chapitre 19

Dario

La fin d'après-midi se passe bien chez les Yen, mais le message que j'ai reçu hante mes pensées.

Olympia a bien vu que quelque chose n'allait pas, elle m'a posé la question, mais je lui ai répondu que tout allait bien.

Malgré tout je me demande si elle est vraiment sincère avec moi. Ce soir, je dois lui parler, lui demander.

Il n'y a que cette façon que je saurais la vérité.

Dans la voiture qui nous ramène à l'hôtel, je n'adresse pas un seul mot à ma. Ce qui semble ne pas lui plaire du tout.

—Dario, ai-je fais quelque chose de mal pour que tu sois si froid et distant avec moi ?

—Non, ma princesse, tu n'as rien fait de mal.

—Alors que se passe-t-il ? Et ne répond pas rien car je sais très bien que ça ne va pas. Dis-moi ce qu'il y a, je t'en supplie.

Je ne peux plus lui cacher, il faut que je lui dise la vérité.

Olympia

Toute l'après-midi, j'ai bien sentie que quelque chose tracassé Dario. Mais il n'a pas voulu m'en parler.

Et maintenant que nous sommes dans la voiture, il semble vouloir s'ouvrir à moi.

—Alors, Dario, j'attends, dis-moi quel est le problème.

—Ma belle... cette après-midi j'ai reçu un message qui me disait que n'est pas celle que tu me fais croire. Et je dois dire que, même avec toute la volonté du monde, cela me travaille. Et pour tout te dire, j'ai envie de tuer l'émetteur de ce message.

—Dario, tu ne dois pas douter de moi. Moi aussi ce matin j'ai reçu un message accompagné d'une rose.

—Mais pourquoi tu ne me l'a pas dit plus tôt ? Merde Olympia j'ai fait la promesse de te protéger. Que disait ce message ?

Je lui tends la carte, je l'avais gardé et mis dans un sac pour que mon équipe puisse faire une analyse. Mais je me vois dans l'obligation de la donner à mon mari. Je suppose qu'il aura la même idée que moi.

—Mon dieu ! Olympia cette personne nous espionne quand nous faisons l'amour. Mais as-tu une idée de qui cela peut-être ?

—Non... mon amour je ne vois personne dans mes ex qui serait capable de faire une chose pareil. Dario, tu m'en veux ?

—Non je ne t'en veux pas. Ce qui me rend malade c'est qu'un autre homme puisse te voir quand je te fais jouir. Quand nous arriverons à l'hôtel, je demanderai à ce qu'on nous change de chambre.

—Dario, prends-moi dans tes bras, je n'aime pas que tu sois comme ça. Ça me fait mal.

Il me porte et en deux secondes je me trouve sur ses genoux.

—Ma belle, je ne veux pas te paraître froid.

—Désolé, moi aussi j'ai besoin de te sentir près de moi. Je te promets de ne plus jamais douter de toi.

Tout le reste du trajet, nous le passons à nous câliner. Arrivés à l'hôtel, j'ai dû mal à quitter ses genoux.

Je le vois s'en prendre à l'homme qui est l'accueil. Il exige une nouvelle chambre, et l'hôtel nous offre alors, pour la fin de notre séjour, la suite royale au dernier étage. Là où personne ne pourra nous voir, ce qui a l'air de soulager mon mari.

Après que ma valise soit montée, mon mari et moi nous retrouvons enfin seuls, et il s'est littéralement jeté à mes lèvres.

—Hum, Dario, que t'arrive-t-il ?

—Je n'en peux plus ma belle, j'ai trop envie de toi là. Cette journée a été horrible, j'ai simplement envie de tout oublier, de m'abandonner en toi, à ton plaisir. Je veux que tu jouisses pour moi, et rien que pour moi ma belle. Si tu savais comme tu m'excite.

Moi aussi je veux tout oublier, fais-moi tout oublier. Cette nuit, il n'y a que toi et moi. Le reste est loin de nous.

Il me porte jusqu'au lit et commence à me caresser délicatement.

Dario

Mes mains caressent son corps de déesse.

Doucement, je passe mes mains sous son chemisier, sa peau délicate et chaude. Cette femme causera ma perte. Je remonte le long de son ventre pour atteindre sa poitrine généreuse.

Je la vois se tordre de plaisir sous mes caresses, ce qui ne fait que durcir un peu plus et j'en ai presque mal.

