Vive les pandas (je ne savais pas quoi mettre)
Panda 🐼
Wow ! Ça faisait longtemps 😂😅Comme vous pouvez le voir (ou pas), je suis en graaande pause sur mon Cover Book par manque de temps, de Fleur Galactique et de ce rantbook aussi 😂Breeefouille !! Avant ma pause j'ai commencé deux concours, les résultats sont donnés 😜
Premier concours de Cover2017 ! Ils sont en pause, par manque de temps, mais leur concours était magnifique ! Je vous rappelle ma cover :
Le thème était l'art d'aimer. La première place est attribué à -SINgcheol !! Bravo à toi !! Sa cover :
Magnifique, vraiment !
Et le deuxième était celui de ma chère Clemence_bod ! C'était un concours de cover et de texte, mais il y'avait que mon panda SuAnne25 et moi qui ont participé 😅Néanmoins c'était chouette !! Un autre concours est dispo, allez jeter un coup d'œil 😉Le thème était la fin du monde. Je suis arrivée à la deuxième place, bravo mon pandaaaaaaà🐼🐼🐼🐼!!!
Ma cover
Texte (2978 mots, mini 3k, courage 😂)(si vous voulez pas lire, allez ici :
Voilaa)
Les voitures ne sont plus que des bouts de ferailles érant dans les rues vides du monde. Plus rien, pas un signe de vie, pas un signe d'espoir. C'était la fin. Enfin, c'est ce qu'on disait. Dans ce monde où plus personne ne croient, nous étions cinq à croire. Dans ce monde où sourires étaient larmes, nous étions cinq à rire de nos tristesses. Cinq comme les cinq doigts de la main, et pourtant, rien n'était prévu. Pas même notre rencontre. Mon nom est May, et j'aimerai vous dire une chose : le temps ne passe pas, il s'en va. Demain c'est aujourd'hui, aujourd'hui c'est hier. Tout a commencé ce jour des plus spécials, ce jour, où nous avons bousculé les règles de la société...
Je rentrai des cours, comme tous les jours de la semaine du lundi au vendredi. Ma deuxième année au lycée se passait plutôt bien, j'avais des amis, de superbes amis même ! Je fus interpellée par ma mère, le regard triste et vide. Sans vie, sans espoir, un utopie la concernant...
- Oh maman, soupirais-je, ne me dis pas que tu as une mauvaise nouvelle !
- Chérie en fait il se passe que...
- Non ! Non ! Non, non et non maman ! Il y'a... trop d'ondes pessimistes ici et ça, ça n'existe pas dans la maison des Adams ! Et vu que tu es la meilleure maman du monde pas du tout pessimiste, je vais t'inviter à manger... une glace ! Allez c'est moi qui paye, viens !
Persuadée que mon idée allait lui redonner son sourire si beau, je sautillais dans tous les sens ! Mais elle ne semblait pas vraiment aussi enjouée que je l'espérais. En réalité, ses lèvres n'avaient pas bouger d'un minimètre...
- Non chérie je n'ai pas besoin d'une glace ou quoique ce soit, cela ne prendra que trois petites secondes, avoua-t-elle
- Bon, d'accord, dis moi...
Elle prit une grande bouffée d'air et se frotta les mains contre ses cuisses. Ses yeux déjà rougis par des pleurs, commençaient à créer de nouvelles larmes plus chaudes, plus lourdes, plus profondes. J'apercevais encore plus ses joues creusées parce qu'on ne mangeait plus à notre faim. À vrai dire, le monde entier ne mangeait plus à sa faim. Pourquoi ? Parce que la nourriture était devenu rare, pas autant que l'or ou le diamant, mais assez pour qu'on puisse dire qu'il y avait une pénurie, et que la famine prenait une ampleur de plus en plus puissante. Passant par l'Asie et l'Amérique, l'Europe allait bientôt être touchée. Mais le gouvernement disait avoir trouvé une solution, qui n'allait pas tarder à être exécuter, d'ailleurs.
