Concour ( Nature )
J'entendais tout.
Je voyais tout.
Pourtant je ne savais rien.
J'ignorais pourquoi chaques soirs ils criaient, pourquoi ils brisaient les frêles assiettes de porcelaine sur le sol.
Alors un jour je suis partie.
J'ai couru loin de ces disputes, loin de cette maison, loin de cette vie.
Je me suis enfui de nuit quand ils étaient trop occupé par leur propre personne pour remarquer que je m'en allais.
J'ai couru sans m'arrêter accompagné par le vent qui soufflé dans mes cheveux, par la douce caresse de l'herbe tendre sous mes pieds nus.
J'ai couru comme si rien ni personne ne pourrai jamais m'arrêter, comme si ma vie en dépendait.
Au bout d'un moment que je n'aurais su définir, je me suis arrêtée et j'ai regardé autour de moi.
Je m'étais arrêté devant une rivière au millieu d'une foret.
Je me suis assise sur une large pierre pour reprendre mon souffle.
Autour de moi peu à peu la nature s'éveillait comme si poussé par une quelconque force, elle se dévoilait à tout mes sens.
J'ai respiré cette air si pur à l'odeur de lavande et de chèvrefeuille.
Près de moi je voyais les arbre, dont les branches se balançaient porter par le vent dans une danse à nul autre pareille, ils étaient si grand qu'on avait cette impression que rien ne pourra jamais leurs nuire, qu'ils étaient la depuis des siècles et qu'ils resteraient ici encore des millénaires.
J'entendais le clair clapotis de l'eau qui ondulé au fil de la riviere, cette légère musique qui avait le don de m'apaiser. On pouvait apercevoir sous la surface de l'onde glacé la vie qui s'écoulait, du minuscule tétard tout juste né qui ne savait où aller, au magnifique poisson aux multiples couleurs irisé qui d'une seul ondulations disparaissaient de notre vue.
L'herbe était du plus beau vert que l'on puisse imaginer, constellée d'un nombre incomansurable de tâches de couleur aux senteur exquise.
J'avais cette impression si rare si délicieuse, que j'étais seule au monde, seule dans se petit cocon de paie.
Seule, avec pour seule compagnie le chant des oiseaux, qui peux à peux, s'éloignaient montant toujours plus haut dans le ciel constellée d'étoiles. battant de leurs ailes si légère qu'on croirait que de la moindre brise se dissiperaient dans le clair de lune.
Ce lieu était d'une pureté inégalable, comme si Pan lui même y avait insuffler son esprit.
Je n'avais jamais été aussi apaisé, aussi heureuse.
Alors je me suis levé et je me suis allongée dans le creux du tronc d'un saule, et j'ai murmurer ces mots:
" Cher esprit de la nature permettaient de rester ici à jamais, afin qu'enfin je puisse trouver le repos et le bonheur "
Les branches de l'arbre on bruissaient plus bruyamment et j'en ais conclu que la nature me donner sa bénédiction.
Alors regardant une dernière fois cet endroit comparable au paradis j'ai fermé les yeux pour la dernière fois, plus heureuse que je ne l'avais jamais été car je savais que mon esprit resterais à jamais ici préservant cette terre, qui m'avait offert un asile et m'avait montré une dernière fois la beauté de la nature.
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Texte pour le concours de uneanonymeduweb sur la nature j'espère qu'il te plaira et dis moi ce que tu en pense, merci❤️
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Si vous l'avez lu. merci 💜
Bises Eden 😘
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