i n t r o d u c t i o n

pdv kirishima

J'avais finalement abandonné cette feuille, ayant plus de questions que de réponses sur le pourquoi du comment de son existence.
En levant la tête, je pu voir à travers le pare-brise les deux collègues qui ne bougeaient plus.
Dans la bouteille, l'eau chaude y avait été versée, et les deux adultes tiraient sur les deux tuyaux respectifs relié à la bouteille, recrachant une fumée d'une blancheur presque opaque, très dense.
Ces deux abrutis s'était encore créer un engin du diable pour se défoncer la gueule ça veut dire...
Ils me fatigue.
Fin non, l'adulte je m'en fiche, c'est juste Bakugo qui me fatigue.

Je n'avais pas du voir le temps passer, avec mon observation de cette feuille remplie d'adresses, vu que le niveau d'eau de la bouteille était nettement bas, ils devaient fumer depuis déjà assez longtemps...

Soudain, l'homme se leva du capot de la voiture, étirant ses muscles engourdis, et contourna Bakugo afin d'atteindre le siège conducteur.
Je l'avais suivis des yeux, mais lorsqu'il était passé près du blond, j'avais regardé celui-ci pas longtemps.

Juste le temps de voir ses yeux, qui étaient déjà plantés dans les miens, et qui, étaient remplis, d'une terreur mal dissimulée.
Putain.
Il avait l'air d'être un enfant.
Il avait l'air effrayé.
Il avait l'air si faible.
Et ses yeux étaient encore et toujours injectés de sang. Drogue douce. Vie dure.

Il avait l'air d'être tout ça à la fois, et finalement, si j'y réfléchissais un peu, si on enlevait son caractère trempé, ses tatouages, et sa gueule de mec qui veut briser des crânes, Bakugo était peut être dans la vrai vie, au fond de lui, ce que je voyais à travers son regard actuellement :
Un enfant faible et effrayé, qui a sombré dans des choses qui ne devraient pas être de son âge.

L'adulte s'était installé sur le siège, et, d'une démarche trop rigide -ou peut être que je suis devenu paranoïaque, le blondinet l'avait suivi, s'asseyant sur le siège passager.
D'où j'étais, je ne pouvais voir que ses boucles blondes partant dans tout les sens et le bout de son petit nez un peu en trompette.
Je ne pouvais pas voir ses yeux, pourtant, une pulsion me prenait les tripes, je voulais le voir, voir sa peur, mais surtout, je voulais le rassurer. Lui montrer que j'étais fort, que tout irais bien.

Sérieux, je ne sais plus quoi penser de ce mec, je pense qui si on enlevait le contexte actuel, je le déteste toujours autant, mais là, c'était pas ma priorité.
Je voulais comprendre pourquoi il était aussi flippé. Et l'aider. Le protéger même. Pour cela il fallait que je comprennes mieux les peurs de blond, dommage que celui-ci soit un vrai mur contre la sociabilité.

Un râle résonna dans la voiture, coupant court à ma bulle de questionnements qui était en train de se transformer doucement en bulle d'angoisse.
C'était l'adulte qui avait gueulé, apparemment les clés n'étaient plus sur le contact.
L'adulte, tout en pestant comme un beau diable, avait fouillé avec des geste brusques, toute la zone autour de sa personne, à la recherche des fameuses clés.
Le blond avait alors pris la parole, supposant d'une voix forte que c'était lui, hier, qu'avait dû les égarer dans le champ, puisqu'il avait été défoncé à un niveau plus qu'élevé hier soir.

Les deux compères étaient alors sortis, tout en insultant la terre entière avec un language bien fleuri, et ils s'étaient mis à se baisser, et fouiller un peu partout, s'éloignant entre eux et de la voiture.

S'ils cherchaient les clés, ça voulait dire qu'on allait bientôt partir.
Même moi des fois mon intelligence et ma logique m'épataient. À quand le 1v1 Sherlock x Kirishark sérieusement !?

