chapitre 9

Olympia

À mon réveil, j'ai chaud même très chaud, ces alors que me souviens de la nuit que viens de passer avec mon mari, je baisse les yeux et vois Dario qui dort paisiblement sa tête sur ma poitrine.

Je lui caresse délicatement les cheveux puis le visage pour le réveiller tendrement, sa marche car je le sans bouge un peut, puis il lève la tête

—Bonjour mon cœur, tu a bien dormir ma puce ?

— Oui, comme un bébé, je n'ai pas l'habitude de dormir avec un homme, mais ça va tu n'as pas trop ronflé

J'espère qu'il ne prendra pas son mal car ce n'est que de l'humour, puis je ces pas trop pourquoi j'aime le charrier comme sa !

—Je crois que ma merveilleuse femme est encore endormie pour me dire ça, me je vais vite remisier a sa.

Je me demande bien se qu'il prépare, juste ces mot réveille ma libido, mais lui avez un tout autre idée.

Il me prend sur son épaule comme si j'était un vulgaire sac a patate et m'amène dans la salle de bain, il me dépose dans la douche à l'italien et allume l'eaux, bien sûr l'eau froide pour se venger de ce que je viens de lui dire, ces fout on dirais de gamin !

—Dario, arrête-tu as gagné ! Je me rends !

— Oui ma chérie, j'ai gagné et à ce genre de petit jeu je gagne toujours ! Mais entre toi et moi il n'y aura jamais vraiment de gagnent et de perdant.

Il rentre son tour dans la douche, change la température de l'eau et se retourne vers moi, se qui me permet de fantasmer sur le corps de dieux grecque de mon mari !

Lui non plus n'est en reste il me regarde en se léchant la lèvre, il pousse cotre le mur froid de la douche, me soulève et instinctivement je passe mais jambe dans son dos, pour maintenir cette position.

Sa me permet de sentir comme il a envie de moi, et je peux dire qu'il a très très envie on dirait qu'il et prés à exploser.

— Tu sens comment je te désir ma belle, j'ai tellement envie de toi que sa me fait mal

—Oui, Dario, moi aussi je te désir !

— J'ai envie de te prend là, ici maintenant, mais je risque d'être brusque tellement je veux être en toi

— prend moi Dario !

Ma phrase finie, il me pénètre avec un puissant coup de rien se qui me fit gémir, cette homme peut être doux comme brutale et j'aime le sexe comme sa.

La sentir en moi me donne l'impression qu'il me manquer quelque chose dans ma vie jusqu'à présent, l'absence de préservatif rend le sexe encore meilleur de tout façon nous ne crénions rien vue que je suis sous contraceptif

—Oui, Dario, ces bon de te sentir en moi, oui !! ! Va si plus vite !

— Ma chérie, si tu savais comme c'est bon de sentir la chaleur de ton corps sur ma queue !

Il continue c'est allé et venu dans mon sexe pendant plusieurs minutes, je sans mon corps qui se crisper et deux coups de boutoir, je jouis en plantant mes griffes dans son dos, Dario me rejoint et jouit en hurlant mon nom comme si c'était une prière.

— Olympia ! Olympia ! Olympia

Il me garde quelques minutes dans ses bras, ce qui n'est pas plus mal j'ai besoin de me remettre de tout ça de sentir sa douceur la chaleur réconfortante de son corps.

Dans se que l'ont peut appeler un instant de folie je lui glisse à l'oreille.

—Je crois que j'ai un gros problème.

—Lequel ma chérie, tu ces que tu peux tu me dire ?

— Je vais avoir du mal à me passer de mon mari, c'est un vrai dieu du sexe, et puis son corps et un appel a la luxure !

Ma phrase le fait rire et pour toute réponse il m'embrasse tendrement, dans ce baiser on peut sentir le désir la passion et la promesse que ce n'est que le début, de lui et moi mais le début de quoi au juste ?

