Bonus Niskitz Et Désolée Mais...
Ce bonus se passe la nuit juste avant le rentrée, quand Fitz va entrer aux tours d'élite. Niskiln est chez elle.
PDV Niskiln
Il me manque.
Il s'en va demain et m'abandonne face aux autres adolescents de mon âge.
Peut être que je vais tomber amoureuse un autre... Non.
Ça ne peut pas arriver.
Quoique...
Si ça arrive, qu'est-ce que je fais ? Je lui dis ou pas ? Si je lui dis, il se mettra en colère et retournera au centre de redressement. Mais si je ne lui dis pas, il se rendra compte que je le trompe (je suis bonne menteuse mais il est télépathe) et se mettra en colère aussi, pour me tuer moi ou mon amant.
...
Le mieux serait que je ne tombe pas amoureuse d'un autre.
Mais... Passer 3 ans (ils ont un an d'écart) sans tomber amoureuse ni voir Fitz...
Ce sera long. Et je ne pourrais pas éternellement penser aux moments qu'on a passés ensemble. Il n'y en a pas assez pour 3 ans. Et en faire d'ici demain me paraît compliqué...
Un bruit à la fenêtre me fit sursauter. Je me levai et l'ouvrit. Fitz me tomba dessus (au sens propre) de manière fort peu élégante. Il s'excusa:
-Désolé d'arriver comme ça, je n'arrivais pas à dormir...
-Moi non plus. Tu peux pousser ton royal derrière ? Tu m'écrase.
Il se releva et me tendit une main, que je ne pris pas.
-Qu'est-ce que tu fais là ?
Il grimaça.
-En fait... j'avais envie de te voir.
Mon rythme cardiaque accéléra, mais je n'en laissa rien paraître.
-Et ? Imagine que je dormais. Tu aurais poireauté derrière la vitre toute la nuit ?
-Non, je serais entré et t'aurai révéillée.
-Et gâché au passage ma paisible nuit de sommeil pour la rentrée qui est demain... Bon plan, sire Vacker... Raillai-je.
Malgré mon attitude, il sourit.
-J'aime quand tu fais l'inaccessible comme ça. Que dois-je faire pour te faire changer d'attitude ? J'aimerais avoir une discussion avec la vraie Niskiln.
Je souris à mon tour. Il me connaissait par cœur.
-Il faudrait me dire la véritable raison de ta venue.
-Ah... C'est obligé ?
-C'est obligé. À moins que tu ne veuilles rentrer chez toi par cette même fenêtre, que tu as oublié de fermer au passage, dis-je d'un ton snob.
Il ferma la fenêtre et réfléchit, embarrassé. Puis il lâcha:
-Veux-tu passer la nuit avec moi ?
Je ne m'attendais pas à une question aussi franche. Il en rougit même. Je me leva.
-Ma foi, j'accepterais bien, mais veuillez préciser.
Il se rapprocha, enlaça ma taille du bras et plongea son regard dans le mien. Je ne bougea pas d'un poil, imperturbable.
-Tu sais parfaitement ce que je veux dire... Souffla-t-il avant de m'embrasser passionnément.
Je ne resista plus.
Je me jetai à son cou, le serrant doucement (contradictoire mais véridique). Il decela nos lèvres et me fit un câlin, puissament amoureux.
J'étais complètement transportée, dans un autre monde.
(oui oui, ce n'est qu'un calin😂)
Alors qu'il commençait à passer une main baladeuse sous mon haut, je le stoppa:
-Pas ici.
Il retira sa main.
-Tes parents veulent que tu reste ici ?
-Ils s'en fichent de moi, on peut partir.
Bien que ce constat ne soit pas particulièrement agréable à faire, c'était la vérité. Depuis 3 ans, ils le considéraient comme une honte après mes "bêtises" comme ils disent.
