:


Sur la colline sombre, qui nous était si chère,

Je vis une silhouette; une mâne fragile ;

Un fantôme indistinct ; une âme solitaire.

Moi, je n'y voulais croire et je clignai le cil...

Ô crépuscule d'or ! n'était-ce qu'une illusion?

N'aurai-je donc jamais le droit de le revoir ?

La vie nous souriait ; heureux, nous nous aimions.

Je ne pus même pas lui pleurer : "Au revoir !"

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