Hayati
_Précédemment dans QDNP_
Devant elle, il ne pouvait mentir, il a avouer qu'une autre, de son corps, avait à sa place, eue à le salir.
Devant elle, agonisant, vomissant du sang, il était sur le point de mourir, sa maladie prennait raison de lui.
Elle a voulue partir, mais il l'a laissée, laisser voir, il l'a supplia qu'il ne refera plus jamais cela.
Fidèle, il est à sa plume.
Elle le soigna, avec le parfum oxygéné de ses cheveux, elle lui sauva la vie. Il respira à nouveau.
Comme s'il venait de naître à nouveau.
***
Akhenaton se réveilla une nouvelle fois, dans un lit de sable, toujours tout près de sa reine.
***
Elle sait se vêtir de vice,
Son regard dit d'agir,
Pourtant sa voix n'ose sortir,
Les dents mordillent ses lèvres,
Elle veut voir un ciel bleu mais résiste à la tentation des doigts,
Il a brisé son mur et non sa virginité,
Son corps en vision thermique,
Haute chaleur dans la pièce climatisée
Il a trouvé en elle, sa drogue féminine.
Même si l'on bandait ses yeux, il reconnaitrai toujours son toucher entre milles,
Pour une nuit seulement, il sera son salaud et elle sa salope
Le lendemain n'aura pas besoin d'eux pour se poursuivre,
C'est son corps qu'il voudrait suivre,
Dieu fût créatif quand il l'a fabriqué.
Tous ses défauts et qualités forment une symbiose qui ne retient pas son érection.
On finit tous par mourir,
Pourquoi devraient-ils patienter pour finaliser l'action ?
L'observer avec violence, la violer avec douceur, violet sur son cou familier.
Il pourrait l'aimer sans maquillage, sans coiffure, sans faux-ongles, sans sous vêtements,
Elle n'est pas différente des autres, elle est incomparable.
Mensonges sur des draps blancs, se réveiller mort de froid sans la fleur qu'il aurait tant voulu voir pousser,
L'art de faire couler la sueur,
l'art de regarder sans rien dire mais tout comprendre,
l'art de descendre sur elle,
Et elle, de remonter sur lui,
L'art de coucher sans dormir.
Petit pont entre sex et romance, odeur de gorge profonde, doigts recouverts de cyprine, langue trempée à chaud sur une peau glacée.
Les hommes parlent de putes, lui, il parle de sa salomé.
Lorsque qu'un homme a goûté à plusieurs parfums, il sait reconnaître les meilleurs,
Il connaît celui qu'il ne saurait se lasser,
Il a goûter à ce qui aurait dû être interdit.
Son coeur bat pour elle, mais il bat plus quand elle le chevauche.
Caresses, baisers sur front, tapettes, suçons, pipette mais sans de "-tte" à la fin.
Deux corps qui reconnaissent leurs faims.
Ce n'est pas pour rien qu'ils se sont tout donner.
Ce n'est pas pour rien s'ils sont des âmes-soeur perverses.
Ce n'est pas pour rien qu'il y'a eu cette rencontre un vingt-et-un.
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"Laisse moi le temps de mieux apprécier ton âme"
Akhenaton observa au loin, un corps dessinée par les étoiles, des cheveux rappelant la beauté de l'Afrique, lorsqu'elle se retourna...
Hayati fit mine de sourire.
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