Ça faisait 6 mois que j'étais revenue et pourtant, les seules paroles échangées étaient "bonjour", "au revoir", "s'il vous plaît","merci". Je ne les avait qu'effleurés, limitant les contacts au maximum, et pourtant ils avaient à chaque fois l'air de frôler l'arrêt cardiaque.
Je n'étais même plus autorisée à les tutoyer, je devais les vouvoyer. Et à chaque fois qu'ils zgaraient un truc, posaient quelque chose ailleurs, ou quelque anomalie, ils m'accusaient (je vous rappelle qu'elle était voleuse avant).
Mais sont-ce bien mes parents ?
Ou ce que j'ai fait est-il aussi horrible ? Pas à mes yeux en tous cas.
-Niskiln ? Tu vas bien ?
-À merveille sire, et vous ? Ironisai-je, la voix un peu cassée.
-Ce sont tes parents ?
Qui ne dit mot consent pas vrai ?
Il me serra dans ses bras.
-On trouve un endroit pour dormir et tu me raconte, d'accord ?
J'aquiesquai en silence. Il réfléchit, puis sortit un cristal.
-Après vous mademoiselle.
-On va à Everglen ?
-Non. Tu vas voir.
Je pris le sentier lumineux sans demander plus, je lui faisais confiance. Le cristal m'amena sur les falaises escarpées avec le rocher pour aller en Atlantide.
Il m'y rejoignit, prit le flacon à tornade, et la brisa. La tornade s'en échappa aussitôt, menaçante, faisant apparaître le fameux tobbogan.
-Après toi, me proposa Fitz.
J'avais super peur, ça faisait des années que je n'avais pas pris ce chemin là, mais j'avais mon orgueil.
-À tout à l'heure.
Je sautai dans le tube, m'attendant au pire. Mais en fait c'était plutôt rigolo. Arrivée en bas, je l'attendis avec impatience, la cité était plutôt jolie de nuit, mais ça faisait quand même peur.
Il arriva enfin, et me désigna un immeuble luxueux.
-On va là.
-Tu as un appart en Atlantide ? Tu ne me l'avais jamais dit !
-Tu ne sais pas tous mes secrets, fit-il avec un petit clin d'œil.
Je me détourna pour ne pas rougir, et me dirigeai vers l'entrée du bâtiment lumineux.
Il me doubla, et arriva au vortinateur avant moi.
Quel gamin... Il, est beaucoup trop mignon quand il est comme ça en plus... Songeai-je en croisant les bras.
-23, cria mon petit copain à l'escalier.
C'est officiel, mon estomac s'est détaché de mon corps et s'est barré en courant. Fitz lécha la languette sur la porte et l'ouvrit (la porte, pas la languette).
-Tu peux y aller.
-Merci sire.
L'appartement était dans les tons bleu, blanc et gris. C'était... Joli. Fitz me pointa un couloir.
-Tu peix aller dans cette chambre si tu veux, j'apporte à manger.
-Euh.. Attends, pourquoi on est là ?
-Nous sommes donc dans mon appartement privé en Atlantide. Je me suis dit qu'Everglen et chez toi n'étaient pas des lieux propices à la discussion en pleine nuit.
-Parce que tu veux juste discuter ?
-Je ne sais pas, on verra... Dit-il d'un air mystérieux. Tu as faim ?
-Non, ne t'embête pas. Et si on allait discuter ? L'engageai-je en me dirigeant vers le couloir qu'il m'avait montré plus tôt.
Il me suivit et m'indiqua la première porte à gauche. C'était une magnifique chambre dans les tons violets (comme j'aime) et noir (encore mieux).
-C'est rigolo, cette chambre est parfaitement dans mes goûts... Prononçai-je à voix bien haute et d'une manière pas du tout anodine.
Mon petit copain sourit et alla s'asseoir sur le lit. Il tapota la place à côté de lui. Je m'y assis. Il commença:
-Alors... Comment ça va avec tes parents ?
Rien qu'à ce mot, mes épaules se courbèrent et mes yeux me brûlèrent.
Il remarqua mon changement d'état soudain et le serra contre lui.
