On pardonne

mais on oublie pas.

Bonjour et bienvenue dans mon deuxième roman/poème en vers libre à ce jour ! Je suis heureuse de vous présenter ce nouveau projet. Ne passons pas par quatre chemins non plus:

Ce livre traitera du sujet de l'harcèlement scolaire, du rejet face à la différence, de scolarités difficiles, du suicide.

Il est destiné à un public averti et bien dans sa tête. 

La santé mentale est un sujet universel qui touche les gens de toute ethnie, de tout milieux. Timides, extravertis, souriants et déprimés. Un sourire peut cacher une grande peine, de petits gestes peuvent constituer de véritables appels à l'aide.

Vous n'êtes pas seuls. Parlez-en autour de vous, à vos proches, vos parents. Le forum filsantejeunes.com ou des numéros verts peuvent vous être utiles si vous êtes en situation de souffrance.

Numéro suicide écoute: 01 45 39 40 00

Numéro de prévention au suicide: 3114

Numéro d'aide anonyme: 0 800 235 236

Après ce petit TW que je trouve important et si vous vous sentez de continuer, je vous en prie !

Il n'y a pas de contenu à caractère sexuel dans ce livre.

Il n'y a pas de romance ni de contenu gore.

Ceci n'est pas un roman, ni un poème.

Cet ouvrage n'est pas autobiographique.

Si aujourd'hui, "46 % des élèves déclarent avoir été victimes d'au moins une violence de façon répétée durant l'année scolaire" selon le Ministère de l'éducation, une question peut se poser dans les larmes et la colère. 

Où sont les harceleurs.

Qui sont ces gens ? Se connaissent-ils seulement ? Savent-ils le mal qu'ils ont fait subir, ou pensaient-ils vraiment bien faire ?

C'est dans ce livre que je souhaite faire un portrait d'une classe touchée par un si grand besoin de conformisme qu'elle en payera le prix fort. Un des élèves s'ôte la vie avant la rentrée des classes.

Je n'ai aucune réponse à apporter: ce sera à vous de savoir qui sont les fautifs. Qui sont les harceleurs parmis ces personnages secoués par la vie, apeurés, traumatisés.

Nous avons tous pu adopter un comportement de harceleur face à une personne dont la différence nous agressait. Il faut repérer ces comportements qui sont humains. Il faut se protéger de l'effet de groupe. Et surtout, surtout, il faut prendre conscience que, si l'on peut être la victime, on peut aussi être l'agresseur. Le reconnaitre, le prendre en compte, c'est faire avancer cette cause.