- Je suis vraiment désolée, regarde toi, tes jambes, elles sont toutes fines !
Je savais qu'elle avait raison, alors, pour ne pas l'inquiéter encore plus, je pris un plaide et le déposai sur ces dernières pour les couvrir.
- Ne sois pas désolée, lui soufflais-je, ils vont trouver une solution...
- On ne tiendra pas longtemps comme ça, c'est la raison pour laquelle j'ai décidé de t'envoyer dans la pension qu'offre l'Etat...
- Quoi ? Je n'irai pas là bas ! Je ne vais pas te laisser toute seule dans cette situation !
- C'est déjà assez dure pour moi May, respecte ma décision je t'en pris...
Je ne pouvais refuser, c'était le seul moyen de la rassurer. J'hochais la tête en baissant les yeux, puis je la pris dans mes bras pour la dernière fois, probablement. En moins d'une heure, ma valise était faite. Je partie en direction du pensionnat, laissant ma mère dans ses sanglots éternels. Je n'eu le courage de me retourner, de contempler une dernière fois ces yeux, de lui dire un simple : Je t'aime.
Je vagabondais dans les rues de Hope, ville qui ne porte plus très bien son nom. Des corps d'hommes, de femmes et même d'enfants sans vies étaient allongés au sol. Certaines personnes avaient choisit de rejoindre les étoiles, de ne plus voir le ciel déchiré par des éclairs. Les facades et les enseignes sans couleurs des magasins rejettaient parfaitement les visages des quelques passants que je pus croiser.
Arrivée devant le pensionnat, je me dirigeai avec la boule au ventre vers le guichet "accueil". Une jeune dame affalait sur un tas de feuilles pleurait à grosses larmes. Elle leva un léger regard en ma direction, tamponna mon dossier, et me donna une clef accroché à une carte sur laquelle était écrit à la main : Chambre 5. Je pris les escaliers de peur de rester coincée dans l'ascenseur. Lorsque je me trouvai face à la porte, je sentis une main froide se poser sur mes yeux. Prise de peur, lentement et calmement je dis :
- Qui êtes-vous ?
- Jade ! crie la voix masculine, J'en ai attrapé une !
- Quoi ? lachais-je sans m'en rendre compte
- Ne bouge pas, et tu n'as pas intérêt à appeler tes complices, me prévient d'un ton sec la personne
J'entendis des pas s'avancer vers moi, ou plutôt nous. Une voix douce et angélique, certainement Jade, pris parole :
- Tu es sûre qu'elle en fait partie ?
- Je ne sais pas, mais elle a essayé de rentrer dans la chambre !
- Ok, j'appelle Antho' !
- Attendez, dis-je, je ne sais pas pour qui vous me prenez mais je ne vous cherche aucun problème, lisez mon dossier si vous voulez
Je sentis une autre main se glisser dans la poche de mon manteau, et entendis le bruit des pages se tourner. La main se retira, puis je me retournai. Je vis à ma gauche une jeune asiatique qui devait avoir mon âge. Elle avait de longs cheveux retenus en un chignon coiffé-decoiffé, une peau de porcelaine, et des pomettes rosées. À ma droite, un garçon qui devait avoir un ans de plus que moi, donc 18 ans, portait un bonnet sur ses cheveux bruns légèrement décoiffé sur le devant. Il planta son regard dans le mien, et à ce moment précis mon cœur ratta un battement. Il avait une allure rassurante et protecteur, et en même il semblait quelqun de plutôt froid et méfiant. J'entendis un garçon courrir, sûrement celui que Jade avait appelé. Stupéfait que je ne sois pas je ne sais où les mains ligotées, il engagea la conversation :
- Fausse alerte ?
- Elle est innocente, acquiesa Jade
- Qui es tu ? D'où viens-tu ? Pourquoi es-tu ici ? demanda le garçon
- Je m'appelle May, j'ai 17 ans, je suis née à Hope, je ne connais pas mon père, mais j'ai une mere extraordinaire. Je suis ici pour la même raison que vous je pense...
