On m'a dit que me marié ce n'était pas uniquement se marié avec la femme tu aimes mais aussi avec sa TOUTE famille. Je ne voulais pas y croire jusqu'à la rencontre du monstre de la famille. Et qu'il devient le plus souvent ton pire ennemi.

On m'avait dit fait attention, le père est le plus dure à avoir dans sa poche. D'autres me disaient que c'étaient les frères... Heureusement ma petite Rin est fille unique. Mais alors vous devez vous demander qui je parle. Eh bien je parle cette personne qu'il l'a mise au monde.

Sa mère.

Elle me déteste. Ça tombe bien, moi aussi.

Pourquoi je vous en parle actuellement ?

Eh bien parce que ce monstre va bientôt arriver à la maison ! Parce qu'elle va venir manger dans la maison !! À ma table !!!

- « Obi chéri tu vas abîmer cette pauvre cravate à vouloir t'acharner sur elle. »

- « Ouais c'est vrai je devrais m'acharner sur ta mère... »

Assis sur le lit, je jette cette pauvre cravate sur le lit. Le lit s'affaisse légèrement, Rin s'était installée derrière moi et se presse contre mon dos et encerclé autours de ma taille posant sa tête sur mon épaule. Je la regarde dépiter.

- « Pourquoi elle est obligée de venir... »

- « parce que c'est ma mère. »

- « Mais elle ne m'aime pas ! Ont fini toujours par ce disputé, surtout quand ton père n'est pas avec elle. Heureusement qu'il vient ! »

- « Eum... en parlant de papa... »

Je la regarde subitement. Son visage est crispé, ses sourcils sont froncés et elle se pince les lèvres entre elle. Mes sens sont en alerte.

- Ne dis-moi pas que je serais seule contre cette harpie ? »

Elle grimace et se cache dans mon cou et resserre son emprise sur moi.

- « Ça fait chier ! »

- « Tu sens bon chéri... »

- « Ne me drague pas ! Et pourquoi il ne vient pas ? »

- « Il as pris froid et maman lui as interdit de sortir »

Je marmonne des choses incompréhensibles. Rin redresse son visage faisant la moue.

- « Je suis désolée, chat. »

Je ferme les yeux, inspire et expire. Elle n'y est pour rien ma douce. Je baisse la tête. J'ai

- « Je n'ai vraiment pas envie de la voire... »

- « Je sais, mais tu peux compter sur moi prendre de reprendre maman si elle va trop loin. On ne parle pas mal à mon Uchiwa préféré. »

- « C'est vrai ? Je suis ton préféré ? »

Je la regarde du coin de l'œil avec une pointe de fierté. Et elle me regarde la même manière.

- « Tu es très beau dans cette tenue... »

Elle me dépose des baisers papillons dans le cou et en caressant mon torse par-dessus ma chemise.

- « Tu devrais détacher le premier bouton de ta chemise, et remonter tes manches, tu seras encore plus sexy... »

Hoho...

- « Et si On jouait avant qu'elle arrive... »

- « Ho Rin... »

- « Ça te détendrais... »

Elle m'allonge sauvagement, pour ensuite m'embrasser à la Spider-Man. Doucement elle avance à mon cou puis, mon torse nue qu'elle venait de déboutonner entièrement, puis ouvrit mon pantalon, et libère mon intimité pour comme elle le disait précédemment "me détendre".

- « Ho c'est tellement bon... Ne t'arrête pas... »

Dans le feu de l'action, je mis une de c'est de l'autre côté de ma tête. Ainsi j'étais entre ses jambes à la vue de ce petit tissu de dentelle qui me défie. Je me redresse pour écarter de triangle de tissus, pour la dévorer.

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Terrassé par ce plaisir mutuellement offert. Nous nous relevons, Rin me rhabille et je la recoiffe. Sa mère sonnait depuis un moment... Rin m'embrasse. Et part ouvrir la porte.

