Vivi et Gilles : la rencontre...

Heyyy mes p'tits arcs en ciel masqués !!!

Sans plus attendre, je vous laisse, suite à ces quelques instants de suspense insoutenable, avec l'histoire de Gilles et Vivi, la rencontre qui changea la vie de l'un autant que celle de l'autre...

Vivi : Gilles ? Et bien, je... Je l'ai rencontré au lycée. J'avais 15 ans, il en avait 18, mais il n'étudiait pas, enfin, je veux dire, ce n'était pas un élève...

Journaliste : Hein ?!

Vivi : ...C'était mon prof de philo.

Journaliste : Quoi ?! Gilles était prof de philo, à 18 ans ?

Gilles (venant s'installer sur le canapé, saisissant immédiatement la poitrine de sa femme) : Oui, tout à fait, en fait j'ai fait quelques études supplémentaires et passé un diplôme d'enseignant pour me faire un salaire à côté de mes études plus importantes en économie et en informatique. J'avais besoin de ce SMIC de prof, parce que j'ai voulu partir de la maison très tôt, je me suis trouvé un appartement à 17 ans seulement, et j'avais besoin d'un peu d'argent pour payer le loyer et m'acheter à bouffer tout seul le temps que je termine mes études primaires et que je monte ma boîte. Ce qui a rapidement réussi. De plus j'ai hérité d'une grande partie de la fortune de mon grand-père. Mais bon, ce n'est pas le sujet.

Journaliste : Effectivement. Donc, vous vous êtes rencontrés au lycée, alors que toi Vivi, tu étais une élève de seconde de 15 ans et vous Gilles, un très jeune professeur de philosophie de 18 ans.

Gilles (après avoir posé un gros SMAAACK entre les seins de Vivi) : C'est exactement ça, vous avez tout compris !

(Il étouffe un peu plus la pauvre Victoire dans ses bras. Elle se dégage gentiment de lui, pas trop violemment parce que sinon il pourrait lui donner une gifle, et peut enfin reprendre.)

Vivi : Oui, sauf que... En début d'année, c'était un peu compliqué, on ne se voyait jamais parce que j'avais qu'une heure de philo par semaine et je séchais tous les cours.

Journaliste : Ah oui tiens, philo en seconde seulement ? Moi ça a débuté en première !

Vivi : Oui, mais dans mon lycée c'était spécial, ils nous initiaient à la philo dès la seconde, on avait une heure par semaine.

Gilles : ...Et donc, mademoiselle Vivi séchait tous mes cours, et moi, l'ayant repérée et ne sachant pas qu'elle était dans ma classe puisque je ne l'avais jamais vue et qu'il pouvait très bien s'agir d'une autre Victoire, j'ai au début essayé de me faire passer pour un élève pour mieux la séduire. Mais en fait je n'osais pas vraiment aller l'aborder, et puis à midi vu qu'elle passait toujours devant la table des profs, elle a dû me griller...

Vivi : Je ne me rappelle pas t'avoir vu manger avec les autre profes... Mais arrête de me tripoter deux secondes ! Tu veux bien me laisser finir l'interview avant d'essayer de m'arracher mon T-shirt comme ça ?!

Gilles : Je te signale que je participe aussi, maintenant.

Vivi : Euh, oui, et donc, au début nous ne nous connaissions pas vraiment mais à un moment...

Gilles (la coupant d'une manière tant violente qu'elle en est indescriptible) : Et donc un jour, alors que je donnais un contrôle à la classe de Victoire, j'ai entendu quelqu'un, une fille, parler très fort dans les couloirs.

J'ai indiqué à mes élèves que j'allais voir ce qu'il se passait, et j'ai même entendu quelques-uns d'entre eux susurrer : "C'est Victoire à coup sûr." Du coup je suis sorti et là, j'ai vu Vivi dans les couloirs, avec sa jupe noire, courte et frivole et son T-shirt qui ressemblait limite plus à un soutien-gorge tellement on voyait son ventre et ses seins. Elle était en train de discuter au téléphone, et elle parlait hyper fort, sans aucun problème, je me souviens qu'elle disait à son amie : "et tu vois, l'autre jour je lui ai sucé la ****** (#pourquoijecensurealorsqued'habitudejesuistrèsexplicitec'estunebonnequestion) et tout, et après il m'a prise par derrière, j'ai trop kiffé !" Parce que bien sûr, aujourd'hui encore cette... Cette... Cette femme ne sait pas se faire discrète.