Tous les trois se regardèrent, l'air amusé. Qu'avais-je dit de si drôle ?
- Je pense que tu ne sais pas le véritable pourquoi de notre présence, ricanait le beau brun au bonnet.
Jade se tourna vers ce dernier et lui demanda :
- Tristan, tu nous ouvres s'il te plaît ?
- C'est comme si c'était déjà fait !
Il prit la clef de ma main, et ouvrit la porte. Il me fit signe de rentrer, puis, je posai mes affaires sur la table. La chambre était particulièrement étroite. Je leur demandai si on vivait tous les quatres dans la même chambre, et il m'informèrent que oui, mais qu'il manquait encore une personne, Méline. Chacun me dirent d'où il venait, leur personnalité, et je me rendis compte que j'étais la seule de provenir de cette ville. J'étais aussi la dernière pensionnaire, car ils sont venus tous les quatres au même moment, ne s'étant jamais vu auparavant. J'apris que le beau brun s'appellait Tristan, qu'il avait en effet 18 ans et qu'il avait deux petites sœurs, restées auprès de leur père qui pleurait chaque jour le décès de sa femme. Jade était issu d'une famille plutôt modeste, qu'elle avait aussi 17 ans tout comme Anthonin, le blagueur du groupe. Méline, d'après mes nouveau co-locataires, était une personne qui aimait prendre des risques, ce qui pouvait parfois lui jouer des tours. D'ailleurs, elle venait d'arriver. Ils m'expliquèrent que ce pensionnat était dirigé par l'Etat, et que les autres chambres vides étaient interdites à tous, sauf au gouvernement qui n'avait plus d'autre choix que de vendre le monument où ils étaient installés :
- Et comme nous sommes des enfants très sages, dit Antho', nous y sommes allés, et on a découvert un tas de choses qui sont vraiment contradictoires au soit-disant plan que le président et ses ministres auraient promis.
- Comment ça ? m'exclamais-je, J'ai laissé ma mère seule dans le but de la rassurer et de trouver une solution, mais en réalité on nous ment ! Vous avez un plan ? Je vais vous aider !
Les sanglots commencèrent à remplir mes yeux, ma mère avait raison, la fin était proche. Tristan qui n'était pas insensible à ma tristesse, me pris dans ses bras, en me chuchottant à l'oreille que ce n'était pas fini, et qu'on trouverait une solution. Quelques minutes après je repris mes esprits, et Jade reprit les explications :
- J'ai vu des schémas, des traces de recherche ainsi que des hypothèses sur une sorte de salle secrète, le problème, c'est que nous possédons aucune information sur la situation de celle ci !
- Wow, disais-je époustouflée, donc si j'ai bien compris, il y'a un plan finalement ?
- Er... en fait on a aussi découvert que la salle est conçu pour seulement 15 personnes... Le président et ses ministres, par pour nous... comme ils le disent sur leurs recherches, expliqua Méline
- Vous savez quoi, on va enquêter sur ça, et... on va rendre justice à nos familles, à nos amis, à tout ceux qui méritent beaucoup plus que d'être appelés les "nous", m'exclamais-je
Tristan sorta des plans de la bâtisse. tout en disant :
- On a déjà tout prévu, normalement, si les agents du gouvernement sont bien partis dans l'autre pensionnat, ça devrait le faire !
- Et si ils sont là, demandais-je, que va-t-il nous arriver ? Et... s'il y'a un autre pensionnat, ça veut donc dire...
- Qu'on a de potentiels nouveaux alliés, me coupa Antho', et pour répondre à ta question et bien... On trouvera un plan B, j'espère en tout cas...
Le repas fut court, pain rassi et une pomme, de quoi nous caler pour la courte nuit qu'il nous restait. En effet, nous deverons être prêts à 23:53 précis. Le temps que les gardes reviennent, on avait exactement trois heures pour trouver une solution. Je m'endormis dans un sommeil léger, le temps de quelques heures, pendant laquelles je repassais tout les moments importants de ma vie. Je vivais sûrement ma dernière nuit, alors je savourais chaque seconde qui défilaient à une vitesse grand V, chaque minute qui s'écoulait, et chaque heure qui s'en allait. Lorsque nous nous réveillerons, nous serons le lendemain, quelle étrange sensation...
