Les joueurs du PSG étaient aux premières loges quand un dinosaure passait devant eux. La plupart rigolait et criait. Et d'autres...avaient vraiment peur.

Comme Marco Verratti qui se réfugie contre Lionel Messi.

- J'ai peur Leo..., gémit-il.

- Ne t'inquiète pas mi corazón, je vais te protéger de tous les dangers, répond son copain tel un brave chevalier en armure scintillante.

- Tu vas me protéger de rien du tout, t'as vu notre taille ducon ?

Messi fronce les sourcils.

- Oh toi, tu vas regretter ces paroles...

Puis Verratti sourit.

- Je n'attends que ça Leo.

- Alors nous irons dans la pièce vide la plus proche, mi guapo italiano.

L'italien frissonne mais ne le montre pas. Il se rapproche donc du joueur argentin, murmurant pour ne pas que les autres ne l'entendent :

- Et que comptes-tu faire une fois dans cette pièce ?

- Je vais te punir...mais je ne peux pas tout te dire en détail, on pourrait nous entendre.

- Alors emmène-moi loin de ce monde, déclare Marco. Je te veux en moi Lionel, regarde ce que tu me fais...

- Viens alors.

Il lui prend la main, et ensemble, ils quittent la salle pour aller dehors. Pour Verratti, la phrase "je vais te punir" de Lionel tournait en boucle dans sa tête.

- J'ai été méchant ? lui demande-t-il soudain.

Lionel s'arrête et lui fait face.

- Disons que ton commentaire sur nos tailles m'a déplu...

- Du coup je vais devoir être puni...et si je te dis que tu joues affreusement mal ?

L'énervement commençait à monter chez l'argentin. Malgré son regard, Verratti ne flanche pas (pas encore).

- Qu'est-ce que tu me dis, Marco ? lance Messi. Je joue mal c'est ça ? Et quoi d'autre, hein ?

L'italien, d'humeur taquine, décide de rajouter l'huile sur le feu.

- Tu me fais mal l'amour, c'est ennuyeux, dit-il.

Cette fois, il avait tapé fort (métaphoriquement je veux dire). Le regard de Messi s'assombrit lorsqu'il lui dit d'une voix plus grave :

- Ah vraiment ? Eh bien on va voir ça tout de suite.

- Je simulerai, réplique Marco.

- On verra ça, on verra si tu simuleras toujours quand je te prendrai si fort et si bien que tu ne pourras pas t'empêcher de crier mon nom.

- Bordel Leo...

La respiration de l'italien s'était accélérée alors que l'argentin le plaque contre un mur. Leur visages sont très, très proches.

- Que comptes-tu me faire du coup, Messi ? réussit à dire Marco malgré son cœur qui tambourinait dans sa poitrine.

- Tu vas m'obéir à partir de maintenant, Marco.

Cette phrase, cette phrase. Il aurait voulu le provoquer encore un peu mais c'était tout bonnement impossible tant Lionel le déstabilisait.

- Oui, dit-il enfin.

- Bien, fait Messi.

Il emmène Marco dans la salle vide la plus proche et une fois à l'intérieur, il ferme la porte à clé.

- Déshabille-toi, ordonne Leo.

Marco s'exécute, gardant ses yeux rivés sur Leo tandis qu'il se retrouvait nu devant lui.

- Pourquoi tu ne le fais pas, toi ? demande-t-il.

- Attends un peu mi corazón, je vais d'abord m'occuper de toi. Mets toi face au mur, tes mains contre le mur.

- Non, répond soudainement Marco.

Là, Messi était pris au dépourvu.

- Comment ça non ? Je croyais avoir été clair.

- Parce que non, répondit simplement l'italien qui voulait visiblement jouer à nouveau.

Chose qu'il va vite regretter.

- Très bien, tu veux jouer à ça..., dit Lionel.

Il vient attraper Marco par les hanches et plaque brutalement ses lèvres sur les siennes, l'embarquant dans un baiser torride que Marco ne pourra pas repousser, gros soumis qu'il est. Verratti place ses mains dans le cou de son amant en essayant de prendre le dessus dans le baiser, mais en vain.

