CHAPITRE 22 : Louis Tomlinson

Réaliser. Assimiler. Se lever. Partir. Courir. Ne pas flancher. Garder un espoir.

Je répétais ces mots comme une litanie depuis l'annonce à la télé. Mon coeur ne suivait plus. Mon cerveau non plus. Je n'étais qu'un automate poussé par ses sentiments. Rien n'était cohérent. Tout ça n'était pas possible.

Cœur battant. Gestes tremblants. Panique. Ne pas pleurer. Rester calme.

Je ne devais pas tomber. J'étais arrivé à l'hôpital je ne sais pas comment. Je ne me souvenais même pas de la route que j'avais prise. Adena avait dû comprendre mon état parce qu'elle n'avait pas dit un mot en restant très calme dans mes bras. A cet instant, plus rien ne fonctionnait correctement dans ma tête. Je bousculais des gens dans les couloirs, parce que je ne pouvais pas attendre. Pas une minute de plus.

J'avais l'impression de tourner, mon regard cherchant un quelconque signe qui me ferait penser qu'il était là. Qu'il était vivant. Que tout ça n'était qu'une sombre blague et qu'il n'était pas ici. Non, il ne pouvait pas être là. C'était impossible. Alors que j'étais planté au milieu du couloir, une des portes s'était ouverte. Deux infirmiers venaient de recouvrir d'un drap blanc le visage de quelqu'un. Sur le coup, j'avais reconnu des boucles. Des boucles brunes. Ce n'était pas les siennes. Non, ce n'était pas les siennes ! Deux morts et des disparus. Deux morts et des disparus. Voilà ce que disait la journaliste. Il y avait de l'espoir. Je voulais hurler à pleins poumons que ce n'était pas lui qui était sur ce brancard, mais les mots n'étaient pas sortis, alors je m'étais effondré. Littéralement. Heureusement, j'avais protégé Adena de ma chute, elle n'avait rien eu.

« Louis ! Avait crié une voix que je n'avais pas reconnu sur le coup. »

J'avais senti deux bras me tirer et me relever. Quelqu'un m'avait pris Adena des mains, que je tenais fermement contre moi. On continuait de m'appeler sans que je puisse savoir d'où elle provenait et à qui elle appartenait.

« Tout va bien, Louis. Regardes moi. »

Je ne savais pas où regarder, mon cerveau étant complètement perdu. Je voyais en boucle ce brancard, les boucles, les informations. Mon cerveau ne voulait pas l'accepter, il niait en bloc mais plus le temps passait, plus les preuves s'accumulaient, plus j'y croyais.

« On va te mettre sur un lit, ok ? Restes avec moi, tout va bien se passer.

- Il n'est pas mort, je le sais. C'était la seule phrase que j'avais pu sortir à cet instant précis.

- Il est là, ne t'en fais pas. Il est en sécurité. »

Il est là, il est en sécurité. C'était les mots que je voulais entendre. Les mots dont j'avais besoin. Après ces mots, j'avais pleuré. J'avais pleuré de joie, de soulagement, de tout. Mon Harry était là. Il n'était pas seul encore sous la neige. Il n'était pas mort non plus. Petit à petit, j'avais retrouvé la vue. Face à moi, des cheveux blonds coupés au carré, et des grands yeux clairs. J'avais tout de suite reconnu Zara. J'avais complètement oublié qu'elle était médecin à l'hôpital de Genève.

« Où est Adena ? Je lui avais demandé après avoir repris mes esprits.

- Elle est avec Zayn et Liam.

- Ils sont là ?

- Oui, viens je vais t'amener vers eux.

- Je veux voir Harry. »

Elle avait soupiré et affiché un air désolé sur le visage.

« Pour l'instant, ce n'est pas possible. Il a eu plusieurs fractures et il est au bloc. »

De toute façon, je ne partirais pas sans l'avoir vu. J'avais rejoins mes deux amis qui attendaient dans les couloirs, leur fille dans les bras.

« Est ce qu'il va bien ? Zayn me demanda directement.