- « Enfin ! Mais qu'est-ce que vous faite ! J'ai froid moi ! »

Raaaah a peine renter qu'elle se plaint déjà !

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Je vais me pendre.

Je suis face à face à sa mère.

- « Rin tu as besoin d'aide à la cuisine ? »

- « Non merci mon chéri ! »

Elle me juge du regard c'est sûr.

- « Vos cheveux. »

- « Mm ? »

- « ça vous arrive de vous coiffer ? »

- « Pas quand je fais un cunni à ma femme et que pour seule défouloir c'est de me tirer les cheveux lorsqu'elle jouit. »

- « Je vous demande pardon ? »

- « Vous êtes pardonné. »

Je lui souris de ton mes dents, Rin arrive avec le plat. On est qu'au plat !? Ha bas oui ça ma l'aire.

- « Que ça sent bon !" S'exclame la sorcière. »

- « C'est Obito qui as cuisiné toute la matinée ! »

- « Ha ! J'espère qu'il n'y pas d'arachides. Je suis allergique ! »

Sérieux !? J'aurais dû en mettre !!!

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- « C'était délicieux mon chat ! Comme toujours d'ailleurs. »

Rin me caresse la main, car depuis tout le repas elle n'a fait que de me critiquer à travers le plat.

- « j'ai connu mieux. Comme celui de ton ancien copain. »

- « Maman... »

- « Je ne comprends pas pourquoi tu l'as quitté pour ce... ce. »

- « Ce quoi, maman ? Va si dit le fond de ta pensée ! »

Ma Rin s'énerva.

- « Rin... ma chérie. »

- « Non-maman... Tu sais pourquoi je ne suis plus avec (mettez un nom), parce que j'ai toujours aimé Obito depuis mon enfance ! Mais il n'y avait pas que ça. Il était infidèle et me violenté ! Et c'est Obito qui m'as sorti de cet enfer ! Alors je t'interdis de dire que mon mari est un raté. Car c'est le plus merveilleux, le plus drôle, le plus courageux, le plus doux, le plus attentionné et c'est avec lui que je vais finir ma vie. Je pensais que c'était claire pour toi. »

- « Ma grande... je suis désolée... je ne savais pas pour (nom de l'ex). Pourquoi tu ne m'as rien dit... »

- « Ce n'est pas à moi que tu dois t'excuser maman. Mais auprès d'Obito. »

Je vois bien que sa mère est en train de s'étrangler avec ses excuses. Mais le regard de Rin la contraint.

- « Obito. Je tiens à m'expliquer. Tu es pour ma fille une personne exceptionnelle. Et je ne veux pas lui faire de peine. Alors je ferais attention sur propos. »

Je ne suis pas convaincu, mais Rin a l'air heureusement d'entendre ces paroles. Elle me regarde soulager.

- « Vous êtes pardonné. »

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Plus tard dans la soirée, dans la chambre. Je me coule dans le lit, en soufflant. Je vois Rin rentrer dans la chambre dans son déshabillé préférée avec un gros gâteau au chocolat et la Chantilly. Je me redresse pour l'aider à monter dans le lit sans faire tomber tous nos petits plaisirs culinaires. Une fois dans le lit. Elle fonça sur le gâteau, elle prit sa fourchette et pris un morceau et me demande de lui mettre de la Chantilly. Une fois mise, elle me tend tendrement. Je fais de même.

- « C'est bon ? » Lui demande.

- « Super bon ! »

Je l'embrasse, je ricanai. Je lui suis mis du chocolat par tout.

Nous finissons la soirée par nous gaver de chocolat jusqu'à par accident je fis tomber du chocolat sur mon torse. Je vais pour le nettoyer mais ma douce men empêche en se penchant pour le lécher sensuellement. Elle me sourit en mordant sa lèvre.

Ce soir, c'est elle qui régale !

À suivre pour d'autres aventures...