Gilles et Vivi : La (re)rencontre qui scella le destin
Hey mes p'tits arcs en ciel masqués !
Langelo$h, la personne schizo tantôt meuf-tantôt mec-tantôt neutre et tantôt immature et drôle-tantôt grave et flippante, vous retrouve dès maintenant pour la suite de l'histoire de Gilles et Vivi, le tout en images, s'il-vous-plaît !
...
...
Non mais vous avez sérieusement cru que j'allais mettre des images à chaque description ?! Non mais vous êtes pas bien, vous !
Vous (déçus) : Oooooohhh...
Quoi, parce que vous aviez envie de voir Vivi à poil, quand elle est bourrée ou complètement défigurée ?! Voilà, je ne crois pas, non, en plus j'ai pas envie de subir de censure. Alors, autant ne pas prendre le risque.
...Bon OK, je vous accorde quand-même deux images rinmaru, mais pas plus ni moins !
Putain Gilles sa tronche de sadiiiiiiiiique ! :O <!
Gilles : Donc, moi j'étais dans cette boîte de nuit avec quelques employés pour fêter le début du business de mon entreprise, et Vivi... Oh, elle devait être là pour boire et faire la belle au lieu de réviser ses cours !
(Vivi baisse de nouveau les yeux.)
Gilles : Ah, vous voyez ?! Quand elle réagit comme ça, c'est que j'ai raison ! Et vu qu'elle réagit toujours comme ça dès que je dis quelque-chose... (Gilles se vante d'avoir toujours raison, Vivi n'ose plus relever les yeux et le journaliste a une soudaine envie de bifler ce pervers narcissique pour le remettre à sa place une bonne fois pour toutes. Il s'en chargera sans doute plus tard.) Voilà, et donc à un moment donné je me suis senti un peu délaissé parce que les quelques employés que j'avais emmenés avec moi étaient complètement bourrés et se sont jetés sur la piste de danse quand le DJ a commencé à passer une chanson que j'étais le seul du groupe à ne pas vraiment aimer. Du coup, je n'ai pas voulu les rejoindre. Mais c'est à ce moment-là que j'ai vu Vivi. Elle était dans une toute petite robe rouge et brillante, et comme d'habitude ses talons faisaient au moins vingt centimètres. Pas vrai ma Vivi ? (Vivi ne dit toujours rien.) Ouais, bon bref, et du coup quand je l'ai vue je l'ai reconnue immédiatement. J'ai senti mon cœur battre la chamade, et je suis allé me poser contre le comptoir du bar juste à côté d'elle, mais je n'ai rien fait d'autre que de commander un verre. Et justement, c'est quand elle m'a entendu commander je sais plus quoi au barman qu'elle s'est retournée vers moi. Elle m'a dit quelque-chose du genre "Je kiffe ta voix bébé, en plus t'es trop beau !", pas vrai Vivi ? (elle kiffait sa voix ? OK, elle était VRAIMENT bourrée. xDDDD)
Vivi : Euh... Je... Me rappelle pas avoir dit ça... Mais ce que je sais, c'est qu'au début, je n'ai pas reconnu mon ancien et très jeune professeur de philosophie.
Journaliste : Et juste, désolé de vous interrompre, mais comme c'était 2 ans plus tard, Vivi avait 17 ans et Gilles en avait 20, c'est bien cela ?
Gilles (coupant brutalement sa femme tandis qu'elle avait commencé à répondre) : Oui, c'est exactement ça. Et figurez-vous que je n'ai rien eu besoin de faire d'autre que d'aller me poser à côté d'elle sans même lui parler qu'elle tombait toute seule dans mon panier, alors bon... Elle a... Oui, bon, elle a joué de ses charmes pour me séduire un peu plus (il ne manque pas de lancer un regard pervers aux seins de Vivi), et j'ai fini par la ramener chez moi, vous voyez. J'ai envoyé un message à un de mes employé qui était toujours sur la piste de danse avec les autres, je lui ai écrit un truc du genre : "Je rentre, je commence plus tôt que vous demain" pour me justifier, alors qu'en fait le lendemain l'entreprise n'ouvrait pas ses portes de la journée. Mais il était bourré, comme je le voulais il m'a cru et m'a juste répondu : "OK, bonne nuit boss". En vérité bien sûr, je suis sorti de la boîte à seulement 3 heures du matin avec Vivi à moitié avachie dans les bras.