- Je ne sais pas, personne ne veut rien me dire. Je...j'ai vu Zara et elle m'a dit qu'il était ici.

- Et toi tu vas bien ? »

La question de Liam m'avait retournée. Non je n'allais pas bien. Je ne savais pas s'il allait bien, si il était entre la vie et la mort, je savais juste qu'il était au bloc, qu'il avait des fractures ouvertes, qu'il était en sécurité. Devant eux, je n'avais pas craqué. Je m'étais longuement excusé d'avoir laissé Adena quand j'avais fait un malaise.

« Ne t'en fais pas, elle vient juste de s'endormir. Elle n'a pas l'air si choquée.

- Elle a été adorable. »

Elle n'avait rien dit de tout le trajet. Elle n'avait pas pleuré, comme si elle ressentait que quelque chose n'allait pas. Niall et Lily étaient arrivés quelques heures plus tard. Nous avions toujours pas d'informations sur l'état d'Harry. J'avais appris que Dan, un de ses amis qui skiait avec lui était décédé dans l'avalanche. Il allait sûrement être dévasté... Enfin, s'il se réveillait. Contrairement aux autres, j'étais resté. Je n'avais pas voulu partir. Zayn et Liam étaient rentrés à la maison pour coucher Adena et m'avaient promis de revenir le lendemain. Lily et Niall avaient aussi décidé de repartir sur Lausanne. Ils ne voulaient pas repartir au départ, ils voulaient rester avec moi, mais j'avais réussi à les convaincre de terminer leur weekend et revenir s'ils voulaient demain. J'avais le besoin de rester seul quand il allait se réveiller. La nuit était tombé et je me sentais seul dans le couloir, essayant tant bien que mal de réaliser les choses. Zayn avait prévenu la famille d'Harry et ses collègues. Il ne pourrait pas rentrer maintenant. Les heures passaient et la fatigue commençait à se faire sentir.

« Tu devrais dormir un peu, Louis. »

J'avais relevé la tête pour découvrir Zara avec deux tasses de café dans les mains. Elle s'était assise à côté de moi.

« Tu as eu des nouvelles ?

- Non pas encore, mais normalement, il sortira bientôt du bloc. Je te préviendrai quand j'aurais du nouveau.

- Merci beaucoup Zara. Ça représente beaucoup pour moi.

- Vous êtes mes amis et j'ai été aussi choqué que toi de savoir ce qu'il s'était passé. Elle fit un faible sourire. J'ai croisé Niall dans les couloirs avec sa copine, Lily. Il a l'air heureux avec elle et elle est vraiment adorable.

- Ca ne te fait rien de le voir avec quelqu'un ? Lui demandais-je

- Non pas du tout ! Niall est resté un très bon ami à moi et puis, notre histoire ne pouvait pas continuer, j'étais beaucoup trop loin de lui. Et puis, il m'a déjà parlé de Lily. »

Je savais qu'elle ne me disait pas tout parce qu'Harry m'avait dit que les rapports entre elle et Niall étaient tendus juste après leur rupture. Ils avaient fini par se parler et enterrer la hache de guerre. On avait continué à parler pendant une bonne heure. Heureusement qu'elle était là, elle avait réussi à me changer les idées et m'avait permis de m'apaiser un peu.




15 novembre 2014, Hôpital de Genève

Il était revenu de bloc le lendemain dans la matinée. Je n'avais pas pu le voir mais ça avait été un grand soulagement de savoir qu'il allait bien, quoiqu'un peu dans les vapes. C'était Zara qui était venue me voir pour m'annoncer la bonne nouvelle. Mon Harry était vivant ! Ce fut en fin de journée, que j'avais pu aller le voir. J'étais resté plusieurs minutes devant la chambre sans savoir quoi faire. J'étais heureux, terrifié, apeuré. Puis finalement, j'avais poussé la porte et j'étais rentré. Il était là. Ses cheveux bouclés étendus sur l'oreiller blanc, le visage pâle et les yeux fermés. Je m'étais approché doucement pour ne pas le réveiller, encore secoué par mes émotions. J'avais peur que cet accident l'ait changé physiquement, mais non, il était toujours le même. Cependant, ses yeux étaient marqués et son bras était enrubanné dans un bandage.