Lentement je passe dans son dos, et je dégrafe son soutien-gorge, avec douceur je déboutonne son chemisier, tout en continuant à caresser sa peau délicate, et le fait tomber par terre. Puis c'est au tour de son sous-vêtement de terminer au sol.

J'ai maintenant libre accès à ses seins parfaitement dessinés. Je ne peux m'empêcher de les sucer, mon dieu sa peau a un goût sucré.

Je descends, me baisse jusqu'à son pantalon que je m'empresse de défaire. Il ne reste que sa culotte comme simple barrière entre elle et moi. Je me déshabille aussi et me retrouve en boxer devant les yeux pleins de désir de ma femme.

Je recommence mes caresses sur le fruit défendu de ma princesse, ce qui lui fait pousser un cri de satisfaction.

Pour en avoir libre accès, je lui retire sa culotte, et la voilà nu comme un ver.

—Dario... je vais jouir, mon dieu ...

—Oui vas-y ma belle, ce n'est que le début. Si tu savais tout ce que j'ai envie de te faire.

—Qu'attends-tu Dario ? J'ai envie de toi, là, de te sentir en moi.

—J'arrive ma belle.

D'un seul geste, je retire mon boxer et la pénètre. Je voulais être plus doux, mais je suis tellement excité que je n'ai pas pu me retenir.

Je commence avec des va-et-vient lents, mais ça ne lui plaît pas.

—Dario, s'il te plaît.

—Que veux-tu ma belle ?

—Que tu me prennes fort, et plus vite.

—Comme ça ?

—Oui, c'est ça, oui Dario...

Je continue à ce rythme intense pendant quelques minutes, puis nous arrivons tous deux au point de non-retour, à la jouissance absolue.

Je m'effondre sur elle.

Puis nous continuons ainsi, toute la nuit.

Le lendemain, elle dort sur mon torse, ce qui me permet de l'admirer, ma femme est d'une telle beauté.

Je prends mon portable pour voir l'heure, et je remarque j'ai reçu un message. Je le regarderai plus tard.

Il est deux heures de l'après-midi, il est temps de se lever. Je réveille ma femme, nous devons préparer le bal pour ce soir.

Il y aura toutes les familles, amis des triades, et des syndicats. Alors nous devons faire bonne impression.

—Ma petite marmotte, il faut se lever.

—Non, pas envie.

—Je sais mais nous n'avons pas le choix, je préférerais cent fois être avec toi au lit plutôt que de participer à ce fichu bal. Tiens, en parlant de ça, ma mère ta dit pour le notre dans un mois ?

—Oui, elle m'a aussi dit qu'elle avait tout en main. C'est parfait, vu que je pars deux semaines après que nous soyons rentrés, pour voir Lucide. Je suis sûr que tout sera parfait.

—Oui c'est vrai, je l'avais oublié. Tu pars combien de temps après notre retour ?

—Quatre jours, nous aurons le temps de faire le test de grossesse. Si tu savais comme je n'ai pas envie de ce voyage.

Moi aussi j'aimerais qu'elle reste avec moi, mais je dois faire des recherches sur les reines, fixer un rendez-vous avec elles. Et je dois aussi convoquer tous les chefs pour être sûr que tous se passe bien.

—Moi aussi j'aimerais que tu restes. Mais ce ne sera pas long et puis nous nous appellerons.

—Pas de problème, et comme ça tu pourras reprendre tes affaires que tu as laissé en plan.

Elle a raison, mais de la savoir loin de moi j'ai peur que ce harceleur, qui nous surveille, ne lui fasse du mal.

Je vais demander à son garde du corps d'être vigilant.

—Aller vas prendre ta douche.

—À vos ordres chef.

Elle part en courant dans la salle de bain, en riant.

Que c'est bon de l'entendre rire. Je reprends mon téléphone pour voir quel est le message. Et là horreur, je vois une photo d'Olympia et moi, en train de faire l'amour.

Ce n'est pas possible, ce mec est taré.

« Tu ne pourras jamais la faire jouir comme moi. Tu devrais demander à ta femme si elle sait se servir d'une arme. Elle risque d'en avoir besoin. Ne t'en fais pas tu auras des photos. »

Mon téléphone se brise dans mes mains tant je suis en colère. Mais bordel, que veut ce mec.


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