À écouter avec le média et à remettre si il finit avant la fin du texte :
Je fredonne sans cesse cette même mélodie.
Et ton visage m'apparaît comme par magie.
Cette voix que j'entendais si souvent, à disparu du jour au lendemain.
Comme un éclat d'obu lancé avec succès.
Tu as fait de moi ton blessé.
Et tu as gagné.
Ce jour là tout était si tranquille. Tous le monde dormait, pendant que toi tu travaillais, et quand j'allumais enfin la télé, et que je tombais sur mon feuilleton préféré, cette nouvelle m'a anéantis en premier...
Les enfants dormaient dans leur chambre, pendant que moi je me reposais devant ce vieux téléfilm.
J'attendais cette appel. Mais non, tu ne m'as pas appelé. Mais j'ai attendu, quand la télé l'a annoncé, je suis tombais, j'ai pleuré, hurlé. Mais les enfants ne se sont pas réveilles...
Quand ils se sont réveillés, c'étaient l'heure de leur moment préféré de la journée : le goûter. Et là tu aurais dû rentrer...
Or non... Mais je n'allais pas leur avouer... Comme ça, pendant un goûté...
Ils m'ont demandé où tu étais :
"-Il n'est pas rentré papa ?
-Non, mes enfants pas encore..."
Que devrais-je leur répondre. À voir leur mine contente et leur sourire radieux quand ils parlent de toi...
À l'heure du repas, tu n'étais toujours pas là. Et eux, t'attendaient devant la porte.
"-Papa ! Papa!" Ils criaient.
-À table ! Leur avais-je dit, mais ils n'avaient pas bougés.
"-Sans papa on ne mange pas ! Ce n'est pas un repas sans papa !
-Il va rentrer..."
Avais-je mentis.
Il est l'heure d'aller au lit maintenant, mais non, ils voulaient t'attendre, ils avaient regardes les informations mais rien ne les avaient touchés, ils n'avaient pas comprit...
Quand je les eus bordés dans leur lit superposé... J'ai inspiré et avoué :
"-Mes enfants... Mes enfants chéris... Des larmes jaillissaient. Je vous aime tellement... Je l'ai prit dans mes bras votre papa... Papa... Est... Mort durant les attentats des tours jumelles... Cet après-midi..."
Des pleurs... Des cris... Des pleurs... Toute la soirée...
Mais je ne leur ai pas dit que tu avais téléphoné...
"Chérie... C'est moi" respiration saccadée. "Tu as dû voir la télé ? Et j'y suis, je suis dans ce bureau, j'entends les pompiers... Mais je suis bien trop loin pour eux, j'en profite pour te dire combien je t'aime, dis aux enfants que je les aiment forts... Dis leurs que papa les aiment... Le téléphone coupa...
" non... Chérie...non..."
Je t'aime...
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