Sa me fait peur autant, que sa me plais ces quoi tout sais sentiment contradictoire dans ma tête Une demi-heure plus tard nous sortons enfin de la douche, sa a sans doute était la douche la plus longue de ma vie, je me prépare dans la chambre.

Dario lui a été plus rapide que moi, en même temps je fais exprès de prendre mon temps.

Je lui ai dit que je le retrouvais dans la cuisine dans quinze minutes pour que l'on prenne un café avant de partir.

J'ai enfilé vite fait une jolie robe noire et de superbes escarpins Louboutins noir que Dario a fait acheter pour moi, toutes mes affaires ne sont pas arrivées, alors il faut que me contente de sa !

Non mais je rigole tout ces vêtement son magnifique, il faudrait être difficile pour ne pas les aimer. Bien sûr monsieur, c'est un plaisir de choisir des sous-vêtements bien sexy, noirs en dentelle, le porte-jarretelles et juste une splendeur et les bas couture en soie est une pure merveille, je ne manquerai pas de lui faire remarquer, que si il saute dessus aujourd'hui sa sera de sa faute.

Je me maquillée vite fait j ai juste besoin de cacher mais cerne un peut de mascara un peut de rouge a lèvre me coiffée d'une simple queue de cheval haute une fois tout sa fini je pars sur le balcon pour téléphone à Anthony.

—Bonjour Anthony, j'espère que je ne te réveille pas

—Bonjour Olympia, tout va bien ? On se voit tout à l'heure chère ton père ! Alors que me veaux le plaisir de cette appel, tu a un problème avec ton mari ?

— non tout se passe bien avec lui, j ai justes deux choses avoir rapidement avec toi, la premier ces que Dario veut que j'aie un homme à lui pour assurer ma protection, de deux ils ont trouvé l'adresse de l'expéditeur de la rose et là-bas ils ont trouvé quatre cartes nous représente toutes les quatre, donc je veux que la priorité sois de savoir de qui sa vient et pourquoi !

—Pour ta protection je le savais, la taupe que nous avons infiltrée, m'a averti hier soir, il va s'arranger pour que ce soit lui qui soit engagé, pour l'adresse je n'étais pas au courant et se qui on trouve je ne sauvais, mais conte sur moi tout nos ressource seront mi a disposition pour savoir de qui tout sa vient.

— D'accord merci pour tout, comme d'habitudes Anthony, tu as fait les choses avant que je te les demande, mais surtout tu ne dit rien aux filles pour les carte ces a moi de leur dire tu a bien compris ?

— affirmatif à tout à leur reine de cœur !

Je sais qu'avec le ton qu'il à employer il ces que je ne rigole pas !

Je presse de raccrocher pour vite aller voir mon mari, si je mets trop de temps ça pourrait éveiller les soupçons, et se n'est du tout dans mon intérêt de faire sa.

Il est là dans la cuisine, accoudé au bar, en train de boire son café, mon dieu que cet homme et beau.

Olympia il faut que tu te reprennes tu ne peux être existé juste en le voyant.

— La vue te plait ! Je n'avais même pas vu que lui aussi était en train de me regarder.

—Je peux te retourner la question

— Pris la main dans le sac, j'étais en train de me dire que tu étais magnifique dans cette robe.

—Tu penses juste à la robe ou à ce que tu m'as acheté pour aller dessous ?

Il se mord les lèvres.

—Tu as de la chance que nous devons partir sinon j'aurai bien aimé te les enlever ici tout de suite.

—On verra ça plus tard monsieur Coppola.

Je ne m'étais pas aperçu que nous n'étions pas seuls dans la cuisine, notre cuisinier est là.

—Bonjour madame Coppola, vous prendrez quoi pour votre petit déjeuner.

Je ne sais plus ou me mettre, je penser que lui et moi on était seul, j espère que nous n'avons pas fait trop de bruit, mon dieu j ai honte !

—Un café s'il vous plaît.

—Bien madame.