Je m'étais assis à côté de lui et je l'avais regardé pendant plusieurs minutes. Les larmes avaient commencé à couler sur mes joues. J'avais failli le perdre pour une connerie. Il avait failli mourir putain ! C'était sûrement la fatigue. Puis finalement, je m'étais endormi. Ce fut une main froide qui m'avait réveillé. Une main qui caressait mon bras. Quand j'ouvris les yeux, je vis Harry qui m'observait de ses yeux verts, un faible sourire sur les lèvres. Mon cœur s'était empli de joie. Délicatement, j'avais pris son visage entre mes mains tremblantes.

« Tu es vivant.

- Je suis désolé, Lou. »

Puis il s'était mis à pleurer. Je n'avais pas hésité deux secondes avant de le serrer contre moi. Il était bien là, dans mes bras, vivant. Je l'avais longuement serré contre moi pendant plusieurs minutes. On avait failli se perdre et ça avait été un tel soulagement de savoir qu'il était là. Il y aurait pu y avoir la fin du monde, j'étais bien dans ses bras. Je ne voulais pas en démurger. Un médecin était venu et nous avait expliqué qu'il avait eu beaucoup de chances de scène sortir avec aussi peu de séquelles. Même si une cheville foulée, un traumatisme crânien et plusieurs points de sutures étaient déjà pas mal. Harry devait encore rester quelques jours en observation pour son trauma crânien. Dans l'après-midi, les parents d'Harry étaient arrivés de Londres. Même Desmond était du voyage. Anne avait failli étouffer son fils en lui sautant dans les bras. Je m'étais éclipsé pour les laisser en famille. Ils en avaient besoin.

En attendant, je m'étais assis sur le parvis, fumant ma cigarette. Ça m'avait permis de souffler un peu. Tout s'était enchaîné si vite. L'accident, l'hôpital, le réveil. J'avais encore du mal à me rendre compte que j'avais failli le perdre, définitivement. Alors que j'allais prendre mon briquet, je sentis quelque chose dans ma poche. Une petite boîte. Je la prit entre mes doigts et ouvrir le petit écrin. Ça devait être mon cadeau de Noël. Mais il attendra encore un peu. Tout à coup, quelque chose de chaud se posa sur mes épaules. Je relevai la tête, surpris, pour découvrir Anne, une tasse de café à la main, qu'elle me tendit.

« Vous devriez rentrer, vous allez attraper froid. Je lui avais dit.

- C'est plutôt à moi de te dire ça, tu es tee-shirt alors qu'il fait deux degrés.

- J'avais besoin de changer d'air et vous étiez en famille.

- Tu fais partie de la famille, Louis. Tu aurais pu rester. Répondit-elle avec un sourire. »

Elle s'était mise à côté de moi et avait continué :

« Merci d'avoir été là pour Harry. Il m'a dit que tu étais resté avec lui jusqu'à son réveil.

- C'est normal. »

C'est normal parce que c'est de ta faute s'il est sur ce lit, m'avait soufflé une petite voix. Oui c'était de ma faute. Depuis son réveil, j'étais rongé par la culpabilité. Et si l'on ne s'était pas disputé, il ne serait pas là, une cheville foulée et l'arcade ouverte. Ce n'était pas le froid qui me faisait trembler à cet instant, mais une grosse envie de pleurer.

« Je lui devais bien ça... Cet après midi là, il est parti skier parce qu'on venait de se disputer. A cause de moi. Lui avouais-je.

-Écoutes moi bien Louis. A son ton autoritaire, je m'étais tourné vers elle. C'était un accident d'accord ? Personne ne pouvait prévoir cette avalanche. Harry a pris seul la décision de sortir et partir skier alors qu'il y avait un risque. Tu n'y es pour rien.

