Petite surprise : le début d'une ancienne histoire ! x'D

Hey ! (la flemme d'écrire "mes p'tits arcs en ciel masqués", sauf que là je viens de le faire mdr)

J'avais parlé tout à l'heure de petites surprises dans mon rant book ? En voilà une !

Si vous êtes du genre à commencer une partie sans lire les titres et que vous aviez donc pas compris, je vais vous filer le début d'une de mes anciennes histoires, une que j'écrivais en sixième-cinquième, quelque chose comme ça. C'était il y a environ cinq ans, et j'ai pu constater qu'entre eux je me suis beaucoup amélioré ! Je vous propose donc de découvrir ça tout de suite !

L'héroïne de cette histoire s'appelle Angèle (persos récurrents, quand vous nous tenez), et dans ce premier chapitre elle va découvrir qu'elle a... Des pouvoirs de glace, oh mon dieu !

- Attends, mais... C'est nul !

Bah oui, c'est bien pour ça que je mets cet extrait dans mon rant book ! J'aime bien m'humilier moi-même ! D'ailleurs, je t'avais dit qu'en fait, Vitoria et moi on avait un lien de famille caché ? (ceux qui lisent Supplice vers le Paradis comprendront xD)

Et comme par hasard il faut que ce soit écrit à la HUM HUM troisième personne HUM HUM, le tout avec un vocabulaire HUM HUM riche et varié HUM HUM.

L'histoire dans le genre un peu fantastique, on a compris, devait contenir 38 chapitres ou quelque chose comme ça, mais bien sûr comme j'ai beaucoup avancé dessus je me suis arrêté au chapitre numéro... 8. Non non, ni 38, ni 28, ni 18, mais bien 8.

Bref, vous vous en foutez, et donc je vous file enfin ce fucking extrait !

"Je marchai comme ça, dans la rue, avec mes vieilles bottes toutes déglinguées. Je voyais des gens autour de moi qui riaient en voyant ma semelle pendre, et certains me regardaient comme si j'étais une extraterrestre. Mais, à vrai dire, je m'en fichais complètement. Les gens qui était autour de moi ne ressemblaient qu'à de vulgaires fourmis. Je ne vais pas dire que je suis prétentieuse, ce n'est pas le cas. Je veux juste qu'on me laisse tranquille et qu'on arrête de se croire au-dessus de moi, même si je n'en ai pas grand-chose à faire. Du coup, ça me fais du bien de m'imaginer qu'il n'y a que moi et les gens qui comptent sur terre, et que les autres ne sont que des fourmis. C'est drôle, je m'imagine parfois les écraser : Qu'ils me foutent un peu la paix ! Est-ce que je viens, moi, les emmerder dans la rue juste à cause d'une vieille semelle ? Je continuai de marcher, sous les regards curieux de plusieurs autres passagers. Je vis alors un type de ma classe qui traînait avec ses débiles de copains qui se prennent pour des caïds arriver vers moi en dandinant un peu son derrière, exprimant sur son visage à la fois un caractère sérieux, et à la fois agacé. Puis, il s'arrêta, et, suivi des ses copains, se tordit de rire. En fait, il m'imitait. Je l'avais bien remarqué. Et lui, je pense qu'il avait bien remarqué qu'il était en train de m'énerver. Puis, il recommença, et prit soudain sa chaussure en disant :

« Ah, ma semelle ! »

Là, je n'en pouvais plus. Je m'éloignai, mais lui me suivi (je laisse volontairement les fautes xDDD RIP ma prof de français) comme un mouton. Je lui lançai alors :

« Je n'aime ni les moutons, ni les perroquets ! »

Alors, il se mit à chanter :

« Tout ce que je fais, mon âne, mon âne, tout ce que je fais, mon âne le refais ! » (la référence nulle, le personnage nul)

Exaspérée, je lui lançai :

« Oh oui, et je n'aime pas non plus les ânes ! » (tu t'aimes pas toi-même quand tu rigoles en fait ducon... hum hum)

Il continua :

« Ah, ma semelle ! Aïe, je tombe ! Oh non, en plein dans la boue ! Il faut que je rentre, et que maman me lave ! »

