Chapitre 34

PDV Cléophée

Après cette soit disant tentative de meurtre où j'ai vue ma vie défilée, nous étions obligés de retourner au palais, pour raison que ma vie est en danger. Tous mes gardes sont à la recherche de l'homme ou la femme qui a voulu me tuer devant plus de mille personnes. Qui veut ma mort et pourquoi ? Je commence sérieusement à avoir peur et imaginez-vous qu'il y a des personnes au château qui veut de ma mort. Il faut que je refais un contrôle sur le personnel, pour ma vie ainsi la vie de ma fratrie.

- Vous avez pas vu d'autres choses ?  me demande l'inspecteur qui occupe de mon cas.

- À part un  4x4 noir et un homme cagoulé non, je lui réponds.

Il lâche un soupir avant de se lever et partir. Stefano a voulu qu'on trouve rapidement la personne qui veut de ma mort, et je jure si ils ont réussis de retrouvé ce démon, j'occuperai moi-même de son cas. Il y a pleins d'instruments de torture qui date depuis le quinzième siècle dans le château et je n'hésiterai pas à les utiliser.

Je n'ai pas réussi à régler le problème avec le troupeau d'homme qui veut me faire expulser de mon trône. Il faut que je mets fin à cette mascarade pour une bonne fois pour toute, sinon le pays sera en cendre. Je dois protéger mon trône coûte que coûte et je leur montrerai qui est la chef ici. Je suis la dirigeante et j'ai plus cinq million de vies entre mes mains et je ne veux aucun cas que ce troupeau d'homme déclare la guerre dans mon royaume.

Aujourd'hui c'est Noël, et dans le château tout le monde court dans tous les sens. Ce matain je n'ai pu accueillir la reine d'Italie ainsi Acilia et son compagnon mais ce soir je vais présenter les excuses pour mon comportement décevante. Ne pas accueillir ses invités comme il se doit, c'est immonde.

Et comme d'habitude, j'ai encore du travail à faire. Entre signer une paperasse et le nombre de réunion que je subis, c'est lassant. Mais dieu merci, aujourd'hui j'ai juste quelques contrats à signer. Je décide de sortir de mon bureau pour aller me préparer pour cette fameuse fête de Noël. Mon couturier m'a fait une fabuleuse robe bleue nuit, et je n'ai aucun mot à dire. Je remercie sincèrement à mon couturier qui à fait un gros boulot. Mon coiffeur m'attend devant ma chambre et lorsqu'il me voit, il me fait une révérence.

C'est partie pour une deux heures de beauté.

*

Je ne suis pas narcissique mais je suis magnifique dans cette magnifique robe. Une robe longue que j'aime tant avec des manches trois-quart en dentelle avec une petite touche de dorée. La coiffure est splendide : un chignon bien ramassé et mon diadème qui est posé parfaitement. Mon coiffeur est déjà partie depuis une quinzaine de minutes et je regarde une dernière fois mon reflet avant de me chausser des mes escarpins vernis blanc. Quelqu'un toque à la porte et je lui donne autorisation de rentrer. Stefano entre dans ma chambre et premier réaction que j'ai c'est détourné la tête pour qu'il ne voit pas mon visage cramoisi.

- Sei stupenda, me complimente-t-il suivant d'un sifflement d'admiration.

Reste normal Cléo...

- Pourquoi es-tu ici ? je lui demande le dos toujours tourné.

- Les invités t'attendent et aussi le roi... D'Angleterre, marmonne-t-il le dernier mot.

Entre l'Angleterre et Italie, c'est l'amour fou comme nous d'ailleurs. Je déteste l'Angleterre.

- Alors nous pouvons partir, je déclare avant de sortir précipitamment dans ma chambre.

J'ai réussi à jeter quelques coups d'œil sur sa tenue et je le trouve beau dans son costume blanc avec son nœud papillon rouge. Je l'entends m'interpeller et je me retourne vers lui, prête à lui crier dessus mais il me propose son bras. Je fixe longuement son bras avant d'accepter. Je suis sûr qu'il a un sourire d'un enfant qui a eu le cadeau de ses rêves.

- N'essaye pas de tuer ce crétin de Louis, je l'avertis en descendant lentement les escaliers décorés.

- Je ne le mordrai pas... Mais toi soit méfiante avec ce roi, s'il il est là...

- C'est pour me faire un chantage, je le sais. Je souhaite qu'il n'a pas eu l'entrée tel d'un roi, je crache en voyant de loin la salle festive.

- Personne est venu pour l'accueillir. Voir sa face décomposé m'a bien fait marré. S'esclaffe-t-il.

Je lâche un petit rire en me remémorant le visage du roi d'Angleterre ce matin. Je l'ai espionné depuis mon balcon et sa tête m'a bien fait pouffer de rire.

- Si il t'embête, appelle moi, me chuchote Stefano.

- Compte sur moi.

