🔷️Chapitre 15
Pdv Cléo
Les rendez-vous s'enchaînent, les jours s'enchaînent auprès de Stefano. Des journaux inventent une histoire sur ma personne. Et puis, il y a moi qui n'arrête pas de me plaindre parce que mes pauvres pieds me réclament de me reposer et aussi de dormir.
De jour en jour tout le monde veut savoir qui suis-je. Qui est la fiancée de prince d'Italie ?L'Écosse me réclame et mon frère m'a bien dit qu'il sera bientôt impossible d'atténuer la curiosité des écossais. Maudite vie.
Normalement, je vais repartir en Écosse après nos rendez-vous en Grèce. Seule moi peux arrêter le brouhaha en Écosse. Ah oui, il faut que je prépare un discours. Parce que parler devant des caméras où tout le monde entier veut me voir, je peux vous dire que c'est angoissant.
- Je te dis Cléo ! Une personne qui sortait de la ville a pénétré dans le château pour nous demander une photo ! Me dit Lia.
- Et ensuite vous avez fait quoi ? Je lui demande, inquiète.
- On lui a laissé rentré chez lui. Nous allons pas mettre un gamin au cachot, comprends-tu ?
Oui, je ferais de même. Mais entendre qu'un gosse qui s'est introduit au palais, me rassure pas du tout.
- Rajoute deux gardes devant la porte de Jack et de Aloyca. Je te laisse, j'ai une réunion. Dis-je avant de raccrocher.
Je pose ma tête contre le vitre et je sens un corps collé contre le mien.
Il ne tient pas à sa vie ma parole !
- Je me pose la question si tu n'es pas en manque d'amour. Je rétorque en le poussant sur le côté.
- Il fait froid et tu as déclinée ma veste. Je vais pas te laisser tomber malade. Dit-il en soupirant.
J'ai oublié mon manteau à la chambre d'hôtel et je me maudit car il fait nuit et cerise sur le gâteau, il fait froid. Je regrette d'avoir oublié mon manteau. Mais vraiment.
- Je n'ai pas froid et pousse toi ! Je commence à avoir chaud ! Grogné-je.
Il décide de retourner à sa place en soupirant.
- Après ne viens pas me voir quand tu seras malade. Dit-il froidement.
- D'accord. Je peux bien m'occuper seule. Je n'ai pas besoin de toi. Je réplique sèchement en sentant la voiture s'arrêter.
Je me précipite à sortir dans celle-ci et la nuit glaciale me fait transir. Je lève la tête vers le ciel et remarque que la lune est pleine ce soir. C'est un miracle qu'il a pas de paparazzis. Sûrement grâce au roi grec...
Les portes s'ouvrent et je m'epresse de rentrer à l'intérieur pour chercher la chaleur.
Stefano me rejoint quelques secondes plus tard.
- Je vais voir quelques personnes importante. Attends moi ici. Dit-il froidement avant de disparaître derrière un mur.
Moi, rester ici à t'attendre ? La bonne blague. Je crois qu'il n'a pas compris que je ne suis pas son toutou puis je crois besoin d'aller aux toilettes.
C'est en regardant de droite à gauche qur je m'enfuis vers les toilettes. Il a oublié de mettre des gardes à mes trousses. Quel crétin !
Je trouve enfin les toilettes et je fais vite fait mes besoins avant de me rincer les mains et sortir.
Je décide de me promener un peu pour un seul but : Énerver le prince d'Italie. Embêter le prince est devenu une des mes activités que j'adhère. Je me mets soudainement à rougir en repensant l'autre jour où il m'a découvert dans une petite tenue dans la cuisine et surtout entrain de danser comme une cinglée. C'était un moment extrêmement gênant et je voudrais bien l'effacer dans ma mémoire. Oh que oui !
Toujours en explorant la bâtisse j'entends de loin des voix et curieuse, je m'oriente vers ces sons. Je m'arrête dernière un mur et je me penche légèrement ma tête pour fixer le couloir.
- La fiancée du prince est dans ce secteur. J'ai entendu qu'elle a des cheveux châtain foncés et des yeux bleus. Un bleu glacial. Dit un photographe à ses amis.
