Un matin de temps pluvieux,
À l'atmosphère sombre presque orageux 
Pas de fête en vue, dehors il pleut ;

Aujourd'hui, se déchaîne le torrent des dieux ! 

Un jour d'été où le soleil devrait briller,
C'est le déluge qui s'abat sur l'humanité 
Déversant des litres d'eau sur le pays entier,  
Comme si la pandémie n'avait pas assez impacté ;

Aujourd'hui, la terre a décidé de pleurer ! 

Rien n'aurait pu présager une telle affluence,
Quand une simple flaque se transforme en vague immense

Rien n'aurait pu présager une telle violence,
Que la météo pouvait avoir face aux résidences ;

Aujourd'hui, c'est la décadence !

Des quartiers entiers sinistrés,  

Des fleuves ont débordé,

Des maisons inondées,  

Les courants ont tout emporté.  

Des centaines de vies brisées,  

Des milliers de biens saccagés,  

Des souvenirs envolés,

L'eau n'a rien épargné.

Mais n'est ce pas la terre qui se révolte ? 

Qui détruit les briques comme on détruit ses récoltes,

De sa belle nature, que reste-t-il ? 

Sa verdure, ses insectes, les animaux qui la colonise,

Que reste-t-il ? 

L'humain à vu de quoi est capable la terre pour protéger ce qui lui est cher,

Par des catastrophes naturelles.

Triste que les conséquences soient telles ;

Comme on dit, on ne peut rien contre les forces de la nature 

Mais la nature n'est plus que blessure !

Ses arbres déracinés, 
Remplacer par l'immobilier 

Des arbres tronçonnés,
Qui aurait retenu d'être inondé 

Et la terre lui a montré ;

À cet humain entêté.

Et aujourd'hui, c'est à son tour d'être blessé ! 

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