Comme vous le voyez, nos conversations sont sans disputes. Mes échanges de discussions sont mieux qu'avant. Et de jour en jour, je remarque que ma colère pour Stefano se dissipe. J'avoue que c'est un grand effort la part de moi et Stefano doit me remercier en embrassant mes pieds. Mais bien sûr je vais l'interdire d'embrasser mes pieds, c'est crado.

Nous pénétrons dans la salle de festivités sous la vois de Joe qui informe que la future Reine d'Écosse et le prince d'Italie sont arrivé. Tout le monde se retourne vers nous avec un sourire aux lèvres.

La reine d'Italie est la première à m'accueillir dans ses bras.

- Vous êtes splendide Cléophée, me complimente-t-elle en me regardant tendrement.

- Vous de même. Je voudrais m'excuser pour mon comportement inacceptable. Je n'ai pas pu vous accueillir comme il se doit, dis-je, gênée.

- Oh ne t'inquiète pas, voyons. Je te comprends. Tu étais sous le choc par ce tentative de meurtre.

Nous bavardons encore quelques minutes sous les grognements de son fils, puis je m'excuse pour aller voir Acilia habillée en une petite robe rouge évasé accompagné avec son fiancé.

- Votre majesté alias la folle, s'esclaffe Acilia en me prenant dans ses bras.

- Acilia alias la timbrée, je lui rends en rigolant.

Nous nous détachons et un homme vient vers moi pour me dire bonsoir d'un signe de tête.

- Je te présente Enrico mon fiancé. Il à l'air timide de vue mais c'est un psychopathe, dit Acilia en pinçant la joue de son fiancé.

Je vois plutôt une mère entrain de chouchouter son fils que son conjoint. Mais bon, ils aiment se chamailler et ça se voit qu'ils s'aiment juste en les voyant se regarder amoureusement.

- Faites comme chez vous et si vous avez un soucis n'hésitez pas à me voir, je leur avertis avant de m'éclipser.

Je m'apprête à voir mon agent Wallace ainsi sa famille mais je me fais arrêter par une maudite voix.

- Jeanne Stuart ! me crie la roi d'Angleterre.

Tous le monde m'appelle par mon vrai prénom mais il y a toujours un imbécile qui m'appelle Jeanne. D'ailleurs il faut que je commence à accepter ce maudit prénom, car la plupart des personne m'appelle Jeanne. Normalement selon le parlement, je devais m'appeler Jeanne Stuart, héritière du trône d'Écosse mais ma mère aimait bien contourner les lois, c'est pour cela que mon père l'a épousé. Bref, je vais pas faire une longue tirade sur le parlement.

- Louis Windsor, cela me réjouie que vous n'avez pas eu une entrée tel pour un roi important comme vous êtes, dis-je dans une voix fausse ainsi avec un sourire hypocrite.

Il me rend aussi le même sourire et fait un pas vers moi puis son regard tombe sur mon diadème.

- Normalement ma sœur occupait la première place de la succession écossaise mais tant pis, la famille royale voulait nous faire une sacrée surprise, dit-il en me regardant d'un air hautain.

Mais voilà ! Mes parents ont voulus cacher notre existence au famille royale d'Angleterre comme surprise. Après la mort de mes parents, les anglais ont trop criés victoire pour la soit disant succession de la princesse Aline. Bam ! Prenez ça dans votre face. Mes parents n'aimaient pas la famille royale d'Angleterre et donc après leur mort ils ont voulu de leur face une farce. Des vrais gamins mes parents.

- Un sacrée choc en effet. Bref, pourquoi êtes-vous ici ? Parce que voyez-vous, votre présence ici est menacé par les écossais, je réplique en le regardant aussi d'un air hautain.

Il lâche un petit rire en prenant une flûte sur un plateau d'une servante. Il prend ses aises chez moi en plus !

- Je voudrais  en parler demain, profitons de notre Noël. Votre soirée est très spécial, il y a quatre souverains présent dans votre somptueux palais, vous devez vous en réjouir.

Je lui lance un sourire hypocrite avant de tourner le dos et de partir vers Wallace et sa famille. Bien sûr les quatre personnes importantes sont : moi, Stefano, Louis et la reine d'Italie. J'ai pas compris pourquoi a-t-il pas mentionné mes frères et sœur, eux aussi sont des personnes importante.

- J'ai envoyé quelques espions dans la cour d'Angleterre, dans quelques jours ils vont reporter quelques sujets importants, me chuchote Wallace en me faisant une révérence suivit de sa femme et de ses deux filles.

Les deux prochaines espionnes de la famille royal Stuart.

- Mais avez perdu la tête Wallace, si ils nous prend, ils vont me détrôner et mes frères et sœurs ne seront plus sur la liste de succession, je chuchote, effrayée.

- Vous croyez que Louis est venu seul ici, Votre Altesse  ? Derrière vous dans un angle de quatre-vingt-dix degrés il y a un espion du roi Louis, me prévient sa femme tandis je jette un coup d'œil derrière mon épaule gauche.

Oh le conn... le démon !