Journaliste : Vos employés sont rentrés seuls ? Mais ils étaient tous saouls !
Gilles : Oui, mais ils sont rentrés à pied et les rues étaient vides, c'est l'un d'eux qui me l'a dit au début de la semaine suivante. Il ne leur est rien arrivé, ils ont juste un peu gueulé... Mais moi, j'étais déjà bien au chaud sous mes draps avec Vivi. J'avais immédiatement reconnu son corps et son aura, mais d'après ce qu'elle m'a dit dans les jours suivants elle ne m'avait toujours pas reconnu à ce moment-là. (Jetant un regard à sa femme) Enfin, je trouve quand-même ça bizarre, elle aurait dû voir que c'était moi, quand-même ! Hein, Vivi ? Combien est-ce que tu as déjà rencontré d'hommes ici en France qui avaient une aussi grosse bi...(le journaliste tousse bruyamment.)
Journaliste : Je vous remercie, je n'ai pas besoin des détails ! Ensuite, j'aimerais bien que ce soit un peu à Vivi de prendre la suite ! J'aimerais entendre son point de vue !
(Gilles rechigne et Vivi prend enfin la parole.)
Vivi : Et bien... Je n'ai que très peu de souvenirs de cette nuit-là. Je me rappelle de quelques sensations intenses et de quelques images de Gilles derrière moi qui me toise de son regard dominateur, mais c'est tout je crois...
Gilles : Moi je me rappelle de tout, Vivi. De la lev****, des innombrables fell******* que tu m'as faite et des pénétrations entre-temps. (#jecomprendspaspourquoijecensuredesmotsoklmpeut-êtrepourpréservervotreinnocencemêmesielleestdéjàprobablementplusexistantedutout)
Vivi : Oui, oui, mais et donc le lendemain, je voulais pas partir étudier, je voulais pas retourner au lycée. Je pense que ça a bien arrangé Gilles (son mari acquiesce avec un sourire de Christianus Greyus (même si Grey sourit jamais bref)), il m'a chuchoté à un moment qu'il descendait à la boulangerie. Moi je n'ai pas bougé entre-temps (Gilles : T'aurais peut-être dû si tu voulais sauver ton avenir...), je... J'étais avachie sur son lit, encore à moitié endormie, donc même si je le voulais je ne pouvais pas m'en aller, parce que ça impliquait de me réveiller complètement. Et pourtant j'aurais voulu m'en aller. (Gilles retient un éclat de rire sadique) Du coup, il a fini par remonter avec des croissants et un pain au chocolat, ça a été mon petit-déjeuner, et puis je me suis tellement attachée à cet endroit que je n'ai pas voulu m'en aller, en fin de compte. Et lui, comme il ne travaillait pas, il est resté avec moi. Et bien sûr, on a passé notre journée à faire et refaire l'amour. Je me rappelle mieux de ces fois-là que de celle qui a eu lieu dans la nuit.
Gilles : Exact, mais donc par la suite, pour vous épargner les détails, Vivi et moi avons recommencé à nous fréquenter, et j'ai fini par rencontrer ses parents. Au début je les voyais me regarder d'un mauvais œil, mais en fin de compte après avoir tiré sur quelques ficelles ils m'adoraient et ils avaient totalement confiance en moi. (#marionnettiste ^^) Victoire a fini par s'en aller de la maison pour venir habiter chez moi. La journée quand j'allais travailler je lui faisais confiance pour aller en cours, je lui ai laissé mon double de clés pour qu'elle puisse rentrer directement sans avoir à m'attendre dehors, puisqu'elle finissait toujours beaucoup plus tôt que moi, mais figurez-vous qu'en fait, à chaque fois, Vivi restait bien tranquillement dans le salon à téléphoner à ses copines et à chauffer ses clients par texto ! Et des fois elle sortait, bien sûr, elle sortait les retrouver, ces clients... Hein petite sal... Vivi ?!