Finalement, j'avais envi de partir, retrouver mon père, ma vie normal, loin de Bakugo.
Ok il avait l'air en danger, mais dans un sens, vu son caractère et son train de vie, il avait sûrement dû bien le chercher.
Et puis bon, je ne savais même pas pourquoi j'étais là, hier, sous l'euphorie du moment, j'avais pris ça comme du pur hasard, mais le hasard niquait ma vie là, mon père allait m'engueuler salement.

Je m'étais donc décidé à moi aussi sortir de la voiture, dans le but de les aider dans une nouvelle quête aka un remix claqué de "chercher une aiguille dans une botte de foin". Là c'était juste "chercher des clés dans un putain de champ entier".

J'espère ne pas y passer la journée.
Fallait vraiment que je m'impose afin qu'ils me ramènent chez moi aussi.

Par réflex, je m'étais approché de la zone que Bakugo fouillait, le blond était à quatre pattes, dos à moi, arrachant les hautes herbes de ses mains.
Il était tellement concentré sur sa tâche qu'il ne m'avait pas vu m'approcher de lui.

Je sais que c'était absolument pas le moment, et puis aussi, fallait absolument que j'arrête de regarder des pornos ça le rendait fou, mais je n'arrivais pas à arrêter d'observer le corps du blondinet.
La position de Bakugo n'aidait vraiment pas, surtout son corps en fait, honnêtement, je sais très bien que depuis pas mal de temps, je fait une fixette sur son corps...
Mais c'est pas de ma faute si le blondinet avait vraiment le corps d'une gamine très très bien foutu.

Bon j'avais déjà eu la tric ce matin, on va essayer de pas l'avoir deux fois dans la même journée et le même champ.
J'avais douloureusement détaché mon regard de son putain de cul, et avait raclé ma gorge, signalant ainsi ma présence.

Le blond s'était relevé sur les genoux brusquement, il était maintenant agenouillé, levant les yeux vers moi, une bouille plus que colérique collée sur son visage, mais rougis par la gène, de ne pas m'avoir entendu je suppose.

B• " qu'est c'que tu fait là ? J't'avais dit d'rester dans la caisse, tu va attraper une insolation toi et ton corps de riche. On a pas de crème solaire ici, dégage dans la voiture et vite connard.

K• tu peux pas te calmer deux minutes là, à m'aboyer dessus comme une chienne, arrête de tout le temps m'insulter, j'voulais juste aider moi, mais bon j'avais oublié à quel point t'es détestable, je retourne dans la voiture et dépêche toi de retrouver ses clés, je veux rentrer chez moi et vite putain. "

J'étais retourné à la voiture, contrarié.
Contrarié du mauvais caractère de ce garçon.
Contrarié qu'il m'insulte tout le temps, ça me rappelait ma période où je me faisais harceler, toutes ces insultes là.
Contrarié de mettre emporté et l'avoir traité de chienne, je crois que j'avais dérapé.
Contrarié de voir qu'en une seconde, on avait briser notre petit secret, notre relation nocturne, magique et irréelle de la vieille.
Et surtout, contrarié de m'être engueulé avec un garçon, qui avait encore cette lueur que je devine comme de la peur dans ses yeux au moment où j'étais allé le voir.
Mais qu'est ce qui m'échappait à la fin, je ne voyais rien de dangereux pourtant.

Bon, histoire de faire partir ces pensées beaucoup trop nombreuses de ma tête, j'avais chopé mon téléphone, que Bakugo avait posé à l'arrière, sûrement après l'appel avec mon père.

Il fallait que je lui envoi un message, lui dire vaguement mon heure de retour, et puis ça me videra la tête de penser à autre chose que cet ado chelou actuellement à quatre pattes dans un champ.

L'adulte, lui, était plus proche de moi, il fouillait une zone où il y avait moins d'herbe, et il jetait de temps en temps des regards vers moi, que je prenais soin d'éviter, après tout, lui il faisait un peu peur.

