séance 145
J'était assis à côté de mon oncle sur le vieux canapé de cuire dans le salon éclairé par une simple petite lampe cette pièce était plus une tanière de mec qu'autre chose mais les patients trouvé ça drôle , la lumière n'entrai pas grasse au gros rideau rouge Bordeaux accroché au fenêtre la cheminée n'avait pas était allumé depuis des mois et était rempli de vieux mego de cigarette le mur derrière nous était rempli de lire empilé les un sur les autre des carton plain de papier jonché le sol en faite en y repensant j'ai honte d'amener nos patients dans cette pièce c'est une vraie foutoir .
- vous pouvez commencer monsieur Gabriel . Dit mon oncle en attrapent de quoi écrire sur la table basse devant nous .
L'homme pris une grande inspiration et commença
- À la base j'ai ébéniste dans une petite entreprise familiale à Paris j'avais 26 ans à l'époque quand la guerre a éclaté j'ai tout de suite était mobilisé on ma mi un fusil entre les main et j'ai était tué des gens . C'était comme ça à l'époque . Un jour de décembre ...je me souviens que c'était en décembre car c'était la toute première neige de l saisons . Donc un jour de décembre mes camarades et moi nous avons était mobilisé dans un tout petit village de campagne après le passage des bombe qu'avait lâché les ennemis . Cela essai déjà quelques semaines que tout avait était ravagée mais il nous on quand même envoyé , c'était moi qui conduisait la voiture on était 7 passagers don 3 médecins , même si on se douté qu'il n'y aurait plu personne à soigné nous les avons quand même pris avec nous . Ça fesai une heure que j'était au volant le village était en vus perdue au milieu des champ de blé la route que nous empruntion était bordé d'arbres fruitiers c'est passible mes camarades et moi avons donc décidé de prendre des fruits pour amener au survivant nous avion encore de l'espoir . Nous nous sommes arrêtés et avons ramasser des fruits il n'y avait que des pomme tout jaune elle avait l'aire appeticente on a tout chargé dans des sac que nous avions mis dans le coffre et nous somme répartis sa nous a pris une heure ..une petite heure ...
l'homme essuya une petite larme au coin de son oeil sa vois était plaine de sanglots . Il repris sans laisser mon oncle parler lui qui avait envie de lui poser temp de questions
- quand nous somme arrivé au village 8 minutes après l'endroit était jonché de cadavre les maisons avait était bombardé serte mais certain corp n'était pas mort de ça loin de la les corp a l'extérieur des maisons avait était éventré . Nous en avons conté 9 éventré au couteaux et placé à des endroits clé du village les corp de chacune de ses victimes étaient tousse des enfants il était encore tout chaud c'était répugnant .
Nous avons parcouru le village à la recherche de survivants .
Le village qui devait conté un petite 50 ene d'habitants était désert le seul bruit que nous entendions était celui de nos pas sur le sol battu et celui d'une radio encore allumé quand nous nous somme dirigé vers la maison d'où venait la musique nous avons trouvé une scène des plus sinistre .
Le cadavre encore chaud d'une femme pendait du plafond , à ses pied allongé dans un petit couffin il y a avait 2 enfants . Le premier avait l'aire d'avoir 2 ans et le second était un nouveau né il était tout les deux en vie même si le nouveau né n'en avait plus pour très longtemps . Entre les main du plus âgé il y avait une lettre laissé par la mère ...
-vous l'avais lu ? Demanda mon oncle
- je l'ai même la si vous voulez
Le vielle homme sorti son porte monnaie et l'ouvra une enveloppe jauni et abîmé en dépacée il la donna à mon oncle pour qu'il la lise
" longe vie au fureur .
J'ai pour vous tué les dernières personne incapable à vos yeux de vivre dans notre beau pays c'est pourquoi je m'en vais les rejoindre j'espère renaitre blonde au yeux bleus pour que vous puissiez m'accepter dans le nouveau monde que vous aurez construit " la lettre était daté
- cette femme était la maîtresse d'école est à tué tout les enfants de sa classe il devait avoir survécu car c'était le seul bâtiment qui n'avait pas était touché . Elle les a ensuite éventré et placé de sorte que du ciel ils puissent formé cette crois ....la lettre à était daté à l'heure près c'était quarante minutes avant que nous arrivions au village . Les deux enfants à ses pied était les siens je nouveau né et mort dans les bras d'un des médecin qui nous accompagner le deuxième et devenu ma fille et je vais vous dire une chose ...je suis si heureux que se massacre sans quoi je ne serais jamais devenu père .
Cette homme était rongé par un déchirement extrêmement puissant d'un côté il sen vouler de ne pas être arrivé a temps de l'autre il avait rencontré sa fille j'était des plus captivé par cette histoire que Même une fois l'homme partie je resta assis sur le canapé à ressacer tout ses mot dans ma tête .
L'histoire et bien fascinante .
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