Vivi : O... Oui, c'est vrai, il a raison... Je lui ai moi-même avoué un jour. Moi aussi je sais manipuler après tout, et j'ai réussi à le convaincre de me laisser ne plus aller en cours du tout. Du coup je n'ai jamais repassé mon bac, et je n'ai jamais fait d'études.
Gilles : T'as manipulé le plus grand des manipulateurs et après tu t'étonnes que t'as eu des problèmes...
Vivi : On a passé trois ans à vivre ensemble comme ça. La première année comme j'étais encore mineure on se cachait un peu, mais dès que j'ai eu 18 ans on avait plus honte de rien. On sortait dans la rue, main dans la main, on s'embrassait... C'était le bon vieux temps... (Gilles retient un éclat de rire sadique par un sourire sadique qui fait remonter ses mâchoires jusqu'aux oreilles et montre ses dents un peu jaunes, parce que c'est leur couleur naturelle et que si vous les voyez complètement blanches sur les photos c'est juste parce qu'il y a du photoshop.) Quand j'avais 20 ans et lui 23, nous avons décidé de nous marier. Donc pendant quelques semaines nous avons préparé nos noces. Quelque-chose comme trois mois avant le mariage nous avions passé une folle nuit, que je regrette beaucoup...
Gilles : Vivi, Innocente est dans la pièce juste à côté, ne parle pas si fort s'il-te-plaît. (x'D)
Vivi : Le jour de notre mariage nous étions heureux, même si...
Gilles : ...Même si Vivi a osé faire quelques bêtises avec son témoin alors qu'on venait pourtant d'échanger les alliances.
Vivi : Euh, oui, et donc à part ça, notre lune de miel a été fantastique, incroyablement romantique, et en même temps tellement sauvage... Ce n'est que le lendemain et dans les jours qui ont suivi que les choses ont commencé à partir en sucettes... Bon déjà le lendemain Gilles m'a lavé le cerveau en me rentrant dans la tête que j'étais faible et soumise, et puis dans les jours d'après il s'est mis à ne plus m'aider du tout à faire les tâches ménagères.
Journaliste : Gilles, votre comportement de macho va vous faire valoir une haine irrécupérable auprès de Langelo$h.
Gilles : Mais combien de fois il va falloir que je le répète, je ne suis PAS macho ! Je ne m'étais jamais comporté comme ça avec personne ! Vivi était la seule !
Vivi : Mais je t'ai déjà dit que c'était pas juste ! Pourquoi c'est forcément sur moi que t'as tout fait retomber ?!
Journaliste : Bon, d'accord, calmons-nous, terminons tranquillement de discuter et j'irai toucher un mot de toutes ces choses à Langelo$h.
Vivi : Euh, oui, et donc, il devenait de plus en plus méchant avec moi, et une semaine plus tard à peine, vous savez ce qu'il me sort ?! Que je devenais grosse, alors que je ne mangeais presque pas. Je me suis inquiétée, et c'est seulement à ce moment-là que nous nous sommes rendus compte qu'à l'issue de cette folle nuit que nous avions passé trois mois avant notre mariage, il m'avait mise enceinte. Gilles a été réjoui de cette nouvelle, mais moi je me suis effondrée en larmes. En plus il était trop tard pour avorter. Et c'est comme ça que, 5 nouveaux mois plus tard, je me suis retrouvée à vivre la pire torture de ma vie et j'ai fini par accoucher d'Innocente.
Journaliste : D'accord, donc si je comprends bien votre fille aînée était une enfant non-désirée.
Vivi : Exact.
Gilles : Oui, mais moi j'ai su me réjouir de cette nouvelle, contrairement à Vivi. Je ne sais pas si c'est vraiment l'arrivée d'Innocente qui a provoqué cela, mais nous avons commencé, ma femme et moi, à avoir beaucoup de conflits. C'est également à cette période-là que ma boîte à bien failli faire faillite à cause de la montée en popularité de cette foutue Jobars enterprise, du coup j'étais constamment stressé.
Vivi : Oui, exact, et il est devenu encore plus jaloux et possessif qu'avant, et c'est exactement là qu'il a commencé à me battre en permanence ! Et Innocente ne disait rien !
Journaliste : Oui, enfin, elle était encore toute petite, c'était à toi de prendre les choses en main !