(Vivi baisse les yeux et semble même rougir un peu)

Gilles : Je me suis discrètement approché d'elle, et puis je ne sais plus exactement de quoi elle s'est mise à parler avec l'autre, mais elle a accompagné cela d'une chorégraphie, elle s'est mise à dandiner son joli petit c... Ses fesses dans tous les sens. J'ai fini par la prendre par surprise.

Vivi (timidement) : Euh... Je peux avoir ma part d'explications aussi ?

Gilles : Bien sûr, vas-y, parle, ma poupée.

Vivi : ...Et du coup je disais à ma pote au téléphone que j'avais dansé pour le gars, et de mon côté j'ai refait la choré, toute seule dans les couloirs du lycée. Enfin, toute seule... C'était ce que je pensais jusqu'à ce que j'entende une grosse voix faire derrière : "Jeune fille, je ne te dérange pas j'espère ?" J'ai sursauté et quand je me suis retournée, j'ai vu Gilles. J'ai pris peur à cause de son regard menaçant (Gilles la toise de nouveau de son regard noir pour la narguer et la stresser) et je me suis carrément effondrée par terre.

Ma pote au téléphone était en train de hurler : "Allô ? Vicky, tu m'entends ? ALLÔÔÔ ??? Ils s'est passé quoi, après ?" J'ai vu Gilles regarder mon téléphone comme s'il allait le désintégrer, alors je me suis empressée de raccrocher. Et donc, quand il m'a deman... Non, pardon, ordonné (Gilles sourit fièrement tel un dominateur cruel de l'espère Christianus Greyus) de me lever je l'ai fait, et il a commencé à m'engueuler. En fait, il me parlait doucement et calmement, mais je devinais une rage indescriptible dans sa voix. Et puis il m'a fait tellement peur qu'à un moment j'ai reculé et je me suis cogné le dos contre le mur. Il m'a plaquée, il a fait en sorte que je reste collée à ce putain de mur, et il a continué de me faire la morale. Il n'y avait personne dans les couloirs, toutes les autres salles de cette partie-là du lycée étaient vides à cette heure.

Et donc à la fin de son monologue, j'étais limite traumatisée, la graveur et la colère dans sa voix m'avaient effrayée, je tremblais, mais pas seulement de peur. Je me rappelle m'être aussi sentie excitée à ce moment-là. Je... Enfin, ça m'a rendue très maladroite, du coup je suis encore tombée par terre. Cette fois-ci il m'a aidée à me relever, et m'a demandé comment je m'appelais. Quand j'ai dit : "Victoire Maledy", quand il a entendu mon nom de famille, il a découvert que j'étais en fait la Victoire de sa classe qui était absente à chaque cours de philo, et il s'est remis à m'engueuler. Il a fini par me ramener dans la salle où les autres faisaient leur contrôle, mais pas vraiment de force. Je... Je l'ai laissé me tirer par le bras, je me suis laissée faire.

Gilles (murmurant du mieux qu'il peut) : J'avais déjà pris le pouvoir sur elle...

Vivi : Gilounet je t'ai entendu, hein... Et donc je n'ai pas pu faire le contrôle puisque je ne suivais rien depuis le début de l'année, alors il m'a demandé de sortir une feuille et de rédiger un paragraphe pour me présenter à la place.

Gilles : Je reprends, hein.

Vivi : Quoi ? Mais non mais Gilles, moi j'ai envie de continu...

Gilles : Tais-toi, c'est MOI qui continue ! TAIS-TOI, JE TE DIS !

Journaliste : Langelo$h sera informé du fait que vous parlez toujours aussi mal à votre femme.

Gilles : Non désolé je voulais pas dire ça, j'ai perdu le contrôle, pardon Vivi chérie, BREF ! Ce qu'il s'est passé ensuite, c'est qu'à la fin de ce cours-ci je lui demandé de rester, bien évidemment, et de m'expliquer pourquoi elle ne venait pas depuis le début de l'année. Elle n'a rien répondu. Elle a baissé les yeux directement. J'ai insisté mais bien sûr cette petite chi... Enfin, Vivi n'a rien voulu dire. En fait elle n'avait aucun motif valable pour sécher mes cours, à part pour téléphoner à ses copines dans le couloir vide et leur raconter sa dernière nuit avec un client, n'est-ce pas Vivi ?

