PDV: Etzel
Nous marchions depuis environ dix minutes. Personne ne parlait. Seul les croassements des corbeaux brisaient le silence. Au loin, je commençais doucement à distinguer des lumières. Je fronça les sourcils et me décida enfin à prendre la parole.
Moi: Où m'amène tu?

Akin: Tu verras quand nous serons arrivés.

Je laissa échapper un soupir et le suivit à travers l'immense forêt.

Après quelques minutes de marche, nous arrivions enfin à l'arrière d'une grande maison d'au moins deux étages.
Moi: Qu'est-ce qu'on est venus faire ici?

Akin: Bah tuer pourquoi?

Moi: ......

Akin: Roh allez! On tuent les cinq personnes qui habitent ici et après on ira où je veux t'amener ok?

Moi: ok....

Il avança en souriant alors que j'avais le trac. J'ai déjà tuer mais je n'avais jamais lever la main sur des innocents. Je le suivit malgré mes craintes jusqu'à l'entrée où le Piromaniak avait déjà ouvert la porte.
Akin: Après vous ma chère.

J'entra dans la maison et me rendit au deuxième étage sous l'ordre de monsieur le pyromane.

J'ouvris délicatement la porte et découvrit un couple profondément endormi. Je m'approcha du lit, m'assis au bord de celui-ci et commença à chantonner la comptine de Razor Jim avec une suite que j'avais inventée tout en jouant avec deux couteaux que j'avais pris dans la cuisine avant de monter à l'étage.
«Dors mon jeune enfant,
Ne te fait point de mauvais sang,
Regarde mes beaux amis,
Comme ils sont gentils,
Ils vont te découper,
Te laisser ensanglanté,
Te noyer dans ton sang,
Sous les doux cris d'enfants.»

Ma comptine réveilla la femme qui se mit a crier en me voyant. Je l'assoma avec le manche du couteau et regarda l'homme qui se réveilla brusquement et qui sortit d'un bond du lit.

Homme: Qui êtes-vous!

Moi: La dernière personne que tu verras de ton vivant!

Je me déplaça pour arriver derrière lui grâce à ma grande vitesse et planta mon couteau dans son épaule. Je ria sadiquement en le voyant par terre, tenant son épaule ensanglanté. Je m'approcha de lui et me mit à genou sur lui. À l'aide de mon couteau je trancha sa langue pour qu'il ne puisse plus crier et je trancha également un gros rond sur chacune de ses joues pour éviter qu'il ne s'étouffe avec son sang.
Il ouvrit difficilement les yeux et me regarda avec un regard que je hais par dessus tout.

Un regard suppliant, un regard qui ME suppliait de le laisser vivre.

Je planta mes deux couteaux dans chacune de ses mains et mit mes doigts dans ses globes oculaire pour arracher ses yeux bruns. Finalement, j'enleva mes couteaux de ses mains. Il gémit et tenta de me frapper mais je lui donna un coup de poing dans le ventre qui eu pour effet de lui faire cracher encore plus de sang et de le faire renoncer à toute tentative de défense. Je le traîna ensuite près du mur et le mit en position assise et planta l'un des couteaux dans son cou. La femme se réveilla à nouveau alors que ma victime rendait son dernier souffle. Je ferma les paupières de l'homme et me leva. La femme, elle, ne bougeait pas, paralysée par la peur. De mon côté je me sentais plutôt bien, même très bien. Je dirais même que pour une fois je me sentais...
Vivante.....

PDV: Akin
J'avais finit de tuer les trois enfants qui habitaient la maison. Je me rendis donc à l'étage où se trouvait les parents et Etzel.

Lorsque j'ouvris la porte, le spectacle qui s'offrait à moi était à la fois d'une horreur inimaginable et d'une beauté mortelle.
L'homme et la femme avaient été pendus par le cou grâce à des couteaux. L'homme n'avait plus de yeux et son visage était marqué de toute part. Pour la femme, son corps avait été découper et elle avait été éventré. Ses reins étaient absents. Son visage était également coupé de toute part et ses yeux d'un bleu clair pendaient le long de son doux visage ensanglanté.

Je détourna ma tête de ce spectacle et vit Etzel assise sur le lit. Ses vêtements étaient ensanglantés et ses cheveux blancs comme la neige collaient et étaient également tachés. Le moins qu'on puisse dire s'est qu'elle n'y est pas aller de mains mortes!
Moi: Bon on y vas?

Elle hocha la tête et se leva. On quitta la maison que je brûla et on repartis vers la forêt.
Etzel: Où est-ce qu'on vas maintenant?

Moi: Tu verras je suis sûr que ça va te plaire!

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Voilà pour le chapitre 7!
J'espère qu'il vous a plus!

D'après vous où Akin compte amener Etzel?
Et que pensez-vous des passages gores?
Dites moi vos avis dans les com's!

À plus les creepys!