Mon téléphone n'avait pas de code, puisqu'avec mon cerveau de poisson je l'aurais oublié en deux minutes, ça m'était d'ailleurs arrivé plusieurs fois l'année passée.
J'étais allé alors directement dans l'onglet message, sélectionnant le contact de mon père.
Tiens.
Il y avait déjà un message, il me l'avait écrit hier...

Le but était de vider ma tête de mon angoisse liée au comportement étrange de Bakugo, malheureusement, ce message, me fit totalement perdre la tête.

hier à 19:07_ de Papa
[ Fiston, je suis désolé de te prévenir si tard, mais un patient de l'hôpital est en soin de réanimation très grave, je ne sais pas combien de temps prendras ses soins, aussi, j'ai décidé de dormir au moins trois nuit à l'hôpital, je te rappellerais dans la soirée de demain si j'ai le temps mais c'est juste. Prends autant d'argent que tu veux, achètes-toi à manger et ne fait pas de bêtises dans la maison pendant mon absence, ne profite pas de ses trois jours de vacances pour inviter tout tes copains mal éduqués, prends plus ce temps d'absence comme trois jours de révision en l'approche du bac par exemple. Bonne nuit mon fils.
Papa ]

Quoi ?
Comment ça ?
C'était quoi ce bordel, mais qu'est ce que ça voulait dire putain.
Trop de choses se bousculaient, et là, moi aussi j'avais peur.
Je savais pas de quoi.
Mais quelque chose de dangereux se passait.
Il fallait que je garde mon calme, que je panique pas, l'adulte me regardait bizarrement en plus, il fallait que je réfléchisse.
Pas de panique, ok.

Je devais traiter toutes mes questions une part une, sinon j'allais être submergé.
Avec qui Bakugo était au téléphone ce matin ?
Pas mon père vu le message qu'il m'a envoyé...
Il a fait semblant de parler à quelqu'un ?
Mais pour quoi faire, que je revienne vers lui ? Pour savoir où j'étais ?
C'est lui le danger ?
Non, sinon il n'aurait pas l'air si effrayé.

Puis quelque chose me vint à l'esprit, me glaçant le sang, depuis ce matin, à chaque fois que Bakugo s'adressait à moi, il gueulait bien fort, quand il était loin de la voiture, tout le monde pouvait l'entendre, alors que, proche de celle-ci, il ne voyait pas le besoin de me parler fort.
Cette remarque, personnellement, me gênait, ça pouvait paraître normal, mais je comprends pas, pourquoi, lorsqu'il était vers la forêt ce matin, il m'avait parlé aussi fort.
Il avait lui même dit qu'il savait que j'étais proche, alors pourquoi crier aussi fort ?

Afin que d'autres personnes saches se qu'il fait ?
Pour me piéger ?
Non. Il fallait que je m'enlève ça de la tête, le blond était effrayé depuis ce matin, s'il me voulait du mal, jamais il aurait eu des réactions comme ça.

Alors que voulait-il faire ce matin, en criant aussi fort, avec personne au bout du fil ? Un faux appel...

Peut être qu'il voulait s'écarter de la voiture...
Et pour que personne ne pense qu'il fuyait, il avait gueulé très fort, pour que tout le monde entende je suppose, que Bakugo ne faisait que simplement passer un appel.

J'avais l'impression que pleins de choses m'échappaient, mais qu'une partie du problème avait été résolu, et les battements de mon coeur s'accélérés de plus en plus.

C'était simple de s'avoir de qui Bakugo cachait des choses, il n'y avait qu'une autre personne dans cette voiture.
L'adulte.
Tournant la tête, afin de visualiser de qui je parlais, j'avais cru mourir de surprise.

L'homme en question, se tenait debout, devant la vitre de la portière du siège vide à côté de moi.
Il me fixait.
Je ne savais pas pourquoi il était dangereux.
Pourquoi Bakugo ne se battait pas, comme il l'aurait fait s'il était en danger je pense.
Mais c'était lui, le danger.
J'en étais sûre.
Je l'avais directement compris.

