CHAPITRE 10

Hello tout le monde !

On se retrouve pour un nouveau chapitre avec un nouveau PDV (encore un oui je sais, mais c'est un peu comme un BONUS)

J'ai l'immense honneur d'avoir rencontré @HarryStranger et @Camilledll sur la magnifique histoire de @Perripuce (O&P la meilleur fanfic HP Wattpad !!); et elles ont acceptés d'être mes bêta-lectrice ; je vous laisse donc avec elles :

Notes des bêtas : Coucou !!! Alors je me présente, je suis @Camilledll , la nouvelle bêta de @_Emrai_ en co-bêta avec cette très chère Linouche : @HarryStranger ! Hey ! Alors première information pour commencer, c'est bien moi @HarryStranger mais seules Camille et l'auteure de cette histoire sont autorisées à m'appeler Linouche (laissez tomber j'ai pas d'autorité sur elles on est méchantes 😂😈). Bref (je dis souvent bref), je suis l'écriture en italique et Camille est en gras soulignés. Pour le moment, rien à ajouter. Très bonne présentation Linouche. J'ai oublié de préciser, vous pouvez m'appeler Camomille, moi ce surnom ne me dérange pas.

Au programme du jour : un nouveau point de vue !! Et oui ! On retrouve notre Louis adoré pour une découverte intrigante ! La suite dans le chapitre ! AVEC JAMES ET CASSIOPEIAAAAAAA (j'avais rien à ajouter par rapport à ce qu'à dit Camille 😂). Bonne lecture ! (P.S. D'ailleurs on retrouvera James dans un point de vue final (à mon plus grand bonheur))


Fin de la note des bêtas :

Je vous laisse donc avec un petit chapitre émotionnel qui fait du bien !


Chapitre 10: La jeune fille aux chaussons rouges

PDV Louis Weasley

Depuis la disparition du professeur Londubat, James et Cassiopeia étaient devenus invivables: ils essayaient sans cesse de trouver des explications à sa disparition : de la dispute de couple au meurtre en passant par la recherche d'une plante dans la forêt ou d'un enlèvement... Tout y passait.

Même notre amie Merry les trouvaient dingues ; elle qui pourtant était passionnée par le journalisme et le commérage. Une semaine était passée mais ils continuaient toujours à débattre sans relâche. Le déjeuner de ce mercredi s'était avéré particulièrement houleux et James et Cassiopeia étaient à la limite de se battre lorsque je me levai de table.

_Bon vous m'énervez là sérieux ! "Je te le dis il s'est fait enlevé ![..] Mais non c'est évident qu'il est parti ! Enfin il aurait pas laissé sa fille !"

J'avais dit tout ça d'une voix terriblement aigüe si bien que la moitié de la table des Gryffondors - de la Grande Salle en fait - me regardait. Je ne m'étais jamais révolté comme James ainsi, j'avais toujours été conciliateur. D'habitude, c'était James qui poussait ses coups de gueules et moi qui l'apaisait. Mais Neville était un sujet trop sensible pour que je me la ferme.

Il y en avait marre ! Je suis Louis Delacour-Weasley et pas le dernier des imbéciles !

Je sortis de table, bousculant au passage un James choqué et une Cassiopeia qui essayait de me retenir.


Sans réfléchir, je gravis les marches des escaliers, esquivant une gargouille en ruine que McGonagall avait décidé de ne pas reconstruire, pour se souvenir des erreurs du passer. Que certaines choses, malgré la magie et la bonne volonté pouvait rester à jamais irréparable.

Je ne savais pas où j'allai sûrement le plus loin possible d'eux et laissait mes pas me guider vers le septième étage. Je passais devant la tapisserie représentant la tentative de d'apprendre la danse classique à des trolls en riant. J'avais vraiment besoin de me détendre, pensais-je en réalisant que des trolls m'avaient fait rire. Il y avait vraiment des endroits loufoques dans Poudlard. Je m'aperçut alors que j'avais oublié mon écharpe et reprit le couloir en sens inverse. Arrivé au bout du couloir au dessus des escaliers, je n'eus pas la force de tout redescendre et d'affronter James et Cassiopeia et de leur expliquer ma colère ou ma froideur ou pire de les voir encore se prendre la tête à propos de l'endroit où repose hypothétiquement le corps de Neville.

Cassie me prendrait mon écharpe.


