# Mystère et fête enflammée !

HAHA ET NON ! SURPRISE ! CECI N'EST PAS UN CHAPITRE ! :)

Ahhhh, vraiment désolée si je vous ai fait une fausse joie. Je sais que le confinement est déjà suffisamment difficile comme ça pour certains, alors en plus si le prochain chapitre de votre fanfic préférée met du temps à sortir...! (oui oui, je parle de ma fic 😏 quoi, comment ça je dois redescendre d'un niveau dans mon estime ? d'accord 😑).

Je voulais surtout m'assurer que vous étiez toujours vivants, et également vous faire savoir que moi je le suis toujours ! (nan mais juste au cas où y en a qui auraient eu des doutes 🙃).
Donc voilà, I'm still standing (yeah yeah yeah !)

Le prochain chapitre est en cours de rédaction, je suis surtout à la recherche d'idées (et de conneries ! Héhéhé !).
Il y aura également quelques modifications à venir, m'enfin bon, j'vous en dis pas plus, vous verrez bien 😉

En attendant, voilà un petit hors-série pour faire passer le temps :)
Si vous avez des idées pour les prochains hors-séries (parce que oui, y en aura 😁) , et bah n'hésitez pas à proposer vos idées !

Bonne lecture, et love on you ! ❤️

« Tout le monde se tenait sur le bord du lac, les images de ce qui venait de se passer tourbillonnant encore dans leurs têtes. Face à eux, Poudlard était en flamme. Un silence presque religieux planait, et ce fut McGonagall qui le brisa la première.

-Comment en est-on arrivé là ? lâcha-t-elle dans un soupir.

-Je... commença Alice. Je crois que l'on n'était tout simplement pas prêt...

-Mais comment aurions-nous pu nous préparer à ça ?

※-※-※ PLUS TÔT CE JOUR-LÀ ※-※-※

L'heure était à l'urgence ! Tout le monde s'était réuni dans la salle sur demande pour une réunion de crise, sous la directive d'Alice. Un tableau à craie avait été installé, sur lequel la jeune fille avait représenté dans les moindres détails le plan de combat. Maintenant debout face à l'assemblée de personnages (que par miracle elle avait réussi à tous rassembler), elle frappa violemment du poing sur la table :

-Non, je refuse ! Pas question de l'abandonner ! On va le faire, on va réussir, et vous savez pourquoi ? Parce qu'on est tous ensemble ! Et qu'ensemble on est plus fort !

Tout le monde applaudit avec force face à ce discours plein de fougue, excepté Ron qui se pencha vers Hermione pour lui chuchoter :

-Pourquoi on est là déjà ?

-RONALD ! TU ÉCOUTES ! s'égosilla Alice.

Puis, armée d'une craie, elle la lança violemment sur le jeune rouquin, qui se la prit en pleine poire.

-Aïïïïeuh !

-TU TE TAIS, TU ARRÊTE DE TE PLAINDRE. RAPPELLE MOI POURQUOI ON EST LÀ DÉJÀ !

-Je... Je saaaaiiiis pluuuuuus ! se mit il à chouiner lamentablement

-MAIS C'EST PAS VRAI ! DITES MOI QUE C'EST PAS VRAI ! COMMENT AS-TU PU OUBLIER ?! HONTE À TOI !!!

Alice s'empara d'une poignée de craies qui traînaient sur la table et les lança sur Ron façon mitraillette en hurlant :

-QUE SE PASSE-T-IL AUJOURD'HUI ?!

-Aïeuh mais ! J'en sais rien moi ! Baaaahhhh... Y a des brocolis à la cantine ?

Alice serra les dents de rage et lui balança la boîte entière de craies à la tronche.

-TAIS TOI, TU FAIS BAISSER LE QI DE TOUTE LA PIÈCE !

Puis, se recoiffant, elle se tourna vers le reste de l'assemblée pour reprendre d'une voix calme et grave :

-Bon écoutez moi tous bien : Nous sommes en guerre. Et cette guerre nous allons la gagner !

Elle montra le tableau noir recouvert de notes et de schémas derrière elle :

-Bon, voilà le plan. Chacun sait ce qu'il a à faire ?

Tous acquiescèrent en même temps.

-Bien, alors ON Y VA ! GO GO GO !

Tout le monde se leva en vitesse et partit au pas de course à son poste, craignant la colère de celle qui avait imposé son "totalitalice" (jeu de mot, hahaha).