L'homme avait ouvert la portière, s'était assis à côté de moi, sa respiration était ératique et il suait énormément.

• " Ici, on m'appelle Akki. Et toi ?

K• Kirishima Eijiro."

J'avais peur, j'étais persuadé que c'était lui le danger, le visage qu'il avait lorsqu'il m'observait avait été flippant, et sa façon d'adoucir ses traits, dès qu'il avait vu que je l'avais remarqué, était flippante.

Où était Bakugo, il devait venir m'aider, je devais faire genre de ne pas être paniqué, mais tout mon être était transporté dans une attente angoissé de la suite.
Mon coeur faisait de l'apnée, mes yeux semblaient vriller dans leurs orbites.
Première fois que j'avais cette sensation.
À l'aide.
Tout simplement.

A• " C'est plus de mon âge tout ça, se plier pour chercher des putains de clés, pas de mon âge. J'laisse plutôt ça à la gamine...
Il est mignon comme tout hein ?
Si tu crois que je t'ai pas vu loucher sur son cul tout à l'heure tu te fourres l'doigt dans l'oeil petit.
Faut dire que même dans un champ avec un Marcel de beauf, on dirait quand même une petite salope. "

L'homme portant le nom d'Akki, avait explosé d'un rire gras, après sa blague sur Bakugo, et d'étranges sensations me prirent les tripes, si je n'étais pas mystérieusement effrayé par ce mec, je lui aurais explosé la gueule à coups sûre.

C'était bizare, même moi, j'avais tendance à penser cela du blond, mais sortant de la bouche de quelqu'un d'autre, ça me foutait en rogne.
Il est fou lui il croit c'est sa pute Bakugo pour dire ça ?

A• " Pour son âge, il fait des bons services tu verras.
Enfin j'dit ça mais je crois que t'a déjà pu y goûter...
Je savais pas pourquoi il avait voulu que tu montes dans la voiture hier, puis j'avais vite compris, en voyant qu'y'avait plus personne dans la voiture c'matin.
Il est pas con ce gamin moi j'te l'dit, il choisit bien ses clients n'est-ce-pas ?
T'a l'air bien pleins de frics comme il les aime. "

Je peinais à croire ce que ce chien me disait, ma haine pour lui avait disparu, tellement j'étais troublé par son petit monologue.
Alors Bakugo se prostituait ?
Impossible.
J'y croyais pas, ne serait-ce qu'une seconde.
J'avais même pas d'arguments, c'était juste trop... Pas lui.
Impossible.

Et puis je ne voulais pas croire ce que cet homme disait, il y'a pas si longtemps, c'était encore pour moi la source d'un danger mystérieux. Je devais me méfier, je ne sais pas encore ce qu'il voulait.

Et puis si Bakugo était vraiment ce que l'homme disait, alors c'était pas du hasard, il voulait juste baiser avec moi hier, pour mes sous, vu qu'il avait bien vu que j'étais le fils du plus grand médecin de la ville. C'est tout ?
J'étais déçu...

Lentement, cette idée s'insinua dans ma tête, comme la vérité absolue, ça expliquerait beaucoup de chose.
Bakugo, depuis ce matin, avait juste peur que je découvre son secret, jusqu'à même essayer de me ramener à lui avec un faux appel avec mon père, ce matin.
Il faisait pitié putain.
Toutes les insultes que je lui avais sortis revinrent en ma mémoire, elles étaient finalement plus que véridiques, et je n'en regrettais aucunes.

Au fond de moi, j'avais cru qu'il me considéré comme autre chose qu'un portefeuille avec une bite.
C'était décevant.
Je l'avais trop idéalisé.
Et il m'avait sous estimé.
Jamais je baiserais, avec cette pute.
Comment Yúna avait pu préféré ça à moi ?
Bakugo me foutait la rage a ressembler à ça.