Je repris une troisième fois le couloir en sens inverse. Je pensais à Mya et à sa performance sur le Quidditch. Elle était sortie de l'hôpital hier, il fallait que j'ailles la voir. Mais avant, je devais le détendre !

Une porte apparut sur ma droite et je sursauta. Pas digne d'un Gryffondor tout ça !

J'avais déjà entendu parler de la Salle-sur-Demande par oncle Harry et Neville. Les Défenseurs des Droits que je connaissais refusaient de nous expliquer en détail ce qu'ils s'étaient passé durant leur jeunesse. Evidemment, il y avait le livre "Harry Potter" écrite par Rita Skeeter - de son nom de moldu J.K. Rowling - avec l'aide de tante Hermione, qui avait écrit leur biographie et qui avait fait un carton dans le monde moldu et sorcier, mais, mes parents, mes oncles préfèrent que je ne lis pas ce livre. C'était la même chose pour James, Lily, Rose, Hugo, Lucy, Molly, Fred, Roxanne, Albus, et bien sûr Dom et Vic. Je savais que Cassie les avait lus, mais elle n'en parlait le moins possible. Nos parents préferaient que nous ne savions pas trop de chose sur leur passé, cela les dérangeait que l'on sache leur vie. Hermione avait été obligée de faire ce livre pour leur différentes carrières. Les gens s'interrogeaient : comment un gamin de 17 ans avec ses deux meilleurs amis ont-ils pû éliminé le plus grand mage noir que l'Angleterre ait connu ?


Je poussa tout doucement la grosse porte de la Salle-sur-Demande, une musique d'alto venant du fond de la salle semblait pleurer sa nostalgie. Je ne voyais pas la provenance de cette douce mélodie, mais cela n'avait pas d'importance.

Je la voyais, elle. Elle portait une brassière bandeau noire et un short de la même couleur. Ses cheveux châtains étaient attachés en un chignon parfait et la seule trace de couleur de sa tenue était ses chaussons de danse. Ils étaient à bout plats en soie rouge sang. Les chaussons étaient un peu abimés et pliés mais aucune déchirure ne les parcouraient.


La jeune fille était... magnifique. Elle se mouvait dans l'espace comme un ange dans les cieux. De dos, elle s'entrainaient à un exercice d'arabesque : elle battait la jambe au dessus de sa tête en avant et l'envoyait derrière en cambré sur les pointes.

Puis elle se mit à danser... elle semblait voler. Ses pieds se déplaçaient rapidement, avec légèreté et ses bras et ses jambes, harmonieux effectuaient les mouvements avec plus de grâce que je n'en avais jamais vu. Elle semblait se déplacer dans de l'eau, tant elle était légère ; gracieuse. Tout semblait simple, rien ne paraissait forcé ou difficile. J'en oubliais mes soucis, Cassiopeia et James et le professeur Londubat, la botanique et mon cœur déchiré semblait se recoudre. Elle l'avait, à l'aide de son corps fin, menu et de ses mouvements gracieux, recousu.


Quelqu'un toussota, la jeune fille s'arrêta. Honteux je disparus.

J'eu le temps d'entendre :

_Qui est là? d'une voix que je ne reconnus pas malgré le fait qu'elle me paraisse familière.

J'avais espionné cette danseuse, mais elle était si belle !


Je me cacha dans un recoin du couloir et vit un garçon blond passer devant moi. Derrière une tapisserie, je ne vis pas qui c'était, ni même sa maison.

Cela n'avait pas d'importance. Deux chaussons rouges dansaient dans un coin de ma tête, et je me doutais qu'il allait falloir attendre longtemps, très longtemps, avant qu'ils s'arrêtent.


PDV James Sirius Potter

J'étais amoureux de ma meilleure amie. Oui, c'est problématique. Le pire c'est qu'elle me considérait comme rien de moins - ou de plus - que son frère (ou quelque chose dans ce goût là)...

Ses yeux verts d'eau, ses boucles noires, sa peau ivoire... Tout en elle me troublait, m'attirait. Cassiopeia Lestrange avait un sourire plus doux que le miel, un sourire qui vous donnait l'étrange impression d'être unique ; à ses yeux la plus belle chose au monde. Elle avait ce rire en grelot, qui rebondissait léger et venait chambouler votre cœur, mon coeur, me faisant perdre tous mes moyens. Oh oui ! c'était une très jolie jeune fille et bien qu'elle ne manque pas de courtisans (pour mon plus grand désespoir), on ne lui avait jamais connu de petit ami. Même Louis, à qui elle disait tout, n'avait j'avait sû si elle était déjà sorti avec quelqu'un. Et cette indépendance, cette inateignabilité la rendait plus géniale, plus mystérieuse encore !Quel idiot faisais-je !