Vivi : Oh non, détrompe-toi mon loulou, bébé elle a appris à changer ses couches toute seule et à 4 ans elle se lavait toute seule et elle avait déjà conscience d'un grand nombre de choses dans la vie ! Le pire c'était que Gilles lui expliquait ce qu'il me faisait ! Il lui disait très clairement les choses, mais elle, elle restait totalement indifférente ! Personne n'est venu m'aider ! Gilles était possédé par son démon qu'il essayait jusqu'alors de refouler, et il a fini par contaminer Innocente, elle est devenue aussi sadique que lui !
Gilles : Ah non, excuse-moi ma chi... Ma Vivi, mais Innocente a toujours été totalement sadique. Je ne l'ai pas influencée ou quoi que ce soit.
Vivi : Mais si ! Avant, elle ne disait rien du tout ! Elle restait totalement indifférente ! Je me rappelle très bien qu'un jour elle était en train de me regarder me faire violer par cet espèce de... De... Par Gilles, et elle a fini par rire juste parce qu'il riait aussi ! Je m'en souviens !
Gilles : Je te conseille de baisser d'un ton, Vivi.
Vivi : Mais, laisse-moi parler comme je veux ! J'en ai marre de toi ! Tu m'as fait vivre trop de choses horribles ! Tu me frappais alors que je ne t'avais rien fait, tu arrivais et tu me fouettais avec ta ceinture alors que je ne t'avais même pas adressé la parole et que j'étais juste allée poser mon sac dans la chambre, tu m'humiliais tout le temps en public pour rien, et tu te prenais vraiment pour mon maître !
Journaliste : Mais... Est-ce que tu penses que ton mari... Voyait cela comme un simple jeu érotique ?
Vivi : Bien évidemment, mais il voyait aussi très bien que moi, je n'avais plus du tout envie de jouer ! Mais il continuait quand-même ! Et à chaque fois il... Il... (Vivi fond en larmes) MAIS, GILLES, TU ME SAOULE ! à chaque fois, il finissait par me convaincre à nouveau ! à chaque fois, je finissais par apprécier ce qu'il me faisait et je me remettais à jouer avec lui comme si mon consentement ne s'était jamais effacé une seule seconde ! Il... Il arrêtait pas de me manipuler, il s'amusait avec mon corps et mon âme à sa guise, et il finissait toujours par trouver un moyen de m'empêcher de rejeter la faute sur lui ! C'était soit je finissais par être consentante à nouveau, soit je prenais sur moi ! C'est pour ça qu'aujourd'hui tu ne devrais pas m'empêcher de clamer haut et fort que tout est de ta faute, Gilles ! Parce que c'est vraiment de ta faute !
Gilles : Ouais, ouais, vas-y, cause toujours. Mais donc, le fait est que mademoiselle Vivi a fini par se "rebeller" pour de bon, et a demandé le divorce. Je me suis barré de la maison, je suis retourné dans mon ancien appartement que je n'avais fort heureusement pas vendu, parce que oui on en avait acheté un nouveau, depuis notre mariage. J'aurais pu prendre Innocente avec moi directement, mais Vivi a même refusé de me laisser ma part de garde parentale. Il m'a suc... Elle m'a fait du chantage sexuel pour que je finisse par m'en aller en ayant simplement dit au revoir à ma fille. Et d'ailleurs je crois qu'Innocent a beaucoup trop souffert de ça, et comme elle avait conscience que tout était de la faute de sa mère, elle se vengeait cruellement sur elle.
Vivi : Mais non ! Elle n'aurait pas dû fait ça, parce qu'à la base c'est juste à cause de toi que j'ai demandé le divorce ! Sauf que comme j'avais peur qu'Innocente ne subisse la même chose que moi en restant avec son père, je lui ai sauvé la mise ! C'est tout ! Elle aurait plutôt dû me remercier.
Innocente (sortie de sa chambre pour venir chiper un paquet de biscuits dans le placard) : N'importe-quoi. T'avais surtout peur de rester toute seule, ouais, parce que papa m'aime beaucoup trop pour oser me faire subir la même chose qu'à toi. Tu voulais trouver quelqu'un d'autre à humilier que toi-même quand tu sortais faire des conneries dans la rue. C'est pour ça qu'à chaque fois, je devais l'accompagner partout où elle allait. Et j'avais envie de la gifler tellement elle faisait n'importe-quoi. D'ailleurs je l'ai déjà giflée plusieurs fois, hein maman ?