Là, il avait dépassé la borne. Je sentis mes poings se serrer très fort, et je commençais à serrer les dents et à froncer les sourcils. Puis, je commençais à me sentit chaude, très chaude. J'étais presque sûre que les gens autour de moi voyais du rouge sur mon visage. Ensuite, ce fut mon cœur qui s'y mit : Je me sentais prête à lui sauter dessus. Mais, je n'arrivais pas à avancer. Et pourtant, ce désir était insupportable. Ce gars m'exaspérait. J'avais envie de briser la glace, de le démonter, de lui montrer qui j'étais. En parlant de glace, je sentis soudain un étrange frisson me parcourir tout le corps. (attention ça devient intéressant x')) Et, soudain, mes poings se lâchèrent. Avant que je puisse me poser quoi que ce soit comme question, je vis soudain un énorme iceberg surgir de nulle part, juste au-dessus du gars. Lui, il sentit une ombre au-dessus de sa tête, et il commençait à avoir des frissons. Il leva les yeux, et hurla en apercevant le bloc de glace. De mon côté, je ressentis soudain un autre frisson, et mon bras dériva, sans que je le contrôle. Alors, le bloc de glace tomba sur le type, qui s'égosilla de terreur. Il tenta de s'enfuir, mais l'iceberg s'abattit sur lui, et toute la glace se cassa en mille morceaux, tandis que l'autre crétin était au sol, et que ses amis s'étaient enfuis. À mon plaisir et ma surprise, il commença à pleurer. Et il pleurait fort, très fort ! Comme un bébé. Plus tard il s'était calmé, et se releva. Alors, il s'approcha et moi de tenta de me donner un coup de pied, mais je l'esquivai avec une souplesse incroyable, et soudain un enfant commença à rire, et je vis la semelle du mec voler en l'air. (KARMA !) Je souriais cruellement, très cruellement. Je me sentais incroyablement bien et froide, et je commençai à dire, en prenant une voix de racaille :

« Oh vas-y, ma semelle ! Il faut que je rentre chez moi pour aller dans les bras de ma mère et chialer, wesh, comme un gosse, mon gars, comme un gosse ! »

Les gens autour de moi éclatèrent de rire, et le type était furieux. Il me dit sèchement :

« Tu vas voir, tu va me le payer ! » (Oh la la, que j'ai peur !)

et il sortit un briquet, comme si il allait me brûler. Cependant, je continuai de sourire. Et je n'arrivais pas à m'arrêter. Je contractai tout les muscles de ma bouche pour reprendre un visage neutre, et pourtant je sentais encore ce sourire. J'en avait mal aux joues, mais en même temps, j'étais très contente. Pas de doute, je commençais à devenir cruelle. Me voyant garder ce visage méchant mon ennemi me dit :

« Vas-y, non mais je vais te brûler ! Pour de vrai ! Je plaisante pas, là ! »

Je sentis soudain ma bouche s'ouvrir, et je lâchai un rire grave et méchant. Le mec alluma son briquet. Le rire devint plus fort. Il couru (il courut sans le "t" ptdrrrrrr) vers moi, et je vis mon bras se tendre brusquement en avant, et stopper le gars. Il tendit le sien pour m'atteindre avec son briquet. Alors, mon 2nd (!!! "2nd", c'est quoi cette blague ?!) bras arriva, et ma main pris le briquet, et le lança sur la place. Il atterrit sur son sac de cours, qui commença à prendre des flammes. Le gars était à présent terrorisé. Alors, je me mis à éclater de rire. Je sentis soudainement mes jambes se soulever du sol, et mon corps qui commençait à tourner sur lui-même. J'avais envie de vomir, alors je fermai les yeux pour me rassurer. Je les rouvrit une seconde plus tard, et j'aperçus devant moi la porte de mon immeuble. Attendez, qu'est-ce que ça veut dire ? Ne me dîtes pas que (traduction : ne me dites pas que, ou une expression qui n'a rien à foutre dans un récit au passé simple)... Non ! Je commençais à me pincer le bras : je venais de me téléporter !!! J'essayai désespérément de me réveiller, car je me croyais en plein rêve. Et pourtant, j'étais bien réveillée."

Et bien voilà, même si c'était de la merde j'espère que cette petite partie vous aura fait rire, moi j'ai pu constater que je m'étais beaucoup, mais alors BEAUCOUP TROP amélioré. xD

Bong, et beng, sur ce je vous dis à la prochène ! (en fait c'est l'accent du sud hein mdr)

Vous avez vu, je ne vous ai pas mis tout l'extrait en italique ! Je ne suis pas si sadique que ça au fond !

...

"Je marchai comme ça, dans la rue, avec mes vieilles bottes toutes déglinguées. Je voyais des gens autour de moi qui riaient en voyant ma semelle pendre, et certains me regardaient comme si j'étais une extraterrestre. Mais, à vrai dire, je m'en fichais complètement. Les gens qui était autour de moi ne ressemblaient qu'à de vulgaires fourmis. Je ne vais pas dire que je suis prétentieuse, ce n'est pas le cas. Je veux juste qu'on me laisse tranquille et qu'on arrête de se croire au-dessus de moi, même si je n'en ai pas grand-chose à faire. Du coup, ça me fais du bien de m'imaginer qu'il n'y a que moi et les gens qui comptent sur terre, et que les autres ne sont que des fourmis. C'est drôle, je m'imagine parfois les écraser : Qu'ils me foutent un peu la paix ! Est-ce que je viens, moi, les emmerder dans la rue juste à cause d'une vieille semelle ? Je continuai de marcher, sous les regards curieux de plusieurs autres passagers. Je vis alors un type de ma classe qui traînait avec ses débiles de copains qui se prennent pour des caïds arriver vers moi en dandinant un peu son derrière, exprimant sur son visage à la fois un caractère sérieux, et à la fois agacé. Puis, il s'arrêta, et, suivi des ses copains, se tordit de rire. En fait, il m'imitait. Je l'avais bien remarqué. Et lui, je pense qu'il avait bien remarqué qu'il était en train de m'énerver. Puis, il recommença, et prit soudain sa chaussure en disant :