(Vivi ne dis rien, et regarde ailleurs.)

Gilles : Petite sal... Méchante, va ! Je l'ai deviné bien vite, et je lui ai demandé de m'expliquer pourquoi c'était mon cours qu'elle avait choisi de sécher, à chaque fois. Et du coup devinez ce qu'elle m'a répondu ?

Journaliste : ...

Gilles : Hein, ma Vivi, qu'est-ce que tu m'as répondu à ce moment-là ?

Vivi : Rien...

Gilles (s'énervant) : Voilà, c'est ça, exactement ça, elle ne m'a rien répondu du tout ! J'ai deviné que cette petite gar... Que Vivi devait sans doute penser que cette initiation à la philosophie en seconde ne servait à rien, était même facultative, et que ces cours-là ne seraient pas difficiles à faire craquer ! Mais elle se trompait complètement ! En plus il avait choisi de jouer avec la mauvaise personne. Hein que t'avais essayé de jouer à ça avec moi, petite coch... Vivi ?!

Vivi (dans un murmure) : C'était pas une raison pour toi de te mettre à jouer avec moi à ton tour.

Gilles : Et bien tu n'avais qu'à porter plainte ! Bref ! Mais c'est ainsi que nous nous sommes rencontrés. Et puis dans les semaines suivantes elle a voulu se rapprocher de moi, je n'ai pas compris. On a commencé à beaucoup discuter, et un jour alors qu'elle et moi finissions notre journée inhabituellement plus tôt que d'habitude (j'offre un cookie à celui qui a capté le putain de pléonasme ! x)), elle est venue me trouver et m'a demandé si je pouvais l'emmener chez moi. Hein Vivi, que tu m'as demandé de te ramener chez moi ?

Vivi : Oui, parce que... J'avais la flemme de prévenir mes parents que j'avais fini une heure plus tôt, je voulais vivre un peu ma vie tranquille sans devoir rentrer immédiatement à la maison, du coup c'était pour faire passer le temps...

Gilles : Mais pas que apparemment, puisque tu as commencé à beaucoup me chauffer une fois qu'on est montés dans ma voiture, hein, tu te souviens ?

Vivi : Oui...

Gilles : Et encore, ce n'est pas ça le pire ! Vous voulez savoir quelle a été la première chose qu'elle m'a demandé quand nous sommes arrivés ?!

Journaliste : Ben... Oui, je suis un peu censé tout prendre en note, je vous signale.

Gilles : Alors, sal... Vivi, qu'est-ce que tu m'as demandé ?

Vivi : Si je pouvais prendre ma douche... Tu veux pas me laisser finir de raconter, puisque t'arrêtes pas de me poser des questions ?

Gilles : Non, je fais ça exprès pour t'humilier au cas où t'aurais pas remarqué. Mais bon tu l'as remarqué, t'es pas si bête que ça quand-même, hein ?

(Il la serre dans ses bras (putain mais quelle idée de faire un perso aussi sadique ?! :/) avant de reprendre.)

Gilles : Oui, elle voulait prendre sa douche, parce que mademoiselle Vivi était très fière de montrer qu'après 15 ans à être aidée par sa grande-sœur chérie, elle savait enfin se laver toute seule !

Vivi (rougissant) : Mais arrêtes, t'es méchant !

(Gilles lui lance son regard sadique digne de celui d'un Christianus Greyus de première race.)

Gilles : Sauf qu'en fait au bout de moins de cinq minutes, tandis que je mettais la machine à café en marche, je l'ai entendue m'appeler depuis la salle de bains. Quand j'ai vu qu'elle n'avait même pas pris la peine de fermer ni la porte de la pièce, ni le rideau de douche, je me suis caché les yeux, mais elle m'a quand-même dit, notez-bien : "Tu peux me regarder tu sais..."

(Vivi se sent de plus en plus humiliée, Gilles jouit de plus en plus)

Gilles : Non mais c'est vrai, elle a honte, mais elle a vraiment dit ça. Elle m'a dit de venir dans sa douche. Moi j'ai catégoriquement refusé, mais comment elle insistait, c'était assez incroyable... Tiens, vas-y Vivi, imite-nous comment t'as fait pour me convaincre de venir avec toi dans la baignoire !