Elle revient et me tend une tasse de café.

— Tu aurais pu me dire que nous n'étions pas seul chéris !

—Oui j'aurais pu, mais tu ne m'en as pas laisses le temps, tu as préféré allumer ton mari de bon matin.

Je vire au rouge quand il dit ça, non mais ces moi qui les allumer il lui alors avec son corps, il faut que je me clame ou je vais lui saute dessus dans la cuisine.

— Tu n'as pas à te sentir gêné, moi j'aime quand tu m'allumes comme ça, tu peux le faire quand tu veux, à condition que ne nous ne soyons que tous les deux d'accord ma princesse je suis le seul à pouvoir ton corps nue !

—Facile à dire pour toi, ce n'est pas toi qui viens de te prendre la honte de ta vie, tu ma fait criée et je suis un quelle ma entendu.

Pour me réconforter il me prend dans ses bras et dépose un doux baiser sur mes lèvres.

— Avale ton café, nous devons partir pour le brunch

J'avale mon café d'une traite. Nous voilà partie pour aller chez mon père.

Trois plus tard, nous voici arrivés chez mon père tout le monde nous attend dans le jardin pour le brunch.

Je sais que nous sommes ici aujourd'hui pas simplement pour un brunch dominical, c'est aussi le jour où mon père passe les rênes à Dario, donc il va y avoir tout les gens importante une aubaine pour nous comme sa on pour mettre un écoute de tout leur portable en place.

Il faut que je sache tout se qui se passe encore plus avec cette rose et ces carte !

J espère que Anthony y a penser et a avancer dans les recherche, j ai besoin de savoir.

Et je ces que le moment sera venue les hommes trouverons une bonne excuse pour nous laisse seul, ces la que je virais bien si Dario me dit virement tout, ces moi qui dit sa alors que je lui cache des choses alors suis je en droit de s avoir tout la vérité sur se qu'il fait ?

J'avais raison il encore plus de monde que hier !

Nous saluons beaucoup de monde qui nous présentent leurs félicitations, Dario ne m'a pas lâché la main une seule seconde depuis que nous sommes arrivés, comme si il avais peur que je parte.

De temps en temps il me dit des mots doux à l'oreille, et par moment il me caresse les fesse en tout innocence comme si de rien n'était !

Je n'ai pas encore vue mes amies, j'ai tout le temps de les chercher, pendant que les hommes seront à leur réunion.

Dario me chuchote à l'oreille.

—Ma chérie, nous avons une réunion là, pour que ton père me passe les rênes, je te laisse ne fait pas de bêtises.

Je lui chuchote en retour.

— Merci, de me dire la vérité je te promets d'être sage !

Je l'embrasse et je pars la recherche du mes amie, pas longtemps a près je les rejoint elles sont entrain de fumer.

— Coucou, les filles, vous aller bien

— Alors bien dormi madame Coppola ?

Et voila qu'elle repartie si je joue un peut son jeu, juste pour bien la faire chier !

— Très bien même si je serais bien resté au lit, dans ma superbe maison

— J'en connais une qui a pris son pied !

—Oui ça c'est sur Aglaya, mais je n'en dirais pas plus.

Dis-je en lui tirant la langue.

— Tu dois avoir passé une sacrée nuit pour te conduire comme une ado !

Si tu savais, ma chérie, mon mari et un dieu au lit la il tarde qu'une seul chose ces de retourner cher nous pour que l'ont continue, mais je fini par cèdre et lui donne un peut plus d'information !

— Tu ne peux même pas t'imaginer, mais pas que la nuit, tu peux me passer une clope Aglaya.

— Oui à une seule condition, je veux des détails.

Je raconte aux filles ma nuit de noce sans oublier aucun détail, a voir la tête qu'elles font je croie que je leur et donner chaud.

Dario

Nous voilà partis pour aller chez son père.

Je suis dit que je vais devoir partir pour La Réunion et elle me laisse seul la en plant !