Lionel sourit intérieurement et s'écarte d'un coup, laissant l'italien insatisfait. Marco se place finalement contre le mur, comme demandé, souhaitant plus.

- Bon garçon, dit l'argentin.

Leo vient donc placer sa main sur la hanche de Marco, caressant doucement l'endroit, tandis que l'autre descend entre ses cuisses.

- Je t'en supplie Leo..., gémit Verratti. Prends-moi...

- Je vais te prendre Marco, affirme Messi. Mais chaque chose en son temps.

Et à ces mots, il entre un doigt en lui. Cela fait lâcher un cri de plaisir à son bel italien.

- Bordel Leo !

Il se cambre tandis que Messi souriait.

- Tu aimes ça mi corazón ? Dis le moi.

En même temps, il avait commencé à bouger son doigt.

Mais Marco avait toujours cette envie de provoquer Messi. Alors, il parvient à articuler :

- C'est horrible Leo, tu le fais tellement...mal !

À ces mots, Leo s'arrête.

- Alors pourquoi est-ce que tu gémis autant ? Pourquoi est-ce que tu as du mal à parler correctement, hein ?

- J'ai pris l'habitude de simuler avec toi maintenant, c'est habituel, Messi, répond Verratti en essayant de garder sa crédibilité.

- Bon...si ça ne te plaît pas, j'arrête. Et je ne te ferai plus jamais l'amour si tu n'aimes pas.

En entendant ça, l'italien panique.

- Non ! s'empresse-t-il de dire. Continue, s'il-te-plaît Leo, continue...c'est déjà mieux que rien tu sais ? C'est mieux qu'avec mes exs on va dire...

Leo sourit intérieurement, satisfait. Il savait comment le faire craquer.

- Ce n'est pas ce que tu disais l'autre soir, réplique-t-il. Quand tu me suppliais de continuer en me jurant "oh Leo, continue, tu es le seul !"

- Je n'en ai plus de souvenirs...il faudrait me le rappeler, peut-être que ça me reviendra.

- Oh que oui, je vais bien te le rappeler, affirme Messi avec un sourire carnassier.

Et il retourne Marco face à lui en se mettant à genoux. Marco déglutit.

- Dépêche-toi alors, je n'ai pas tout mon temps.

Décidément, l'italien n'était vraiment pas enclin à se taire. Heureusement que l'argentin était là pour lui apprendre à fermer sa bouche.

Lionel commence par donner un coup de langue sur le membre de Marco, faisant frémir et soupirer celui-ci.

- Arrête de jouer bordel...

Alors Lionel se décide à finalement le prendre en bouche, et Marco laisse échapper un long gémissement.

- Passe à la vitesse supérieure Lionel...bordel...

Leo obéit et sourit intérieurement. Et là, Marco est bien obligé d'admettre que le nain argentin est doué avec sa bouche. Même, très doué. Verratti commençait déjà à perdre pied.

- J'avoue...j'ai jamais simulé, j'ai menti, avoue-t-il.

Puis il attrape une poignée des cheveux de l'autre couillon de champion du monde.

Leo, amplement satisfait, continue. Les mots et le geste de son italien nain préféré l'encourageaient à mettre plus de centimètres dans sa bouche.

Verratti approchait de plus en plus de l'orgasme, et quand Messi le remarque, il s'arrête. Marco gémit alors de mécontentement.

- Pourquoi tu t'arrêtes ?! grogne-t-il.

- Parce que je suis sûr que je peux faire bien mieux avec d'autres parties de mon corps que tu aimes tant.

Et sur ce, il entre un doigt en lui. Marco gémit, encore.

- On...on va finir par m'entendre Leo, dit-il.

- Qu'ils l'entendent, répond Messi tout en continuant les mouvements de son doigt.

- Ils vont savoir pour nous si on nous entend, il n'y a pas que nos coéquipiers ici, lui rappelle Marco.