Les professeurs se regroupèrent tous près de la porte, baguettes en main. Les élèves se dispersèrent dans la pièce, courant tels des poulets dans une basse-cour. Et ça se bousculait, ça trébuchait à tout va, ça faisait la brouette pour aller plus vite, ça sautait à cloche-pied pour réduire de moitié la probabilité de se faire écraser le petit doigt de pied, ...

- ALLEZ ON SE BOUGE LES FESSES ! RONALD, ICI ! HARRY, LÀ-BAS ! ON SE MAAAAAAGNE !

Tandis qu'Alice hurlait ses ordres dans tous les sens, Dumbledore s'approcha discrètement d'elle :

- Alice, pardonne moi mais mes collaborateurs et moi-même sommes indécis. Devons nous tirer ?

- Mais c'est pas vrai, combien de fois y faut vous le répéter ?! Vous attendez mon signal !

- Et quel est-il, ton signal, déjà ?

- Gneugneugneu, 'Alice, quel est-il ton signal ?'. Pour la trentième fois : c'est quand je frappe dans mes mains !

-Tout à fait...

Puis il repartit vers ses collègues en leur hurlant :

-C'EST QUAND ELLE FRAPPE DANS SES MAINS !

Puis un silence pesant commença à s'installer. Tous étaient à leur poste, prêts à agir au moindre signal. Et dans cet immense calme, tout le monde attendait, leur adrénaline débordante de ne pas pouvoir s'exprimer.

-MAIS QU'EST-CE QU'ON ATTEND PAR MERLIN ?!

Alice, craie en main, la balança sur le tableau qui venait de parler.

-MAAAAAIIIIIIIS EEEEUUUUH ! s'indigna Eilya.

-CHHHUUUUUUTTTTT !

Elle soupira, puis reprit en chuchotant :

-Qu'est-ce qu'on attend par Merlin ?!

-On attend qu'elle arrive.

Le silence reprit, seulement perturber par le bourdonnement d'un moucheron qui tournait autour d'Alice. La jeune fille commença à essayer de le chasser de la main, mais chaque fois il revenait à la charge. Dans un grognement d'agacement, Alice secoua les bras dans tous les sens, tentant de faire des prises de karaté dans le vide. Tous les autres la regardaient avec attention, leurs mains serrées sur leurs baguettes. Ce que personne ne remarqua, c'est que la porte venait de s'entrouvrir, laissant apparaître une jeune femme qui regarda avec attention l'étrange spectacle qui se déroulait devant elle.

Alice, qui avait décidé de changer de tactique, avait arrêté de bouger et au moment où le moucheron démoniaque passa devant elle : PAF ! Elle l'écrasa violemment entre ses mains. Bon débarras !

Dumbledore se tourna vers les autres professeurs :

-C'est le signal . Tirez !

Tous d'un même mouvement lancèrent des sorts en direction du plafond, faisant pleuvoir paillettes, confettis et tortillons.

Alice se tourna violemment vers eux :

-MAIS NON ! QU'EST CE QUE VOUS FAITES ?! PAS MAINTENANT !

-Mais... Tu as frappé dans tes mains... dit McGonagall.

-Et même que du coup, moi, clac, j'ai lancé les confettis, ajouta Dumbledore.

-Quoi ?! Mais pas du tout ! se défendit Alice, se mettant à frapper frénétiquement dans ses mains. Vous voyez ?! Ça c'est frapper dans ses mains !

Un peu plus loin, Crabbe et Goyle se regardèrent :

-C'est le signal, ça ?

Et Tonks leur cria :

-BIEN SÛR QUE OUI C'EST LE SIGNAL, BANDE DE CRÉTINS ! C'EST PARTI ! LANCEZ LA MUSICA !

Les deux serpentards appuyèrent sur le bouton play du lecteur CD, faisant résonner du bon gros rap allemand dans toute la pièce.

Alice se tourna à ce moment précis vers la porte et reconnut tout de suite la personne qui se tenait là : c'était son invitée. C'était l'auteure. L'organisatrice jeta un regard paniqué autour d'elle, se rendant compte que la surprise était gâchée.

Un peu plus loin, Neville, qui voyait Alice tourner la tête dans tous les sens, se dit que ce devait être le signal. Des dizaines de danseurs brésiliens débarquèrent de nul part, torses nus, et commencèrent à se trémousser, leurs jupes en plumes vertes frétillant au rythme de la musique.

