On est ensuite descendu dans les décombres, les ruines anéantiepar l explosion.

C étais un paysage nostalgique et granuleux.

_ j'ai pris de quoi manger t/p si tu veux.

_ j avoue que j'ai faim ,avec plaisir !

On s assis et Deidara sort deux sandwichs. Ils sont délicieux ! Vraiment je n'en est jamais goutter de pareil.

_ c'est bon pas vrai ?

_ j avoue que tu es doué.

_ ne te méprends pas ,sais la recette de Konan, elle m'as montré comment faire.

_ n'empêche tu les a comme même bien réussi. la nourriture quelque part c'est de l art éphémère ?

_ haha ,tu commence à me faire peur à tout comparé à mon art . L art est d explosion c'est tout.

Je continue de manger jusqu'à finir le casse-croûte . Et nous repartions direction le repères.

Je ne sais pas si je pourrais ressortir avant la fin du moi . Alors je profite de chaque courant d air qui caresse ma peau.

Une fois arrivé Tobi se jette sur moi .

_ T/P !!!! Ne par pas sans me prévenir, j était tous seul !

_ ho pardon Tobi . Je ne recommence plus.

Tobi regard Deidara avec fourberies.

_ tu as une mission Deidara, ordre de Pain.

_ a oui ? Et je peux savoir de quoi il s'agit ?

Dit il les bras croisés.

_ il veut que tu fasses les courses avec kakuzu.

_ oh non pas ça ! Pour c'est pas Hidan ?

Hidan apparu comme par magie sur le canapé est sortie son plus beau jeu d acteur.

_ je me suis cassé la jambe, je souffre trop.

_ tu te moque de moi ? Tu aimes la douleur je te signal. Comme tu peux le croire Tobi .

_ il a pas l'air de mentir pour.

Tobi est décidément bien naïf, tellement que j en vient à passer que lui aussi a des talents d acteur.

Deidara fini par se résoudre à quitter le repères tiré de force par kakuzu.

Je regarde Hidan avec un airs désespérée quant il se releva après leurs départs.

_ t es sérieux. C était pas cool.

_ et puis quoi encore poupée ? Tu l aime ou quoi ? C'est pas la fin du monde.

_ n importe quoi

Hidan s'approcha de moi un sourir narquois.

_ j'ai l œil et je sais que tu as le cœur en amour. Si tu as besoin d un sacrifice p fait une réservation sur le bout de papier dans ma chambre.

Il me fit un baisers à distance à l'aide de sa main et repart.

_ euhhhh, il était aux courant que je suis toujours là ?

_ je sais pas Tobi ,je sais pas ...

Tobi et moi avions passé l après-midi entière à faire des blagues à tout le monde. On eut beaucoup d ennuie mais ça en vaut le coup.

Cette famille qu est l Akatsuki me redonne petit à petit le sourire.

Mais ils restent des criminelles pas vrais ?

Une partie de moi veut l oublier, je préfère ignorer se détail, faire comme si il n existait pas.

Et puis dans un mois c'est fini ,t en mieux.

Je quitte Tobi pour aller dans "ma" chambre et sote sur le lit de Sasori. Deidara n es toujours pas rentrée...Le pauvre il doit souffrir avec kakuzu.

Dans la chambre je remarque un calendrier accrocher aux dessus du lit du marionnettiste.

Je caresse doucement la dernière case du moi .

_ Qu'es que je vais pouvoir faire avent...

_ tu es aux courant !

Une voix qui d abitude était toujours calme retentit dans la pièce.

L homme aux cheveux roses me regarde droit dans les yeux.

_ de quoi tu parles ? Moi ? Non non, je me d'emmener juste pourquoi un crimes avait un calendrier.

_ a t'entendre on est même pas humain.

_ oh non ,désolé sasori si tu la pris comme ça !

Je remue les mains,déçu de l avoir vexé.

Il faut vraiment que j apene à me taire ! Je suis une idiote.

_ ne t'en veux pas voyons...après tout c'est surtout que je suis très attentif aux temps c est crucial.

C'est comme si il avait lut en moi .

_ je vois . Tu es le genre de personnes à rêver d une vie éternel ?

Il me regarde comme ci c était vrai.

Attendez , ne me dites pas que c'est vrai ?

Il pousse literalemennt son art à l extrême.

Mais si ça vaut aussi pour le blondinet, alors, il va mourir dans une de ses explosion ?

Sérieusement, depuis que je suis ici mes réflexions n'ont rien de normal.

_ viens avec moi ,je vais te montrer.

Il me fait signe de le suivre et une fois dans son espèce de laboratoire, je re vis les cadavres pendue . Leurs regards est vide de lumière, et la table où il y a peut, j était allongé et affamé.

Sasori enleva son haut. J...je suis ultra gêné.

_ tu fais quoi là ?

Je détourne le regarde.

_ regarde.

Je fixe avec attention la partie de son corps qu il désigne. Son cœur. Où du moins se qui devenait l être. Un espèce de rouleau rosâtre qui battait.

Dans le silence assourdissant de la pièce, ses pulsations résonne.

_ tu es humain ?

_ un humain éternel, t'en qu on ne touche pas à se cœur.

_ Le reste de ton corps, c'est une marionnette ?

_ on peut dire ça.

Par curiosité je pose le bout de mes doigts sur "ça peaux ".

Il rougis légèrement est recule d un bond.

_ oh désolé, je voulais pas te mettre mal à l'aise.

Mais une question me trotté dans la tête. Pourquoi il me montre ça à moi ?

_ c'est pas bien grave, tu peux faire comme bon te semble ici ,tu as l'air assez responsables pour ne pas toucher à tout-

Il n'a pas le temps de finir que je déjà en train de tout toucher. Il a tellement d ustensiles coupent...

_ c'est quoi ça ?

J appui sur une mystérieuse trappe, et tombe dans un puits sans fond.

Je me réveille. Je ne sais pas combien de temps je suis resté comme ça...

Mais je suis sur les GENOUX DE SASORI.

Je releve ma tête en sursaut.

_ on est où, je vais pouvoir mourir ?

_ tais-toi sérieusement, tu as toucher à n'importe quoi , tellement que tu as découvert un passage dont même moi je n avait pas conscience.

Je regarde autour de nous, la paroisse rocheuses et bleus nuit qui nous entourait .

Où étions nous tombé ?

A suivre.....

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Bonjour bonsoir

Ça va vous ?

Moi j'ai rien à dire, alors sûr ce , bye soldat.

( et encore désolé pour les fautes d orthographe)