À 23:53 pile, nous nous trouvâmes devant la porte de notre chambre. Elle ne m'avait pas manqué ! Le temps avait fait que je sois super proches avec Jade, Méline, Anthonin et Tristan, alors que je ne les connaissais que depuis deux heures et cinquantes-trois minutes... Armés de nos dossiers, nous étions prêt à élucider ce mystère ! Nous parcourîmes toutes les allées, les petits couloirs, les étages, dans tous les sens possibles. Nous avions déjà perdu trente-quatre minutes, et nous commencions à perdre espoir. Je m'adossai contre le mur en soupirant :
- Si seulement on avait une piste ! Je sais pas comme... dans les films avec les portes secrètes !
Je me rendis compte en même temps que mes amis, que la réponse était peut être devant nos yeux. J'entendis Tristan dire : "Une porte secrète... mais oui ! Une porte secrète !"
Sans que personne ne sorte un mot de sa bouche, nous longeâmes les murs en tatant le vieux papier peint aux motifs tartan vert avec nos doigts. Mon doigt fut bloqué par un plis de la tapisserie, puis, sans réfléchir je suivis les plis qui formèrent un rectangle. J'appellai mes amis pour leur montrer ma découverte. Mais si c'était une porte, il y'aurait une poignée, un bouton, une énigme à résoudre pour l'ouvrir, mais rien. Je sortis de ma poche une mini lampe torche, que j'utilisai pour observer le plus précisement possible la tapisserie. Bingo ! Un carreau du motif avait un côté légèrement plus long, subtile si je puisse dire ! J'appuyai sur ce petit carré, puis, la parcelle du mur s'enfonça dans ce dernier, laissant un maigre passage biscornu dans lequel nous nous insérâmes avec méfiance. Le passage semblait n'avoir aucune fin. Le sol était fait de terre, et les parois de briques non poncées. Sans que je ne sâche la raison, je me stoppai net. Un éclair surgit du ciel grondait des notes si dissonantes que mon sang était glacé. Tristan me prit par la main et me fit un signe de la tête qui me disait : courage. Cette petite attention me fit chaud au cœur. Mais ce n'était pas le moment de contempler ses yeux, alors nous réprîmes le chemin. Nous entendîmes un second éclair, mais celui ci fit trembler les murs. De lourdes pierres tombaient de partout, et nous fîmes séparés en deux groupe par un mur de briques incassable. Il y'avait d'un côté Méline, Anthonin et Tristan, et de l'autre Jade et moi. De peur de faire effondrer le mur et de blesser quelqu'un, nous préférâmes nous rejoindre à la fin du chemin. Jade et moi devions trouver un moyen de passer de l'autre côté pour rejoindre les autres. Nous commençâmes à revenir sur nos pas, retourner là où nous nous sommes séparés, firent demi tour à n'en plus finir. Jade se mit à me demander :
- Tu te souviens des labyrinthes à plusieurs choix ?
- Ce qu'on coloriait quand on était petits ?
- Oui ceux là ! s'exclama-t-elle
- Euh... oui mais je ne vois pas en quoi des coloriages et des labyrinthes pourraient nous aider... Le temps passe Jade !
- Réctification, je pense que le temps s'en va maintenant ! Mais passons, comment tu faisais pour arriver à la fin et trouver le chemin avant les autres enfants ?
- Et bien... je commençais par la porte de sortie pour remonter au début, répondis-je
- Exactement ! Tu ne vois toujours pas où je veux en venir ma chère Watson ? fit Jade en décochant un clin d'œil
- Hum... non... Attend... si ! S'il y a une porte d'entrée, il y a forcément une porte de sortie ! Et dans un labyrinthe, la chemin vers l'arrivée croise parfois d'autres chemins !
