Chapitre 20
-Bienvenue dans la gueule du loup Théa, bienvenue chez les Malefoy.
La lourde porte claqua contre son chambranle une fois que mon cousin et moi-même sommes entrés dans la pièce principale de la grande demeure. C'était silencieux, très silencieux, tellement silencieux que je suis sûre que Blaise pourrait entendre mes battements de cœurs. Ils étaient irréguliers, pas par peur non. En fait si, j'ai peur, j'ai peur de le rencontrer, peur de l'avenir, peur d'échouer. Quand je lève enfin les yeux pour regarder ce qui m'entoure, je peux facilement distinguer que la pièce est immense avec un très haut plafond. Et malgré les hautes fenêtres qui faisaient entrer la lumière du soir, la pièce restait sombre, voir même lugubre. La cheminée était éteinte et le froid de l'hiver anglais s'immisçait sous mes vêtements, me faisant frissonner. Les murs de couleur gris accentuaient l'effet d'un manoir qui gardait secret les pires horreurs qu'étaient capable l'humanité. On n'imagine pas du tout qu'une famille habite ici car on pourrait presque croire à une maison hantée version sorcier.
Blaise me pris le coude pour me forcer à le suivre, tout en mettant fin à ma silencieuse contemplation des lieux qui nous entouraient dangereusement. La pression de sa main sur mon coude fit ralentir mon rythme cardiaque. La présence de mon cousin me rassurait un peu car nous sommes dans la même situation. Nous sommes dans la gueule du loup. A l'extérieur le vent soufflait, et son sifflement se faisait entendre dans la demeure. A mesure que l'on avançait, des murmures résonnaient dans les couloirs. De longs couloirs tout aussi sinistres que la pièce qui nous avait accueillie quelques minutes plus tôt. Les tableaux accrochés aux murs m'injuriaient sur mon sang, alors que d'autre me suivaient du regard en émettant des hypothèses à mon égard. Toutes les personnes présentent sur les tableaux portaient fièrement leurs cheveux blonds. De plus, leurs costumes raffinés et leur posture me firent supposer qu'ils étaient les ascendants de l'illustre famille de Sang-Pur, les Malefoy. Pendant tout ce temps mon cousin était silencieux, il marchait tel un robot. Aucun signe d'anxiété ne le trahissait comme s'il était maître de lui-même et de ses émotions. Un nouveau Blaise Zabini se tenait à mes côtés.
J'analysais tout ce qui m'entourait en essayant de n'oublier aucun détail. Mais pourtant Blaise me dirigeait dans un dédale de couloirs et d'escaliers dont je serais incapable de retrouver mon chemin. Tout à coup Blaise se stoppa devant une porte blanche finement sculptée. Il m'indiqua que c'est dans cette pièce qu'a lieu la réunion des Mangemorts, enfin les plus vieux car selon lui, les plus jeunes ont leur propre réunion avec Lui. Il me dit aussi c'est ici que toutes les stratégies sont adoptées ainsi que tous les recrutements et toutes les alliances. Un hurlement nous fit sursauter, puis le silence revient rapidement comme pour effacer ce que nous venons d'entendre.
-Reprends contenance Théa, il ne faut pas que tu montres tes émotions. Il faut que la mort et la torture ne soit que futilité pour toi si tu veux être... Enfin tu vois ce que je veux dire.
Je le regardai dans les yeux et hochai la tête pour lui montrer que j'avais compris. Il me rendit mon hochement de tête avant de me demander de le suivre. Encore une fois, il me fit parcourir un dédale de couloirs et d'escaliers. Je le soupçonne de faire ça sur la demande des habitants de la demeure pour que les nouveaux ne puissent pas s'enfuir. Le problème est que j'ai commencé à me repérer grâce aux tableaux dispersés un peu partout dans le manoir. Encore une fois nous nous stoppons devant une porte blanche, mais celle-ci est vierge. C'est une simple porte, rien d'extraordinaire, mais pourtant cette porte m'attire, j'ai envie de savoir ce qu'il se cache derrière. Ma curiosité fit rire doucement mon cousin qui détendit légèrement l'atmosphère oppressante, qui nous entourait depuis que nous avions franchit le perron du Manoir Malefoy.
Blaise posa sa main sur la poignée de la porte et mon cœur recommença à s'emballer. Le temps s'était comme arrêter. Je m'inquiétais de découvrir ce qu'il y avait derrière cette porte. Peut-être est ce comme la pièce interdite comme dans le conte moldu Barbe bleue. Vais-je trouver les corps de toutes les victimes des Mangemorts ou encore des trésors de guerre ? L'inquiétude me tient au corps mais j'essaie de ne pas l'écouter. Pour la communauté sorcière je me devais d'être forte, de supprimer mes émotions et de devenir le plus froid de tous les monstres froids. Certes le philosophe moldu Nietzche parlais de l'Etat et du peuple à travers cette maxime, mais elle s'adapte à toutes les situations et celle-là mieux que les autres.
-On peut encore faire demi-tour Théa. Personne ne t'a vu entrer donc personne ne te verra sortir. Tu peux partir loin de ce qui se prépare. Tu peux même rentrer en France pour ta sécurité et celle de ta famille.