Un bruit de pas me fit sortir de mes pensées dans lesquelles j'étais tombée lorsque Louis étais parti.Louis était reparu dans la grande salle, visiblement de meilleur humeur. Cassiopeia et moi étions restés dans la Grande Salle, sans se parler, se regarder... Nous étions juste là, l'un en face de l'autre, les yeux dans nos assiettes à demi-pleines. Juste là l'un pour l'autre, comme toujours. Comme des amis....Louis nous frappa sur la tête :_Alors les amoureux? Vous boudez ?Nous nous levâmes d'un commun accord, et nous mîmes à un courir après un Louis hilare. Cassiopeia semblait folle de rage (qu'elle était belle en colère !) mais le pli qui s'était formé au milieux de ses sourcils fins durant l'absence de Louis avait disparu. C'était toujours comme ça avec elle, elle cachait ses véritables émotions, protégeant ainsi son cœur et ses amis des conséquences de ses paroles (car quand elle se lâchait, Cassie avait la langue aussi affutée qu'un couteau !)Ses réelles émotions restaient cachées ; mais je la connaissais assez pour les décrypter aussi facilement (voire même plus) que mes propres sentiments. Elle gardait pour elle-même les choses qui la préoccupait vraiment ou la blessait, et elle surjouait ses émotions secondaires, peu importantes, de peur de paraître trop froide ou stoïque ; comme lors de notre première année, où son intégration avait été très difficile car elle ne parvenait pas à faire confiance et à déterminer ce qui devait, de ses idées ou sentiments, être révélé et ce qui devait resté caché. Mais elle était passée maître en la matière et je la soupçonnait d'être une occlumens remarquable. Mais j'avais réussi, peu à peu à devenir son ami. A force de rire, d'anecdotes, sur mon propre passé, elle s'était ouverte à nous. Et j'étais tombé amoureux de cette petite femme à la baguette aussi acérée que ses mots et douée dans quasiment toutes les matières hormis la botanique où Louis la surpassait, en Histoire de la Magie [elle trouvait la vie des Gobelins passablement ennuyeuse] et en divination où c'était l'arrogant Flynn Wilkes qui excellait.Quand à l'arithmancie, matière que je ne suivais pas mais qui d'après Cassiopeia était très intéressante, c'était un Serdaigle le plus doué de la classe ; "un garçon charmant nommé Marc Aphie". Elle était incroyable.Moi, ma matière favorite était le vol, bien que je ne sois pas mauvais en potion et plutôt doué baguette à la main ; je pouvais, sans me vanter, affirmer que j'étais le meilleur sur un balai de tout Poudlard.A ce qu'il paraissait Mya non plus n'était pas mauvaise, elle avait eu un poste de Gardienne chez Serpentard. Et il était apparu qu'elle était un petit génie de la potion. Elle ressentait ces choses-là. Elle avait une forte intuition et d'après elle cela ressemblait à une matière moldue, la "phymique-chisie" ou quelque chose dans le genre._Et James, tu rêves ? me demanda Louis_Quoi ? Euh... Je réfléchissais..._Réfléchir? Toi? Tu veux dire que tu ne fais pas que foncer dans le tas? me dit Cassiopeia, son magnifique sourire en coin_Tais toi, idiote ! dis-je en lui ébouriffant les cheveux

Elle perdit l'équilibre et tomba dans mes bras.

Un petit clic avec un flash aveuglant retentit.A côté de nous Lily riait, son appareil photo pendant dans ses mains.Un petit clic avec un flash aveuglant retentit.A côté de nous Lily riait, son appareil photo pendant dans ses mains._LILY!! nous commençâmes à crier en riant_Désolée... Mais vous êtes trop mignons !

_Comment ça mignons ? demanda Cassiopeia

Lily s'enfuit de la grande salle en riant, Cassiopeia à ses trousses.Je soufflai. _T'inquiètes mon pote... Un jour, elle s'en apercevra. Un jour.







Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top