After This Night (Freddy X Foxy)

Origines des personnages : Five Nights at Freddy's

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PDV Foxy :

Les 6h00 du matin sont passé, au plus grand bonheur du gardien de nuits tandis que, pour nous, cela ne nous fait ni chaud ni froid. On est juste soulagé de reprendre notre forme humaine (ou presque si on ne compte pas les oreilles et la queue robotique). Néanmoins, cette apparence-là ne nous retire pas nos handicaps, mon crochet et mon cache-œil seront toujours là pour me le rappeler, et ne parlons pas de Mangle, ça doit être encore pire pour elle...
Je voulais parler à Freddy par rapport à G. Freddy et Bonnie, je suis au courant pour eux et puisque G. Freddy et Freddy sont (ou étaient avant leur "mort") cousins [ce qui, dans l'histoire vraie, est faux mais je m'en fous], je pense qu'il le sait aussi. Il ne se cache rien après tout ! Je le vois et m'approche, j'ose de moins en moins lui parler ces temps-ci, je m'écarte dès qu'il s'approche... Je ne sais pas pourquoi je réagis comme ça, j'en ai parlé avec Bonnie, Chika et Mangle, ils m'ont dit que je suis peut-être tombé... Amoureux de lui... Je ne pouvais pas le croire au début mais après plusieurs semaines voire des mois, il fallait que je me rende à l'évidence… Est-ce que je devrais lui dire ou–

Freddy : Hey, Foxy ça va ?

Je reviens à moi et vois qu'il me lève le menton avec sa main. Je rougis et le bouscule immédiatement.

Foxy : Ç-Ça ne va pas ?!

Freddy : C'est ce que je viens de te demander, pourquoi tu réagis comme ça en ce moment ?

Il me regarde inquiet, Je n'arrive pas à le regarder dans les yeux... Pourquoi est-ce qu'il me fixe ?!

Foxy : P-Pour rien ! Bref... J-Je voulais te demander si tu savais pour ton cousin et—

Freddy : Bonnie ? Oui je sais ! Pourquoi, tu es jaloux ?

Foxy : Quoi ? Mais pourquoi je le serai ?

Il me regarde, un sourire et un regard moqueur au visage, mais je le connais bien, par cœur même pour reconnaître son agacement à travers ses yeux que j'ose enfin regarder, mes joues sont un peu moins roses que tout à l'heure mais la teinte est toujours présente...

Freddy : Je ne sais pas, tu passes beaucoup de temps avec Bonnie, donc je me disais que tu étais...

Il marque un temps de pause puis termine sa phrase. Il avait les yeux baissé, regardant les sols.

Freddy : ... Amoureux de lui...

Foxy : QUOI ?! J-Je ne suis pas !...

Je ne suis pas quoi ? Gay ? Bien sûr que si je le suis... Et je sais que je ne sais pas mentir ! Je suis nul pour ça...

Foxy : Je ne suis pas amoureux de lui !

Freddy : Pourquoi tu rougis alors ?

Il m'énerve !!!

Foxy : PUTAIN MAIS TU NE COMPRENDS RIEN !

Je cours en pleurant, ma réaction est stupide, puérile... Après tout, comment pourrait-il savoir ce que je ressens pour lui... Je me réfugie dans ma cachette, la "Pirate's cove" comme on l'appelle, même si je sais que c'est un endroit prévisible pour me trouver... La preuve, j'entends quelqu'un entrer et s'accroupir devant moi, qui suis assis, mes genoux à la hauteur de ma poitrine, ma tête posée dessus et mes bras entourant mes jambes, comme si c'était la seule chose qui pouvait me réconforter.

??? : Fox', qu'est-ce qu'il y a ?

C'est Mangle, elle pose sa main sur mon épaule tremblante et secouée de spasmes à chaque sanglots.

Foxy : C-Cet abruti n-ne comprend rien !...

Mangle : Tu parles de Freddy ?

Je hoche la tête, sans pour autant lever la tête.

Mangle : Qu'est-ce qu'il y a ?

Foxy : I-Il croit que j'aime B-Bonnie...

Mangle : En même temps, tu passes ton temps avec pour parler de ce que tu ressens pour Freddy et de ce qu'il ressent pour Golden Freddy.

Foxy : Ç-Ça fait des mois que je l'aime... Et il ne comprend rien... Il ne voit rien...

Je relève la tête, la laissant voir mes larmes qu'elle tente d'essuyer, effort inutile puisque d'autres s'en suivent...

Mangle : Même si ça peut se voir, tu ne lui dis jamais rien depuis ces mois-ci. Il doit plus penser qu'il a fait quelque chose de mal plutôt que tu puisses l'aimer.

Foxy : J'aimerais tellement lui dire que je l'aime. Mais j'ai peur de sa réaction...

Soudain, j'entends quelqu'un ouvrir le rideau et vois Freddy, la tête baissée, il ne souris pas, au contraire. Et-ce qu'il nous a entendu ? Mangle s'éclipse, me laissant seul avec lui. Je me lève, il ne me regarde pas, observant toujours le carrelage.