- Exactement May ! Allons chercher cette sortie !
Nous scrutâmes chaque détails des briques. Je tombis sur une sorte d'énigme, et appellai Jade. L'énigme :
Celui qui m'accède me gagnera, mais sera ébloui par ma beauté. Existe-il une personne capable de me porter ?
- Qu'est ce que c'est que ça ? marmonnais-je
- Si on trouve la réponse, comment on entre ?
- Je ne sais pas... j'ai jamais été forte aux énigmes du père Fourrat !
- Et attend May ! Qu'est ce qui nous ébloui ?
- Hum... le soleil ?
- Presque, les pierres précieuses. Quel objet est beau, ornés de pierres précieuses et se porte ?
- Une couronne !
- Mantenant qu'on a la réponse, faut qu'on passe ! Oh je sais ! Passe moi ta lampe !
Je donnai ma lampe à Jade qui la démonta. Elle sortit de cette dernière une pile qu'elle gratta contre le mur en écrivant "couronne". Un autre passage s'ofrit à nous et nous pénétrâmes en courrant dans ce dernier. Nous mîmes peu de temps à rejoindre les autres, on avait fait un bon travail d'équipe et nous le dîmes à nos amis. J'apercus une boîte entoirée de cadenas et de chaines solides rouillées. Anthonin me donna une lettre provenant du président, et je m'empressai de la lire avec Jade :
Chers pensionnaires,
Si vous êtes ici c'est que le monde a vraiment atteint le stade que nous craignions depuis l'existence de la légende du roi Fjiko. En effet, le roi Fjiko qui portait la couronne était quelqu'un de bon au cœur pur. Mais son frère, jaloux de son pouvoir, prit de force le trône, et jura que 28 130 années plus tard, au jour le jour, à 2:53 du matin, il se vengera de la souffrance qu'il aurait subit, en faisant déchirerle ciel à l'aide d'une boite entourée de chaines solides et de cadenas. Nul ne connaît la contenance de la boîte, mais on dit que la force qu'elle contient est tellement grande qu'elle causerait la fin du monde. Nous avions, avec les autres chefs d'Etats, stoppé la production de produits alimentaires, pour que les citoyens meurent en paix, mais ce fut en réalité notre plus grosse erreur. Profitez du temps qu'il vous reste, admirer une dernière fois, le monde gaché par la soif de vengence d'un être humain.
Monsieur le président, ou plutôt Paul Faoolt.
Je m'empressai de demander l'heure à Méline :
- Il est 2:48 du matin...
Je repensai à ma mère qui attendait mon retour. Nous fimes nos adieu, il ne nous restait que 5 min de vie. Je pris le choix de sortir de la batisse. Alors je retracais le chemin de pierres, puis, arrivée dehors, je pris une grande bouffée d'air avant de m'asseoir sur le trotoir. Je pleurai les larmes de mon corps. Comme si je voulais ancrer mon passage ici, je pris une pierre et gravai sur le sol : "May has been here". Une autre personne rajouta : "and a boy was in love with her". C'était Tristan, qui m'avait suivit. Il s'installa à mes côtés. Je dévorai ses yeux bleux qui contrastaient avec la couleur de sa chevelure, et lui me dévorait du regard. Je sculptai son visage dans toutes ses lignes, jusqu'en arriver aux lèvres. Et comme si on se connaissait depuis toujours, comme si ce n'était pas la première fois, nos respirations se mélangèrent, nos lèvres se collèrent, et sa main carressait la mienne. Plus rien n'exister autour de nous, et ce n'était pas complètement faux. Le ciel commençait à se déchirer, et a tout détruire. Et dans cette situation qui allait marquer à jamais l'existence des êtres humains, deux jeunes ados s'embrassaient amoureusement, comme s'ils voulaient estomper la vengence des hommes.
Écrit le 20 novembre 2017.
Et les notes
Je bosse moins sur Fleur Galactique 😔Mais je commence petit à petit à bosser sur mon livre de fimo 😄
C'était les dernières news,
Panda 🐼 🐼
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