(Vivi baisse ses yeux brouillés de larmes, les dents et les cuisses serrées, et Innocente se barre avec trois paquets de gâteaux oklm)
Vivi : Peut... Peut-être, mais au moins, Gilles ne pouvait plus m'empêcher de faire ce que je voulais ! Il n'était pas là en chair et en os pour m'interdire de vivre ma vie et me frapper si jamais je ne lui obéissais pas !
Gilles : Peut-être, mais moi j'avais gardé son numéro de téléphone et je passais mon temps à la spammer de messages haineux et à lui demander des nudes. En plus cette sale chi... Cette... Cette femme de petite vertue m'avais chipé ma deuxième carte bancaire ! Elle n'achetait jamais rien avec son propre argent, et pourtant elle en avait un paquet ! Elle était juste trop radine.
Vivi : Sauf que la plupart du temps je n'y faisais pas attention, et je vivais tranquillement ma vie ! J'étais enfin libre, et heureuse !
Gilles : Notre procédure de divorce a pris beaucoup de retard, et n'a d'ailleurs jamais abouti, puisque Vivi préférait sortir foutre ses seins en plein milieu de champ de vision du premier passant au lieu de s'intéresser aux papiers. Notre plus grosse séparation a duré deux ans. Quand je suis revenu m'installer chez Vivi, même si elle ne le voulait pas au début, j'ai annulé le divorce.
Journaliste : ??? C'est possible, ça ?
Gilles : Moi j'ai réussi en tout cas. (Vivi : Il a dû corrompre le juge, je pense...) Et donc je suis revenu. Au début c'était toujours pas super, et puis là il y a pas si longtemps que ça j'en ai eu marre de m'en prendre à Vivi, je n'avais plus besoin de souffre-douleur. Du coup j'ai arrêté.
Journaliste : Peut-être, mais vous avez quand-même pris un malin plaisir à l'humilier fortement tout au long de cette interview...
Gilles (non sans prendre garde au commentaire du journaliste) : Entre-temps, nous avons fait notre deuxième enfant, Gilles Jr. Vivi a accouché de lui il n'y a pas si longtemps que ça. Là il est gentil, il dort dans notre chambre. Je pense qu'il va réclamer son lait tout à l'heure. (Il lance un regard pervers à Vivi) Moi aussi je ne vais pas tarder à réclamer mon lait, Victoire...
Journaliste : Bon, euh... Je... Suppose que vous avez terminé de raconter votre histoire...
Gilles : Tout à fait, je considère également. Vous allez nous laisser, maintenant ?
Journaliste : Oui, je pense que je ne vais pas tarder à y aller, oui. (Il se lève)
Vivi : Oh non, attends, reviens mon bichon, je voulais te dire un truc !
(Gilles lui donne une grande claque.)
Gilles : Hors de question ! Je te connais mieux que si je t'avais faite je te rappelle Vivi, il n'est pas question que tu ailles coucher avec lui ! Il va rentrer et faire son rapport, il va faire son boulot de journaliste ! Et toi aussi d'ailleurs t'as des trucs à faire, il me semble. Genre, faire le ménage, préparer le repas...
Journaliste (avant de franchir le pas de la porte) : Langelo$h vous jugera un jour, Gilles.
(Il sort)
~
Voilà je pense que nous en avons terminé avec l'histoire de Gilles et Vivi ^^ à votre avis, est-ce qu'Innocente mériterait d'avoir à faire à Pascal le grand-frère ? Et donc à part ça je vous laisse, j'ai un autre truc à rédiger et en plus je dois préparer le jugement de Gilles, parce que d'après ce que le journaliste m'a rapporté, il parle encore à sa femme comme à un chien.
Allez à la prochaine, et à part ça, amour, paix, respect, tolérance, espoir, arcs en ciel et licornes ! x)
(Vous en faites pas, je m'occuperai vraiment du cas de ce bâtard de Gilles)
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