Freddy : Donc... Tu es gay ? Et tu m'aimes ?

Foxy : O-Oui...

Il me tourne le dos, mais n'avance pas.

Freddy : Si cela ne te dérange pas, ne t'approches plus de moi.

Foxy : Qu-Quoi ?...

Freddy : Je ne veux plus que tu t'approches de moi, c'est clair ?!

Il s'en va, me laissant vraiment seul... Je tombe sur les genoux et fonds en larmes, est-ce que je le dégoûte vraiment ?... Je me sens mal, je ne voulais pas le perdre, perdre mes chances en amour avec lui me fait déjà très mal, mais le perdre en tant qu'ami fini de m'achever...

~Plusieurs jours plus tard~

Cela fait déjà plus de deux semaines que Freddy m'évite, je n'en peux plus, il faut que je lui parle ! Je m'approche discrètement de lui par derrière (Sarah : Hum hum...
Foxy : Oh ta gueule !) et lui attrape l'avant-bras.

Foxy : Freddy j'en ai marre il faut qu'on parle !

Il me regarde, une expression de colère sur le visage et retire son bras.

Freddy : J'ai dit que je ne voulais plus parler avec toi.

Cette fois-ci c'est à mon tour de me mettre en colère. Je le plaque au mur, même si ma taille inférieur à la sienne me decrédibilise, je m'en fous, j'EXIGE qu'il m'écoute, je ne lui donne pas le choix.

Foxy : Maintenant écoute moi merde !

Ma voix tremble, des larmes coulent sur mes joues, il ne bouge pas et se contente de croiser les bras.

Foxy : Oui, je t'aime ! Tu es la première personne pour qui je ressens ça ! Je comprends que je puisse te dégoûter mais je...

Il me relève la tête avec ses deux mains et m'embrasse violemment, devenant de plus en plus doux à chaque seconde. La surprise me fit faire quelques pas en arrière, qu'il suit au millimètre près. Il laisse une main sur ma joue, et place l'autre dans mon dos, me collant plus contre lui et la descend jusqu'à ma cuisse qu'il relève lentement. J'entoure sa nuque avec mes bras et plonge ma main dans ses cheveux bruns, j'oublie tout ce qui peut être autour de nous, j'oublie même les paroles qu'il a prononcé il y a deux semaines et la tristesse que j'ai ressenti ces derniers temps. Il détache ses lèvres des miennes, même si je force pour rester le plus longtemps possibles. J'ai les joues rouges, il fait chaud, trop chaud, mais tout me revient à l'esprit d'un coup et je baisse la tête, tremblant, les larmes aux yeux, il se fout de moi ?...

Foxy : T-Tu es fier de toi ? Tu as eu ce que tu voulais ? Te foutre de moi ?!

Cette fois-ci c'est à son tour de me plaquer contre le mur.

Freddy : Comment ça me foutre de toi ?!

Foxy : T-Tu as dis que tu voulais plus me p-parler parce que j-j'étais...

Je n'ose pas terminer ma phrase, mes sanglots devenant de plus en plus présent. Il recule, lâche un long soupir puis émet un léger rire agacé.

Freddy : Je vois que tu m'as mal compris...

Il relève la tête, un air encore plus énervé que tout à l'heure sur le visage.

Freddy : Je n'ai pas dit ça parce que tu es gay ou amoureux de moi ! J'ai dit ça parce que tu m'as menti ! Je hais les mensonges plus que je hais Balloon Boy !

Foxy : M-Menti ? Je ne t'ai jam–

Il m'embrasse une nouvelle fois, plus doucement ce coup-ci.

Freddy : Tu ne m'as jamais dit que tu m'aimais, et tu passais TOUT ton temps avec Chika, Mangle et Bonnie, tout le monde le savait, sauf le principal concerné !

Foxy : Je ne t'ai pas menti je ne t'ai juste rien dit !

Freddy : Je considère cela comme tel.

Je baisse les yeux, honteux... Il me prend dans ses bras et me caresse les oreilles puis les cheveux, calmant mes tremblements et mes sanglots. Il me porte, s'assoit, me pose sur ses jambes et me serre contre lui, m'embrassant tendrement. Je ne veux plus me séparer de lui...

Freddy : Tu n'appartiens qu'à moi, rien qu'à moi.

Il me caresse la joue puis je m'endors dans ses bras, un sourire aux lèvres.

Foxy : Bien sûr, à qui pourrais-je appartenir à part toi ?

Il ris légèrement et me serre plus dans ses bras. Je m'endors, la tête sur son torse, gardant un de ses bras dans les miens à la manière d'une peluche, tenant sa main sur ma joue pendant que son autre main me caresse les cheveux. Je ne sais pas quand est-ce qu'il s'est endormi, mais au réveil, on était en début de nuit, l'heure du gardien a sonné...

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Hey tout le monde ! Je sais, ça fait longtemps, mais au moins je suis là !
Marie : Tout le monde s'en fout de toi !
Sarah : La ferme !
J'espère que votre confinement et votre déconfinement s'est bien passé ! En tous cas, je vous dis Bonne journée/Bonne soirée et à bientôt !

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