Alice accourut, faisant de grands gestes de bras pour les faire partir, puis elle s'arrêta subitement. Elle rêvait ou... c'était Lockhart, là au milieu des danseurs ?!

De son côté, Ron, qui venait de voir Alice faire de grands signes, se pencha vers Hermione :

-Ça doit être le signal.

Et la jeune sorcière lança un sort, faisant apparaître des banderoles portant les inscriptions "HAPPY BIRTHDAY !".

Alice se tourna vers elle, s'arrachant à moitié les cheveux :

-TROP TÔT ! TROP TÔT !

Puis elle courut droit sur Hermione et commença à la secouer en continuant de hurler :

-C'EST TROP TÔT ! TROP ! TÔT ! TROTOOOOO !

De l'autre côté de la salle, Drago se tourna vers Harry :

-Euh... C'est le signal ?

-Je sais pas... On dirait. On y va ?

-Allez.

Puis les deux sorciers tirèrent sur d'immenses cordes pour hisser la piñata géante en forme de cornichon au milieu de la salle.

Alice, qui commençait à perdre la tête face à ce trop grand bordel, se mit à rire comme une folle, se penchant d'avant en arrière, les bras resserrés contre sa poitrine.

Non loin de là, Hagrid la regarda un moment, se demandant si c'était le signal. Finalement il se dit que oui et ouvrit l'immense cage qui se tenait à côté de lui, provoquant un splendide lâché de colombes qui s'envolèrent dans tous les sens dans des cris stridents.

Alice regarda d'un air dépité la jeune femme qui se tenait devant la porte, et, tout en se disant que ce bordel était irrécupérable, elle haussa les épaules.

De l'autre côté de la salle, le portrait d'Eilya se tourna vers Rémus :

-Allez bébé ! Elle a baissé les épaules, c'est le signal ! Fais péter !

Aidé par Sirius, les deux sorciers lancèrent des sorts, faisant éclater une multitude de feux d'artifices. Tout se passait à peu près bien jusqu'à ce que les colombes prennent feu, enflammant ainsi les cordes qui retenaient la piñata qui s'écrasa au sol, révélant Rogue à l'intérieur, déguisé en poupée Barbie, ses cheveux d'un blond platine relevés en deux petites couettes, rouge à lèvre et petite robe à froufrous rose bonbon.

Alice tomba à genoux, les larmes aux yeux et se mit à pleurer. Tout était gâché...

Chourave et Trelawney se regardèrent :

-C'est le signal ?

-Les ondes cosmiques m'informent que oui.

Puis des centaines de ballons multicolores tombèrent du plafond sur une Alice en pleurs. L'ambiance était décidément au top...!

L'auteure, qui s'était jusque-là contentée de regarder la dégringolade des événements, s'avança doucement vers la jeune fille qui lui souffla entre deux sanglots :

-Tout est raté...

Elle jeta un regard à la salle : des confettis volaient dans tous les sens, des danseurs brésiliens torses nus, dont Lockhart qui n'avait rien à faire là, se déhanchaient sur du rap allemand devant une McGonagall tiraillée entre l'indignation et le spectacle plaisant qui se jouait sous ses yeux. Rogue, déguisé en poupée géante, courrait après les jumeaux Weasley pour leur faire payer cette humiliation, renversant au passage les danseurs qui tombèrent tous les uns sur les autres tels des dominos et prirent feu. Pour agrémenter tout ce joyeux bordel, des dizaines d'oiseaux enflammés menaient des opérations kamikazes, fonçant tantôt sur les murs tantôt sur les gens dans des bruits d'avions et des explosions spectaculaires.

Tout avait foiré.
Tout était gâché.
Et tout était sa faute.
Elle avait juste voulu bien faire, et voilà le résultat.
La fête était ratée.
Elle gâchait vraiment toujours tout...

Une main se posa sur son épaule :

-C'est le plus beau spectacle auquel j'ai assisté !

Alice releva des yeux embués de larmes, un immense sourire aux lèvres :

-Tu le penses vraiment ?

-Oh que oui, c'est de loin la meilleure fête d'anniversaire qu'on n'ai jamais vu !

Puis l'auteure s'accroupit et enlaça tendrement son personnage.