-Raconte-moi.
Lorsque j'ouvris la bouche, mes yeux lâchèrent un torrent de larmes et mon nez me piqua à son tour. Je secouai donc la tête en signe de refus.
Il prit mon menton trempé avec deux doigts et rapprocha mon visage du sien. Il embrassa mes larmes dans un geste doux et, avec son autre main, caressa ma joue.
Mon cœur s'envola et mon estomac revit pour le suivre loin, loin dans les airs. Je rompis la distance entre nos lèvres et mon cœur éclata, tout simplement.
Fitz me poussa doucement pour m'allonger et une main vint se balader sous mon haut. Cette fois, je ne la stoppa pas et fit la même chose sous son haut à lui. Je sentis ses abdos se crisper de surprise, je n'avais jamais fait ça, aussi.
Je m'assis et, tout en l'embrassant, déboutonnai sa chemise lentement. Il arrêta de m'embrasser, me plaqua contre lui (pas violemment, calmez-vous) et respira l'odeur de mes cheveux profondément.
Je levai la tête, j'arrivais à peine à peu près à son épaule, et lui chuchota:
-Fitz, je crois que je t'aime...
-Beaucoup beaucoup ?
-Non, plus... Tellement plus...
Il me fit taire d'un baiser enflammé. Il retira mon haut méthodiquement et me dit:
-Je veux une preuve de ton amour envers moi.
-Comme quoi ?
Je le savais bien sûr, mais je voulais qu'il le dise.
-Accepte que je te fasse ce que je veux ce soir.
-Marche conclu, sire... Si tu as de quoi te protéger.
-Bien sûr voleuse de mon cœur, pour qui me prenez-vous ?
-Je demandais comme ça... Vas-y.
-Ne bouge pas, je reviens.
-Ok.
Il disparut dans une pièce voisine. Par télékinésie, j'éteignis le plafonnier et allumai la lampe de chevet, plongeant la pièce dans la pénombre.
Fitz revint et s'assit comme avant.
-Où en étions-nous ma chère ?
-Tu devais m'enlever mon bas.
Il s'attela à la tâche. Je l'aida comme je pus, mais ça prit quand même un peu de temps. Lorsque tous mes vêtements furent enlevés, il me contempla.
-Tu es vraiment belle... J'aimerais avoir cette vue plus souvent.
-Ah oui ? Eh bah profite un peu !
Je lui sautai dessus pour inverser les rôles. J'étais maintenant dessus, et lui dessous.
-Regarde-moi tes cheveux tous décoiffés... Plaisantai-je en voyant sa coiffure.
Il sourit et m'attira tout près de lui pour m'embrasser. Après plusieurs baisers langoureux, il me chuchota:
-Tu peux écarter les jambes...
Scène censurée
Une vingtaine de minutes plus tard, juste avant que nous ne nous endormions, il me demanda:
-La voleuse de mon cœur a-t-elle apprécié ce moment ?
-Oui mon roi... Soupirai-je en l'embrassant.
-Maintenant, tu es à moi... Murmura-t-il a mon oreille. Ne songe plus à me tromper.
-Non non...
-Promets.
-Je te le promets... Amour de ma vie...
¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿? ¿?
Heya.
Qui a aimé ici ?
Moi... Je me suis spoilée en même temps que j'écrivais, mais j'aime bien quand même.
Et...
Je suis désolée, mais il n'y aura pas de bonus sokeefe.
Que voulez-vous, mon inspiration est partiellement épuisée après ce livre, alors si vous voulez du sokeefe, allez voir celui de redevable ou d'autres livres...
Je vais marquer ce livre comme terminé dès que j'aurais publié ce chapitre, ne m'en voulez pas...
J'ai écris le bonus hein, mais c'est une purge.
Indigne de moi. Un brouillon. Voilà.
Je suis vraiment désolée.
A plus tard dans mon livre sur la deuxième guerre mondiale mes pommes de terre...
Je vous dirais quand je ferais le tome 9.
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