- Mais-

- Il y a des choses que l'on ne peut hélas pas éviter, Louis. Harry ne voudrait pas non plus te voir culpabiliser comme ça. Je sais que ça a dû être un choc pour toi mais il va bien, il est un peu amoché mais il est là. Je l'ai même entendu ronchonner parce qu'il avait des avocats dans la salade que je lui ai amené.

Ça m'avait fait sourire. S'il se mettait à faire sa diva, c'est qu'il allait bien. Anne m'avait pris dans des bras rapidement et je lui avais murmuré un merci. Merci de m'avoir remonté le moral et d'être là merveilleuse personne qu'elle était. Alors qu'elle allait rentrer, elle ajouta :

« Tu devrais lui donner.

-Quoi ?

- Ce que tu tenais avant que j'arrive. Ça fera de lui, l'homme le plus heureux. »

J'avais tout de suite compris de quoi elle parlait. Alors elle avait vu. Elle me dit un dernier clin d'œil avant de rentrer dans l'hôpital.


Harry était revenu deux jours plus tard. J'étais allé le chercher et nous étions rentrer à la maison. Tout le monde nous attendait dans le salon. Pour l'occasion, les parents d'Harry et Gemme étaient restés avec nous. Ils avaient décidés de repartir demain. Seul Desmond était parti plutôt. J'avais vu qu'Harry avait été très touché que son père vienne le voir. Ils n'étaient pas en mauvais terme, mais ils ne se voyaient pas souvent. Nos amis avaient tout préparé pour le retour de notre petit blessé. Ça faisait du bien de passer un peu de temps avec tout le monde, surtout pour Harry. Il en avait besoin. Le sujet de l'accident n'était pas revenu sur le tapis, chacun voulant se changer les idées. Nous avions décidé de rester un peu avec Harry, même après le départ des autres. Il allait être en congé pendant un moment et avait un suivi psychologique prévu à son retour à Londres. Même s'il n'en parlait pas, cet accident avait été un choc énorme pour lui. J'avais tout essayé pour ne pas lui faire penser à ça. Il en parlerait quand il se sentirait prêt.

Je le cajolais un peu trop selon lui. Je lui évitait de faire le moindre mouvement trop compliqué pour ne pas qu'il se blesse, nous avions investir la chambre du bas pour éviter qu'il ait à monter des escaliers. C'était plus fort que moi. Je ne pouvais pas m'empêcher de le surprotéger. J'étais comme ça avec mes sœurs et c'était pire avec lui. Je culpabilise encore de cet accident et même si Anne m'avait un peu rassuré, je continuais à penser que c'était de ma faute. Harry avait dû le sentir et il m'avait, un soir sur le canapé :

« Tu sais, quand je suis parti cet après-midi là, je t'en voulais un peu mais c'était contre moi que j'en voulais le plus. Tu avais raison et ça me faisait chier de le reconnaître. J'ai réfléchi et je vais refuser la proposition de Benett & Banner. Tu as raison, je vais voler de mes propres ailes et trouver un autre stage.

-Quelque soit ta décision, je serai là pour toi. »

Ce fut la seule fois que l'on avait reparlé de l'accident pendant notre séjour. Nos journées de résumaient à passer du temps ensemble, lire tranquillement auprès du feu, cuisiner (enfin essayer de faire quelque chose de mangeable) et faire des courtes séances de rééducation pour Harry. Les médecins disaient qu'il fallait y aller doucement et sans qu'il ne de blessé à nouveau. Le matin, on restait au lit, dans les bras l'un de l'autre. Je crois qu'on avait jamais été aussi proche.




25 novembre 2014, Avoriaz.

Ses mains étaient partout sur moi. J'agrippais ses hanches fermement, laissant quelques marques de mes ongles dans sa peau laiteuse. Ses belles boucles, retenues dans l'elastistiques retombaient élégamment sur ses épaules. Au dessus de moi, il était tremblant collant de plus en plus des hanches contre moi, à la recherche de son orgasme. Le voir, haletant, le corps illuminé par la lumière du matin me rendait dingue. Le voyant proche de la délivrance, je l'avais plaqué contre le matelas, accélérant mes coups de bassins. Aux gémissements rauques qui sortaient de ses lèvres, il était proche. Mais je voulais voir son visage avant qu'il ne s'abandonne complètement.