- Donc il y a d'autres espions anglais dans le palais ? je leur demande.

- Exactement. Mais quelques collèges les surveillent discrètement.

Je lâche un soupir en me massant les tempes. Cet homme est un vrai diable.

- En tout je vous remercie d'avoir accepter mon invitation, je vous invite à vous mettre toujours à table. Je les prévient.

Ils hochent la tête et je pars vers Stefano qui à l'air de s'ennuyer. Quand ses yeux onyx posent sur ma personne, je lui dévoile tout ce que j'ai appris.

- Le roi d'Angleterre veut se venger de cette farce. Mais tes espions aussi doivent êtres vigilants, me chuchote Stefano.

- Ne t'inquiète pas pour ça. Je sais que Louis veut quelques chose et si c'est un bout de mon territoire je refuse directement, je grogne le faisant signe de se lever.

Nous jetons un coup d'œil vers Louis et celui-ci nous sourit de toutes ses dents.

*

Le repas terminer, tout le monde se précipite pour danser sur les chansons douce de l'orchestre que j'ai employé. Stay with me en orchestre passe et tous les couples vont sur la piste de danse pour danser sur cette mélodieuse chanson. Je fixe les couples danser avec un sourire jusqu'à je vois une main se tendre devant moi. Je remonte mon regard jusqu'à la personne avant d'accepter avec joie.

Nous nous mettons au milieu des couples et nous nous laissons emporter par les violons. Nos pas sont précis mais nos regards sont accrochés. Je ne pourrai jamais de m'en lasser de ce regard attendrissant à mon égard, ce regard qui reflète de la passion et de l'amour pour moi.

- Quand vas-tu arrêter de me faire la gueule ? me questionne Stefano me faisant tourner sur moi-même.

- Je ne te fais plus la gueule Stefano et depuis longtemps, je lui réponds en suivant son rythme.

- J'essaye de ne pas te mordre, tu doit être reconnaissant, je m'esclaffe tandis je vois ses lèvres s'étirer en un sourire.

Quand la chanson change, nous changeons de partenaire et je retrouve avec mon petit frère Jack dans ses trois pièces blancs.

Après lui, je me retrouve dans les bras de Louis. Pitié, tout sauf lui !

- Je vous conseille de vous inscrire sur Meetic. Vue que vous n'avez aucune femme et ni héritier, ma fratrie est dans la liste de succession d'anglaise, et mon frère Jasper est en deuxième position, je lui dis en suivant le rythme de la musique.

- La princesse de la Suède veut m'épouser mais vue sa beauté catastrophique, j'ai peur que mes enfants hériteront de ses gènes, souffle-t-il en me faisant retourner et me plaquer contre son torse.

Oula. Mais il est malade ou quoi ? Vu les regards assassins que Stefano lui lance, je préfère de mettre fin à notre danse rapidement avant qu'il y a un meurtre dans quelques minutes.

Maintenant quand l'heure des cadeaux ouvrent, je suis surpris que j'ai une tonne de présents à mon égard. Même Fleche a eu des cadeaux, c'est pour dire...

La reine d'Italie me donne son cadeau et je lui remercie avant de déchirer l'emballage. Des magnifiques boucles d'oreilles en diamant qui doit sûrement coûté plus que dix milles euros. J'allais ouvrir le présent de Acilia mais mon petit frère Jack pousse un cri avant d'ouvrir les baies vitrées et partir dehors.

Eh mince il va encore tomber malade.

Intrigué de son changement de comportement, nous partons aussi à l'extérieur et là... C'est le grand choc ! Des flocons de neiges qui tombe du ciel le jour de Noël ! Magique non ?

On dit que L'Écosse est le pays le plus triste car c'est rare qu'on a le soleil et tout, mais parfois il peut avoir des surprises, comme ce soir. Émerveillé par ce paysage blanc, je ne remarque pas une boule de neige s'atterrir sur mon ventre. Première réaction, tout le monde explose de rire. En plus c'est Stefano qui m'a lancé la boule de neige. Il ne sait pas que je suis la meilleure dans la domaine boule de neiges lui, il va le regretter.

Je me baisse rapidement au sol et fais une boule de neige avant de lancer sur la visage de mon cher fiancé. Celui arrête de rire subitement avant de déclarer haut et fort ' Bataille de boule de neige'.

Nous ressemblons à des vrais gamins.

Je cours jusqu'à les fontaines, épuisée et surtout gelée mais quelqu'un me rattrape par la taille avant de me faire retourner vers lui.

- Niveau endurance, hum... C'est pas trop ça, me moque Stefano en caressant mon visage délicatement.

Ses caresses qui m'ont tant manqués.

- Je porte une robe débile, je me défends tandis qu'il louche sur mes lèvres.

Un silence s'abat entre nous et seul nos respirations nous réchauffent le visage. Je peux plus lutter, il me manque trop. C'est dans un élan, je pose mes lèvres sur ses lèvres et là, c'est mon cœur qui danse la zumba.

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