Ça voulait dire qu'il se tapait pleins de mecs depuis longtemps ?
J'avais la rage. Je sais pas pourquoi.

L'homme fumait un espèce de cigare immonde, tout en riant et me parlant de choses que je n'écoutais plus.
Trop concentré sur ma colère, chassant toutes les angoisses passées.

Machinalement, j'avais pris la bouteille d'eau à mes pieds, d'un coup de main rageur.
Le goulot ouvert, je buvais l'eau, pour calmer l'incendie qui rongeait mes entrailles et mon crâne.
Je sentis directement une grosse difformité, qui était présente sous l'étiquette de la bouteille.

L'homme ne parlait plus, il regardait par la vitre, Bakugo s'affairer à la recherche des clés, un peu plus loin.
Son regard était un peu le même que tout à l'heure quand il me fixait par la fenêtre.
Mais je n'avais plus peur.

Curieux, je m'étais reconcentré sur la bosse, présente sous l'étiquette de la bouteille en plastique, et, d'un doigts, j'avais créer un espace afin de voir qu'est ce qui faisait cette étrange bosse à cette bouteille.

Mon coeur cessa de fonctionner.
Mes oreilles sifflaient.
J'avais l'impression de sortir de l'eau, de me rendre compte d'où j'étais.
L'angoisse et mes rapides et bruyants battements de coeur avait repris plus fort que jamais.

Sous l'étiquette, avait été dissimulé une clé.

Les clés qu'on cherchaient.
Que Bakugo cherchait.
Les clés que Bakugo avait dit avoir perdu.
Les clés qui avaient été cachées sur cette unique bouteille d'eau.
Les clés que Bakugo cherchait un peu plus loin dans le champ.
Bakugo, qui m'avait gueuler un peu plus tôt, de rentrer dans la voiture, et boire.
De l'eau, où étaient cachée ces clés.
Clé que l'adulte aussi cherchait.

Ça voulait dire qu'un des deux faisait le cinéma, et faisait semblant de chercher ses clés, alors qu'il les avait caché juste avant.
Mais pourquoi tout ces secrets.
Qui mentait ?

J'eu la réponse à ma question plus vite que prévu, lorsqu'un cri perça le silence de la voiture.

" Akkiiiiiii. Putain c'est bon j'les ais retrouvé. Viens m'aider enculé elles sont tombées dans un terrier j'arrive pas à les atteindre ! "

Bah non. C'est pas possible ce que tu dit Bakugo.

Tu mens.
Les clés.

Elles sont là.
Enfin juste une.

Bakugo,
pourquoi tu a l'air effrayé depuis ce matin ?

Pourquoi là, tu ammene Akki, à un endroit où il n'y a pas de clé.

Il vas bien s'en rendre compte.
Il va être en colère.
Je ne comprends pas.
Bakugo ?

Bakugo, s'il te plaît, explique moi.

Fait attention à toi, Akki vient de sortir de la voiture, il arrive.

C'est lui le méchant c'est ça ?

Alors j'avais arraché l'étiquette, les clés étaient tombés sur mes genoux, et un petit papier, que je n'avais pas vu, aussi.

Dessus, un mot avait été écrit.
Juste un.
Ça sonnait comme un ordre...
Ou une supplication?
C'était une écriture rapide et tremblante.

Un seul mot, et la clé, étaient posés dans les paumes de mes mains.




Le petit mot était fuis.





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2994 mots
dîtes si vous aimez bien ce format et si c'est pas trop brouillon
Sinon je refais aucun soucay

~ N'hésitez pas à donner votre avis, et signaler toutes fautes de syntaxe, d'orthographe etc... et des incohérences trop importantes dans le récit ~

Jsais pas si vous aviez remarqué mais je suis une brêle pour écrire des dialogues donc y'en aura pas bcp euh zebi

Bisouuuuus

Faut que j'aille réviser mon bac.
La mort.
☠️☠️

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