Toutes mes salutations êtres humains, je suis une entité que même avec des explications, vous ne pourriez pas m'avoir dans votre vision.

Je vais vous montrer l'histoire d'un personnage qui m'intéresse bien pour une fois. Il s'agit d'un jeune homme malade dont je tairai le nom.

La question n'est pas de quelle maladie, mais de comment la soigner.

Suivez attentivement ses paroles. Pourriez vous réellement comprendre ?

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Comme un chien
Tu m'a mis la chaîne au cou
À toi, j'appartiendrai pour toujours.

Ton corps est une réelle tendresse, tu me fait du bien et du mal comme l'ivresse. Tes mains sont l'origine de mes maux de tête.

Tel mon amour dans ton coeur,
j'graverais mon nom sur ta peau, j'arracherais mes yeux pour te les donner, pour que tu puisse assurer nos avants et arrières.

Tu m'a empoisonné avec le flacon de ton amour, j'ai su ce que c'était mais je l'ai bu. Je suis tombé sur le coup.

À chaque fois que je te vois et que je parle avec toi, je t'aime encore plus. Mais quand tu n'es plus là, ô seigneur comme je déteste cet enfant qui a arraché mon cœur à pleine dent.

Est-ce que tu assumera tout ce qui s'est passé ? Muet comme le futur, je ne demande qu'à voir.

Dit moi, qu'est ce que le bien-être, quand une fois dans le mal on se fait avoir ?

Pas de soleil, pas de lune
Juste nos lèvres tremblantes et hésitantes du premier pas. De peur de se blesser.

Je me réveille jamais à tes côtés, mon rêve est de mettre fin à ce cauchemar du quotidien, je te veux dans mon lit même si on y fait rien.

Ton parfum colonisateur de mon odorat, c'est un scandale ! Je te fusillerais un million de fois avec le mien.

C'est en ne faisant rien que tu m'a tout montrer, es-tu la réincarnation de Néfertiti ? Cela m'énerve de penser qu'une personne a sue me dompter, moi qui suit un lion indomptable, le vert, rouge et jaune, j'aime.

Je te conjure, sauve-moi de mes pires cauchemars. Chaque jour je meurs de chagrin et de solitude. Ne laisse pas mes démons anéantir le peu d'humanité qui me reste.

À chaque fois que tu croise mon regard, est-ce que tu me vois encore ?

Les portes de mon coeur étaient fermées, avec la clé de ma mère. Cerbère le chien des enfers surveillait que personne n'y pénetre. Mais toi, regard à moitié ouvert, tu a tout détruit, tu a tout chamboulé dans ma vie, un grand désordre qui devait avoir lieu, tu m'a attaqué mais toi même tu ne le savais pas, tu ne le voulais pas, cela ne te disais rien, tu m'énervais tellement. Peut-être tu n'a jamais sue que tu te trouvais dans les abysses.

Ô toi destructrice des coeurs.

Ma maladie, mon médicament,
commencent dans ton nom. Étouffe-moi de ton regard, je ne veux que respirer en toi.

Je ne peux plus passer une journée sans chercher quelque-chose qui te ressemble, qui me rappelle tes sales habitudes. Tu a vidé mon sang, ma raison, tu t'es placée au milieu de mon monde.

Pour toi, sans sentiment, j'ai tué sans demander pardon, ai-je pas raison ? Mais je suis pas en tord.

Ton pays est recouvert de beaux lieux étranges que je voudrais découvrir. Tu es mon début et ma fin de voyage.

Telle une impérialiste tu a pillé mes ressources, je t'ai laissé faire, j'étais horrifié par ton courage et ton calme à le faire, tu es une vraie tarée, je suis un fou conscient. Je vois en toi ma famille, je te veux pour la vie, pour la mort.

Même le plus beau des cadeaux ne vaut pas ton nom. Je te donnerai même ce que je n'ai pas, ne soit pas une femme comme les autres, soit la mienne.

C'est en croisant ton regard que je me rends que je n'ai jamais aimer avant toi.

Je suis fébrile, mais je pourrais te définir l'amour en disant que : c'est ce que je ressens pour toi.

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Après ces douces paroles, il se réveille dans une pièce de théâtre, mais de quelle pièce s'agit-il ? Vous avez peut-être la réponse, comme vous ne pourrez pas l'avoir.
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