(Vivi explose en larmes, et Gilles continue en la serrant quand-même dans ses bras (le sadiiiiiiiiiiisme))

Gilles : Oui ben elle m'a supplié quoi, à genoux dans la baignoire avec le pommeau de douche qui faisait briller ses seins de gouttelettes d'eau, et puis elle est sortie, et elle a carrément commencé à se frot...

Vivi : NON MAIS ARRÊTES !!! GILLES !!! T'ES TROP MÉCHANT ! ARRÊTES, J'AI TROP HONTE JE TE DIS !

Gilles : ...Se frotter à moi en me suppliant de la suivre dans la baignoire et de me mettre à la toucher pendant qu'elle se pavanait sous le pommeau de douche. (Vivi pleure encore) Disons que notre première rencontre intime a été assez spéciale, et puis qu'à la fin de sa douche nous sommes allés dans ma chambre. La première chose que j'avais prévu de lui faire en arrivant était un café, mais la première chose que je lui ai faite suite à cet épisode imprévu a été l'amour. Bon, bien sûr mademoiselle la nympho-maso n'était plus vierge depuis un moment, déjà, et je l'ai remarqué tout de suite. Bon, je ne vais pas vous raconter chaque jour dans ses détails car de toute évidence je ne me souviens pas de tout et en plus ce serait trop long (NOOOONNNN, TU CROIS ????!!!!), mais nous avons continuée de nous fréquenter de cette manière. Le week-end, elle prétendait à ses parents qu'elle allait passer l'après-midi avec ses amies, dormir chez ses amies, mais en fait dans 85 % des cas c'était avec moi qu'elle passait l'après-midi, c'était même chez moi qu'elle dormait. J'ai appris à la connaître très vite, mais j'ai tâché de ne pas trop me l'approprier (Vivi : Oui, enfin, dans un premier temps !) parce que savais que je ne la verrai plus à la fin de l'année. J'allais arrêter d'être prof dans ce lycée après quelques années seulement pour me consacrer de nouveau entièrement à mes études primaires. Vivi allait continuer sa vie, sans doute.

Vivi (la voix tremblante) : En... En première je suis allée en L, parce que même si j'étais nulle en français et en anglais c'était nettement plus catastrophique dans les matières scientifiques, et les sciences économiques et sociales me faisaient plus chier qu'autre-chose. Du coup, j'ai bien emprunté une filière L et pas S ou ES. C'était... C'était aussi parce qu'en L on avait beaucoup de philo, et que la philo me rappelait toujours Gilles. Je m'accrochait à son souvenir, je ne voulais pas l'oublier, au début. Mais... Je... Enfin, je ne travaillais pas du tout... Deux ans après ma seconde, j'ai foiré à mon bac, je me suis tue à l'oral, j'ai rendu une feuille blanche à l'écrit, et j'ai fondu en larmes devant toute la salle à la fin de l'épreuve (putain j'ai l'impression que je vais chialer pour Vivi là c'est vraiment horrible x'(((( T'inquiètes ma belle pour me faire pardonner j'enverrai Angèle Jobars te faire des câlins tout à l'heure <3)

L'interruption racontage de vie et cassage d'ambiance : OMG mais qu'est-ce qu'il me prend de crever la dalle comme ça à 1 heures du matin ???!!! Je recommence à bouffer des bretzels et des céréales exactement comme je l'ai fait toute la journée !! Putain je mâche exactement du côté où ça me fait mal je suis vraiment un gros maso moi x)))

Gilles : Deux ans plus tard en effet, Vivi allait redoubler sa terminale et moi j'avais monté ma boîte et commencé à faire des affaires. C'est en boîte de nuit que nous nous sommes retrouvés pour la deuxième fois, et cette fois, une partie de notre destinée à tous les deux allait s'écrire.

Suspense...

On se retrouve très bientôt dans une nouvelle partie retraçant la suite de l'histoire de Gilles et Vivi, avec comme d'habitude un bon grade de malaise et un degré de sadisme excessivement élevé du côté de Gilles !

(Putain mais en vrai Gilles et Vivi ça ressemble trop à Cinquante Nuances de Grey c'est horrible xD Le pire c'est que quand j'ai inventé l'univers de ce couple j'avais pas encore vu Fifty Shades ! Putaaaaaiiiiiiinn je suis trop flippant en vrai ! :/)

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