Une main se pose sur mon épaule.

—On dirait quelqu'un à passer une bonne nuit.

— Tu peux le dire Luigi, je n'ai jamais passé une nuit comme ça !

Et pourtant des filles ils y en eux dans mon lit, rien de comparable avec ma femme.

— Alors cette miss n'était pas si innocente que ça ?

— Ah tu peux le dire, j'ai même pris une décision qui m'a surprise moi-même.

Plus j y pense plus je me dis que ces la bonne mais que vas en penser mon ami.

— À bon laquelle ?

— J'ai décidé que je ne verrais aucune femme à part ma femme

—Ça c'est nouveau toi qui ne supporte pas de coucher deux fois avec la même femme c'est un gros changement, ça doit être un sacré bon coup au lit pour que tu prennes cette décision ?

— Ça tu peux le dire, bon allons à la réunion.

Oui

Nous nous rendons dans la salle de réunion, ils sont tous là.

Mon père et mon beau-père sont au bout de la table et ils m'attendent, mon beau-père prend la parole.

— Messieurs, bienvenue à tous, aujourd'hui et un grand jour pour notre famille, Dario qui, hier et devenu mon beau-fils va prendre officiellement ma place à la tête de notre famille, De ce fait toutes les personnes de notre famille doivent lui obéir, me suis-je bien fait comprendre !

Il répond tous d'une seule voix.

Je commence à stresser un peut, suis je capable de tenir se rôle, ma conscience me crie que oui !

—Oui monsieur, vive Don Dario !

— Sur ce, veux-tu dire un mot Dario.

—Bien sûr Don Vespasiano, merci à tous d'être venus pour aujourd'hui et un grand jour bien qu'hier aussi était un jour important, vous m'avez confié votre fille Don Vespasiano et aujourd'hui vous me confiez votre famille, je suis honoré de tout ça et promets à chacun de vous de tout faire pour notre famille et soit la plus forte de tout, Don vespasiano je vous primait de faire de votre fille une femme comblée .

Ils hurlent tous.

— Vive don Dario Ils sortent tous, mon père et mon beau-père restent avec moi pour discuter un peu.

— Bravo mon fils, je te laisse avec Don Vespasiano, vous avez beaucoup de choses à vous dire, à plus tard.

Mon père sort et me laisse avec lui.

— Dario, viens ! Je vais le rejoindre, j ai beau être le nouveaux chef il me fait toujours autant peur !

— Dario, j'ai vu que tout se passait bien avec ma fille.

— Oui, vous avez une fille adorable.

—Merci, mais maintenant c'est ta femme prends en soin et surtout ne tarde pas trop pour me faire des petits enfants.

Ces pas possible il se son puisse donner le mots, mais ces vrais que avoir des enfants avec Olympia et très tentant mais pas tout de suis je veux que l'ont profite l'un de l autre avant.

— Ne vous en fait par nous allons y travailler !

— Une autre chose Dario vu que tu es avec ma fille chérie, je voudrais que tu ne vois plus aucune autre femme, je les fais souffrir quand elle plus petit en ramènent une nouvelle femme tout les soirs cher nous quand sa mère et mort alors je voudrais que tu la respecte en lui restent fidèle.

Je viens de me rendre conte qu'il tient plus a sa fille qui ne le fait par être.

—Je vous rassure, j'ai déjà pris cette décision depuis que je lui ai dit oui.

— Bien mon garçon, une autre chose dans quatre jours toi et ma fille vous partez pour la Corée du sud, tu vas rencontrer les parrains d'Asie là-bas et puis comme ça, vous fera votre voyage de noces.

— Bien, sur ce je vais vous laisser, je vais retrouver ma femme.

—Pas de problème, je vous rejoindrai plus tard.

Olympia

Au loin je vois Dario revenir.

Quand il m'embrasse et me sert dans ces bras, je me sens bien en sécurité comme si il ne prouver rien arriver.

Soudain une détonation se fait entendre !



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