Je lève ma tête surpris et me recule lentement. Il faut que je sors ici discrètement sinon je serai aveugler par les flashs. Mon dos se heurte contre quelque chose de rond et cette chose tombe parterre dans un grand fracas. Discrétion raté !
Je me retourne vivement et regarde la table et la vase brisé au sol.
- C'est elle ! Crie une voix derrière moi.
Je sursaute et me retourne vers les photographes. Même pas en une seconde, une lumière blanche se projette dans mes yeux. Je mets Instantanément mes mains sur mes yeux puis cours dans l'autre direction.
- On a besoin des photos d'elle ! Le patron les veut ! Crie un homme en courant derrière moi suivit de ses acolytes.
Mince je suis bête ! Il fallait que j'écoutais Stefano. Mais moi comme une grosse tête de mule, j'ai décidé de faire ma rebelle. Vraiment bête !
Je cours le mieux que je peux avec ses talons en hurlant avec ces photographes ne cessent de me prendre en photo.
Mais avec ma lenteur d'escargot, ils me rattrapent facilement et me prennent en photo en tendant leurs appareils photos, limite devant mon nez.
- Madame pouvez-vous nous dire comment avez-vous rencontrée monsieur Marchetti ? Me demande un homme en mettant un micro devant ma bouche.
- Je n'ai rien à dire ! Laissez-moi ! Crié-je folle de rage en essayant de m'effrayer un chemin.
J'entends tout à coup d'autre pas se précipiter vers nous ainsi des cris hystérique et je pousse les hommes pour continuer à m'enfuir à ces cannibales. Cannibales ? Je crois que je m'égare.
Je tourne ma tête légèrement sur mon épaules et vois un tsunami d'humains armés de caméras, d'appareils photos et d'une feuille ainsi un stylo.
Mon dieu ! Je n'ai pas envie de mourir dans cette circonstance ! Je préférerais mourir dans une vrai tsunami.
Je slalome les couloirs en respirant fort et j'ouvre une porte sur ma droite avant de m'enfermer à l'intérieur. J'entends les pas s'arrêter devant la porte et je prends la première chose qui me vient sous la main. Un balai. Bon, un balai peut me servir à taper ces fous. Je regrette d'avoir porter des talons aujourd'hui, mon pied me fait mal légèrement. Quand le poignet de la porte se baisse, je mets mon soit disant arme devant moi comme un bouclier. Je déglutis et une foule se précipite dans la petite pièce et me mettent des feuilles sous mon nez. Je crois en recevoir des stylos et crayons volant sur mon front.
Mon balai s'échappe de ma main et je prépare mes mains pour ensuite gifler les joues des personnes en essayant me faire un chemin.
- Autographe ! Crie un homme.
- Moi pas comprendre ! Lancé-je en sentant une main râler sur ma robe noire.
Directement j'assène la personne d'une gifle quand j'entends les clics des appareils photos ainsi leurs flashs. Je me fige en me maudissant sur moi-même. Mon dieu s'ils postent cette photo de moi entrain de gifler un homme, je serai morte.
- Lâchez ma robe bon sang ! Crié-je en tenant l'autre bout de ma robe.
- Je veux un autographe ! Crie l'homme qui tient ma robe.
Mais moi, je ne veux pas signer votre satané feuille ! Je regrette d'avoir venu ici. Mais quelle conne !
La robe se met à déchirer et je perds l'équilibre avant de m'écrouler au sol.
Mon dieu la honte ! La robe déchirée et moi entrain manger le sol... J'ai envie de m'enterrer vif en ce moment. La honte !
Les personnes se précipitent vers moi et je croyais qu'ils allaient venir m'aider. Mais non, ils me tendent toujours leurs micros devant moi ainsi des feuilles.
Je recule vers un mur et ces personnes s'avancent toujours vers moi.
Soudain nous entendons une voix surgir et les feuilles, stylos et micros se retrouvent parterre.
Seul un homme peut faire peur les autres ainsi.
Stefano.
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Un chapitre pour aujourd'hui !
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Bon j'ai que instagram mais on fera avec hein.
Mon pseudo : Shawncameron3
Sur ce compte vous allez retrouvez des photos, des informations sur mes futures histoires et chapitre. Bref en gros, mes délires !
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Bonne lectuuure ❤❤
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