« Ah, ma semelle ! »

Là, je n'en pouvais plus. Je m'éloignai, mais lui me suivi comme un mouton. Je lui lançai alors :

« Je n'aime ni les moutons, ni les perroquets ! »

Alors, il se mit à chanter :

« Tout ce que je fais, mon âne, mon âne, tout ce que je fais, mon âne le refais ! »

Exaspérée, je lui lançai :

« Oh oui, et je n'aime pas non plus les ânes ! »

Il continua :

« Ah, ma semelle ! Aïe, je tombe ! Oh non, en plein dans la boue ! Il faut que je rentre, et que maman me lave ! »

Là, il avait dépassé la borne. Je sentis mes poings se serrer très fort, et je commençais à serrer les dents et à froncer les sourcils. Puis, je commençais à me sentit chaude, très chaude. J'étais presque sûre que les gens autour de moi voyais du rouge sur mon visage. Ensuite, ce fut mon cœur qui s'y mit : Je me sentais prête à lui sauter dessus. Mais, je n'arrivais pas à avancer. Et pourtant, ce désir était insupportable. Ce gars m'exaspérait. J'avais envie de briser la glace, de le démonter, de lui montrer qui j'étais. En parlant de glace, je sentis soudain un étrange frisson me parcourir tout le corps. Et, soudain, mes poings se lâchèrent. Avant que je puisse me poser quoi que ce soit comme question, je vis soudain un énorme iceberg surgir de nulle part, juste au-dessus du gars. Lui, il sentit une ombre au-dessus de sa tête, et il commençait à avoir des frissons. Il leva les yeux, et hurla en apercevant le bloc de glace. De mon côté, je ressentis soudain un autre frisson, et mon bras dériva, sans que je le contrôle. Alors, le bloc de glace tomba sur le type, qui s'égosilla de terreur. Il tenta de s'enfuir, mais l'iceberg s'abattit sur lui, et toute la glace se cassa en mille morceaux, tandis que l'autre crétin était au sol, et que ses amis s'étaient enfuis. À mon plaisir et ma surprise, il commença à pleurer. Et il pleurait fort, très fort ! Comme un bébé. Plus tard il s'était calmé, et se releva. Alors, il s'approcha et moi de tenta de me donner un coup de pied, mais je l'esquivai avec une souplesse incroyable, et soudain un enfant commença à rire, et je vis la semelle du mec voler en l'air. Je souriais cruellement, très cruellement. Je me sentais incroyablement bien et froide, et je commençai à dire, en prenant une voix de racaille :

« Oh vas-y, ma semelle ! Il faut que je rentre chez moi pour aller dans les bras de ma mère et chialer, wesh, comme un gosse, mon gars, comme un gosse ! »

Les gens autour de moi éclatèrent de rire, et le type était furieux. Il me dit sèchement :

« Tu vas voir, tu va me le payer ! »

et il sortit un briquet, comme si il allait me brûler. Cependant, je continuai de sourire. Et je n'arrivais pas à m'arrêter. Je contractai tout les muscles de ma bouche pour reprendre un visage neutre, et pourtant je sentais encore ce sourire. J'en avait mal aux joues, mais en même temps, j'étais très contente. Pas de doute, je commençais à devenir cruelle. Me voyant garder ce visage méchant mon ennemi me dit :

« Vas-y, non mais je vais te brûler ! Pour de vrai ! Je plaisante pas, là ! »

Je sentis soudain ma bouche s'ouvrir, et je lâchai un rire grave et méchant. Le mec alluma son briquet. Le rire devint plus fort. Il couru vers moi, et je vis mon bras se tendre brusquement en avant, et stopper le gars. Il tendit le sien pour m'atteindre avec son briquet. Alors, mon 2nd bras arriva, et ma main pris le briquet, et le lança sur la place. Il atterrit sur son sac de cours, qui commença à prendre des flammes. Le gars était à présent terrorisé. Alors, je me mis à éclater de rire. Je sentis soudainement mes jambes se soulever du sol, et mon corps qui commençait à tourner sur lui-même. J'avais envie de vomir, alors je fermai les yeux pour me rassurer. Je les rouvrit une seconde plus tard, et j'aperçus devant moi la porte de mon immeuble. Attendez, qu'est-ce que ça veut dire ? Ne me dîtes pas que... Non ! Je commençais à me pincer le bras : je venais de me téléporter !!! J'essayai désespérément de me réveiller, car je me croyais en plein rêve. Et pourtant, j'étais bien réveillée."

^^ ^^

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top