Laisser sa plume parler
Devant elle, il ne pouvait mentir, il a avouer qu'une autre, de son corps, avait à sa place, eue à le salir.
Devant elle, agonisant, vomissant du sang, il était sur le point de mourir, sa maladie prennait raison de lui.
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J'ai fait un rêve tu m'as laissé
Je me suis réveillé mort de peur
Parce que je n'aurai plus rien si tu pars.
J'ai fait un rêve que tu as laissé
Je me suis réveillé mort de peur
Parce que je ne serais plus rien, si tu me quittes.
Tu es mon tout.
Mon cœur mit aux enchères
Je l'ai vendu sans pitié
Elle l'a acheter gratuitement.
Ils appartiennent aux réseaux sociaux
Moi je ne partage ma vie avec eux, veux partager ce qui coule dans mes veines, avec celle qui en vaut vraiment la peine.
Pourtant j'ai triché, pas plus d'une fois, je risque continuer mais je veux arrêter, elle a fait de moi un homme.
Le pardon est trop difficile, mais facile chez cette femme, envers moi, elle m'a suivi.
Cet amour est trop beau pour être vrai, mais je l'accompagnerai jusqu'à la fin.
Je sais que Dieu m'enlevera, les anges m'attacherons dans leurs chaînes de liberté, lucifer tentera toutefois de me sauver contre moi même.
Les instants d'amitiés oubliées pour la solitude, ma seule vraie amie, la seule qui comprend mes larmes séchées sur ce faux sourire que je sais si bien faire. Le mensonge est ancré dans mes paroles paraissant si vraies.
Cette énergie quand elle m'embrasse, quand elle me sert dans ses bras, je me sens vivant comme autrefois, telle une ancienne vie sur paradis. Je me sens si libre au côté de cet être humain.
J'ai arrêté d'être morose, j'ai choisi pour fiancée la colère, je ne compte pas me marier avec elle mais je sais que je l'aimerais toute ma vie, je tuerais pour être enfin seul. Je tuerais pour être enfin le meilleur, j'aime mon égoïsme, je déteste tellement ce que je suis.
Les corbeaux et les Colombes se battent pour m'avoir, mais j'observe ce gentil vautour, son regard me dit qu'il a déjà gagner. Ma tristesse se dessine sur mes lèvres joyeuses.
Un jour, sur le coucher du soleil, un soir, je serai là, avec ma demeure, je vais scruter l'horizon et je verrai enfin cette fameuse plume, alors elle aura parler, lorsqu'elle sera tombée. Je serai prêt à tout à ce moment.
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Elle a voulue partir, mais il l'a laissée, laisser voir, il l'a supplia qu'il ne refera plus jamais cela.
Fidèle, il est à sa plume.
Elle le soigna, avec le parfum oxygéné de ses cheveux, elle le sauva la vie. Il respira à nouveau.
Comme s'il venait de naître à nouveau.
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