« Regardes moi. Je lui avais ordonné dans un souffle. »

Une dernière fois, son corps s'était tendu et il avait joui entre nos deux corps. Le voir haletant, des yeux mi-clos se remettant de ses émotions était sûrement la plus belle chose qui m'avait été donnée de voir à cet instant. Je l'avais laissé de remettre de ses émotions avant de l'embrasser.

« Une douche ? Je lui avais proposé, m'apprêtant à sortir du lit.

- On a pas fini. »

Harry avait attrapé mon poignet et m'avait allongé sur le lit. Avec un regard félin, il avait recouvert son visage par le drap. Il déposait des petits baisers sur mon torse avant de descendre. Ses yeux croisèrent les miens quand il me prit totalement en bouche. C'était à la fois si doux et langoureux. Après l'accident d'Harry, on avait dû diminuer l'activité sexuelle. Sa cheville lui faisait encore mal, et j'avais beaucoup trop peur de lui faire mal. C'est finalement ce matin, qu'il avait décidé d'être plus entreprenant au réveil. Et voilà, qu'il me prenait salement en bouche me poussant à chaque fois, de plus en plus proche de mon orgasme. D'un geste rapide, je retirai le drap qui couvrait son visage. Ses yeux étaient voilés par le plaisir, ses lèvres toujours autour de moi. Ce regard si... puissant m'avait envoyé dans les étoiles. Il avait embrassé une dernière fois mon membre avant d'aller à la salle de bains. Quant à moi, je me remettais tant bien que ou de mes émotions. C'était peut être le manque de sexe qui m'avait autant chamboulé mais c'était juste wow. J'étais encore dans les vapes de mon orgasme quand Harry était revenu dans le lit. Il s'était collé contre moi, la tête sur mon torse.

« Épouses moi. Les mots étaient sortis tout seul.

-Tu sais, un "merci mon chéri pour ce que tu viens de me faire"suffisait. Il avait plaisanté.

- Je suis sérieux, Harry. J'y pense depuis longtemps et je ne trouve jamais le bon moment pour le faire. »

Mon chéri s'était redressé, choqué de mes mots. Dans le tiroir de la table de nuit, j'avais rangé le petit écrin avec la bague dedans. La discussion que j'avais eu avec Anne m'avait fait réfléchir et c'était le bon moment.

« Tu-tu es sérieux ? Tu veux m'épouser ?

-Oui, Harry. »

Ses yeux s'étaient écarquillés quand il avait vu l'anneau contenant des dizaines de petits diamants.

- Je vais refaire mieux ma demande. Je lui avait dit nerveusement. Harry Styles, veux-tu me supporter encore quelques années de ta vie ?

- Bien sûr que oui !

La bague à peine mise à son doigt, il m'avait sauté dans les bras. J'avais enfoui mon visage dans son cou, humant son parfum. Le soir de l'accident, j'avais cru le perdre. J'avais imaginé les pires scénarios dans ma tête, pour au final me dire que je ne pourrais pas vivre sans lui. C'était complètement con, je sais mais depuis 4 ans, il avait pris une place si importante dans mon cœur. La vie n'était pas si longue et je voulais qu'il soit à mes côtés dans cette courte vie, qui ne tenait qu'à un fil.






Bonjour ! J'espère que vous allez bien. Voilà un nouveau chapitre. C'est sûrement l'un de ceux que j'ai le plus aimé écrire, mais aussi celui qui m'a donné le plus de fil à retordre surtout avec le lemon et faire le mieux ressortir toutes les émotions de ce chapitre. Je m'excuse pour le lemon à la fin, c'est l'un des premiers que j'écris en entier. Ah oui, je voulais vous demander si vous aimiez les points de vus de Louis. Bon, j'arrête de parler et au prochain chapitre :). Bonne lecture, Loriana.

#QMLAMfic sur Twitter pour réagir !

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top