- Sois silencieux alors...tu peux faire ça ?

En disant cela, il avait retiré son doigt pour en replacer deux à son entrée, attendant la réponse de Marco.

- O-oui, dit-il enfin.

- Bon garçon, déclare Leo avant d'entrer ses deux doigts.

Aussitôt, la tête de Verratti bascule en arrière tandis que celui-ci tentait de se retenir de gémir, très fort.

- Continue, Leo, continue, murmure-t-il.

Alors il le fait, il continue ses mouvements de doigts qui faisaient perdre la tête à son petit italien.

Puis au bout d'un moment, il se penche vers Marco et lui murmure à l'oreille :

- Dis-moi ce que tu veux.

L'italien prend une grande respiration avant de répondre.

- Je- je veux que tu me fasses tien, Leo, prends-moi.

- D'accord, mi amor.

Il retire ses doigts et se recule pour se déshabiller. Ensuite, il revient se placer derrière Marco, il présente son sexe à son entrée et caresse tendrement la hanche de son amant.

- Je vais te faire l'amour comme je ne t'ai jamais fait l'amour, déclare l'argentin. Tu es prêt ?

- Je suis prêt, vas-y.

Et sur ce, il entre en lui. Il s'enfonce jusqu'au bout, faisant gémir l'italien. Se rendant compte que le son qui venait de sortir de sa bouche avait été un peu trop bruyant, il ferme la bouche immédiatement, se mordant les lèvres. Il aimerait autant qu'on ne l'entende pas.

Après quoi Messi entame des coups longs, forts, bien placés. Marco se cambre, il perdait pied sous les coups de son argentin préféré.

Ils se rapprochaient peu à peu de la jouissance.

- L-Leo...plus fort !

- C'est tellement bon, soupire ce dernier en acceptant la demande de son amant.

Et ils ne mettent pas longtemps avant d'atteindre l'orgasme, ensemble.

Essouflés, ils finissent par s'écarter l'un de l'autre après que Leo ait posé un doux baiser sur les lèvres de Marco.

- Je t'aime mon bel italien, déclare-t-il.

- Je t'aime aussi mon argentin miniature. C'était parfait.

Il fond dans les bras de son homme. Ce dernier sourit et ils s'embrassent de nouveau. Le baiser et doux, passionnel, plein d'amour.

- On devrait y aller par contre, suggère Lionel. Les autres doivent se demander où on est...

- Oui, c'est vrai, affirme Marco. J'espère qu'ils n'ont pas entendu...

- J'espère aussi...

Ils récupèrent donc leurs vêtements éparpillés un peu partout sur le sol et se rhabillent en vitesse. Puis ils sortent de la pièce.

Une fois dehors, ils regardent autour d'eux. Personne ne les voit...sauf une personne. Les deux hommes se figent.

- On est cramés je crois...

Apparaît alors Marquinhos, qui se trouve être la personne qui les regardait sortir. Il vient vers eux, le sourire aux lèvres.

Soyons naturels, pensent les deux hommes.

- Salut Marcos...

Tentative échouée puisque Marco rougit immédiatement.

- Salut les gars, dit le capitaine du PSG. Vous faisiez quoi ? Vous avez disparu pendant une bonne demi-heure.

Les deux amants échangent un regard.

- Je suis allé...aux toilettes, dit Messi.

- Et moi...je suis allé me rincer le visage, ajoute  Verratti.

- Oh, je vois, fait Marquinhos. Vous vous êtes bien amusés ?

- Que...quoi ?

Au lieu de répondre, le brésilien leur adresse un clin d'œil avant de s'éloigner.

Ils allaient en entendre parler pendant longtemps...

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Coucou !
Vous allez bien ?

Donc, ceci a été en grande partie écrit avec l'aide de Lliayr le plus beau hehe

J'espère que ça vous a plu ! Et pour ce qui est des autres OS, la partie 2 de "Forfait" que vous vouliez tous arrive bientôt...

Biseeees
Inès qui attend Mbappé dans son lit <3