Dans un coin de la salle, tous les autres se regardèrent :

-... C'est le signal ?

-Probablement.

-Alors c'est parti pour LE GRAND FINAL !

Alice, alarmée, se dégagea en vitesse de l'étreinte et sauta sur ses pieds en hurlant à pleins poumons :

-NOOOOOOON !

Trop tard.
Dans une énorme explosion badass, Rusard apparut, vêtu d'un string à paillettes rose fluorescent, et miss Teigne, teinte des pattes à la tête en argenté.

-NOOOOOON ! ARRÊTEZ ! ON ARRÊTE TOUT !

Dumbledore, pensant que c'était le signal, la regarda malicieusement en lui faisant un clin d'œil :

-Mais ouiiiiii, on arrête tooouuut...

Puis, dans un mouvement de tête, il indiqua à Flitwick que c'était à lui de jouer. Le professeur, armé de sa baguette, lança un Leviosa sur Miss Teigne qui s'éleva dans les airs en tourbillonnant. Puis toutes les lumières s'éteignirent, excepté un immense faisceau multicolore braqué sur la chatte, la transformant en véritable boule à facette.

Alice se prit la tête dans les mains :

-Bordel, bordel, bordel, bordel, ....

Puis l'auteure s'approcha d'elle et posa à nouveau une main sur son épaule pour la calmer :

-Ne t'inquiète pas, tout va bien. Allez, détends toi un peu et viens danser !

Et les deux jeunes femmes se dirigèrent sur le dancefloor aménagé sous Miss Teigne la boule à facette. Ainsi débuta la fête du siècle !

Tout le monde riait et dansait, Dumbledore secouant la tête comme un rocker en agitant sa longue barbe dans tous les sens. Rusard, dont le sublime slip brillait dans le noir, secouait du popotin tandis que les danseurs brésiliens avaient entamé la construction d'une pyramide humaine, avec Lockhart au sommet hurlant qu'il "était trop beau pour se mêler à la plèbe". Enfin bref, c'était une fiesta comme on n'en avait jamais vu à Poudlard. Des lumières jaillissaient de toutes les fenêtres du château, et la musique faisait trembler les murs au point que même le troll dans les cachots allait de sa petite danse du ventre.

Puis soudain, quelqu'un s'écria :

-Eh, vous savez quoi ? C'est l'heure du gâteau !

La foule répondit en cœur, les bras levés :

-OUUUUAAAAAIIIIIIIS ! Le gâteau ! Le gâteau !

Un immense gâteau apparut, avec inscrit dessus "À notre chevalière de la débilité préférée ! ".

Alice s'écria alors :

-Vas-y Seamus, à toi de jouer !

-.... Euh..... C'est le signal ?....

-Oui grande asperge ! Pour une fois, c'est VRAIMENT le signal !

La jeune fille était surexcitée et riait à gorge déployée, emportée par l'ambiance festive qui régnait dans la salle. L'auteure s'approcha discrètement d'elle et lui glissa à l'oreille :

-Une minute... Je rêve ou c'est Seamus qui allume les bougies ?

-Oh, ouais il s'est proposé.

Les deux jeunes femmes se regardèrent un moment, prenant peu à peu conscience de la situation. Puis, dans un même move, elles se précipitèrent en s'époumonant :

-SEAMUS ! NOOON !

※-※-※

Tout le monde se tenait sur le bord du lac, les images de ce qui venait de se passer tourbillonnant encore dans leurs têtes. Face à eux, Poudlard était en flamme. Un silence presque religieux planait, et ce fut McGonagall qui le brisa la première.

-Comment en est-on arrivé là ? lâcha-t-elle dans un soupir.

-Je... commença Alice. Je crois que l'on n'était tout simplement pas prêts...

-En même temps, comment aurions-nous pu nous préparer à ça ?

La jeune fille regarda l'ensemble des personnages, élèves, professeurs et autres :

-Je propose qu'on n'en parle plus jamais...

Tous lui répondirent par un regard entendu, puis reportèrent leur attention sur l'école à moitié détruite que les flammes dévoraient.

-N'empêche, si t'avais été plus claire avec tes signaux, aussi... maugréa Ron.

Et Alice lui sauta dessus pour lui faire bouffer ses craies. »

Je laisse à votre intelligence supérieure de deviner la raison qui me pousse à publier ce chapitre aujourd'hui particulièrement 😏

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