J'inspire profondément, plante mon regard bleu dans celui de mon cousin. Je me redresse, amène mes épaules en arrière, bombe mon buste et remonte ma tête de façon à paraitre hautaine, intouchable. Je ferme mon visage à toutes émotions et demande froidement au basané d'ouvrir la porte. Il me sonda pour savoir si c'était bien ce que je voulais et ouvrit la enfin la porte de façon très théâtrale. Sans hésiter, je rentrai dans la pièce d'une façon très déterminée. Face à moi, une assemblée de personnes qui devait avoir mon âge ou presque me détailla de la tête aux pieds. Certains visages m'étaient familiers du fait qu'ils étaient étudiants à Poudlard dans la maison Serpentard. Je vis Drago fendre la foule pour venir à mes côtés. Il me toucha le bras avant de se pencher pour me chuchoter quelque chose :
-J'espère pour toi que tu sais ce que tu fais Beauregard.
Je me tournai vers lui, le regarda et lui fit un sourire dont lui seul à le secret. Je suis sûre que je dois faire peur pour les personnes qui me connaissent réellement.
J'étais entouré de Blaise à ma gauche et de Drago à ma droite. Ce dernier prit la parole pour s'adresser à l'assemblée qui nous faisait face en chuchotant. Il me présenta comme une sorcière française qui s'est rendu compte trop tard que les moldus devaient être soumis aux sorciers et que les Sangs-Purs devaient contrôler la communauté sorcière. A la fin de la présentation une personne dans l'ombre pris à son tour la parole.
-Et vous le croyez ? Elle est Sang-Mêlée et son moldu de père influe sa vie comme il l'entend. Je pense qu'elle veut tout rapporter au Ministère de nos agissements. C'est pourquoi elle est là aujourd'hui. Mais on peut aussi se poser la question de la loyauté de Malefoy et Zabini s'il la ramène dans nos rangs. Si le Maitre accepte sa candidature, je vous aurais à l'œil tous les trois.
Dans sa dernière phrase la voix se plaça dans la lumière des chandeliers et là, je la reconnue. Elle n'a pas tant changé que ça en six mois. Elle avait toujours ses cheveux noirs et lisses coupés dans un carré plongeant et ses yeux marrons presque noirs me lançaient des éclairs. Elle est encore plus terrifiante dans ce paysage que quand je la connaissais à Beauxbâtons. Son sang de Vélane faisait de sa beauté une œuvre d'art. Elle a toujours fait tourner des têtes et est extrêmement fière de l'effet qu'elle fait aux hommes. Mais ce que personne ne sait, sauf une poignée de personne à avoir découvert son secret, comme moi, c'est qu'une malédiction touche tous les enfants du comte originel de Gévaudan. Personne n'était au courant de cette malédiction jusqu'à ce que l'un de ces ancêtres légèrement fou ait fait quelques meurtres dans le monde moldu au XVIIIème siècle. Ce dernier a reçu le titre bien connu de tous, celui de Bête du Gévaudan. Ils sont tous des loups-garous de naissance, même elle n'a pas échappé à son destin. Elle a été ma meilleure amie durant presque toute ma scolarité dans l'institut de magie français. Après sa trahison je ne pensais jamais la revoir, mais le destin en a décidé autrement.
-Ludivine de Gévaudan.
-Théa Beauregard.
Notre échange était froid, voir même glacial. Elle a toujours su donner de la distance à cause de son éducation. En France, les titres sorciers existent encore. Un peu comme un monde parallèle, les duchés et autres terres sont sous le pouvoir d'une famille moldue et sorcière, sauf que les moldus ne savent rien du monde sorcier. Ludivine est la fille aînée du Comte et de la Comtesse de Gévaudan et elle héritera de ce titre à son mariage. A Beauxbâtons j'ai pu rencontrer des futurs duc, duchesse, comte, comtesse, baron, marquis ou encore vicomte. Elle en faisait partie.
-Que fais-tu loin de chez toi Comtesse ?
-Je suis venue réclamer vengeance. Tu as toujours eu ce que tu voulais, même le garçon dont j'étais secrètement amoureuse. Tu ne peux pas savoir comment j'étais heureuse quand tu nous a surpris. Malheureusement il est toujours amoureux de toi. Il a donc décidé d'intégrer Poudlard pour te retrouver. Et moi, encore une fois je passais en second plan, mais cela va changer Beauregard. Je vais récupérer Joachim et te détruire par la même occasion. Quel belle opportunité que tu t'offres à moi sur un plateau d'argent.
Je la regardai dédaigneusement, ce qui la fit taire. Je voulu lui prouver ma bonne foi mais le grincement de la porte me fit me retourner. Deux personnes rentrèrent dans la pièce. La première n'était autre que le père de Drago, toujours égal à lui-même. La seconde était une femme de taille moyenne habillée d'une robe noir moulante avec en traine de tulle qui flottait derrière elle. Ses cheveux bruns étaient très bouclés et ramené en demi-chignon. Ses gestes étaient saccadés et ses yeux regardaient partout comme emprunt de folie.
-Le Maître va bientôt venir vous voir, je vous demande de lui faire honneur, dit platoniquement Malefoy père.
Drago me tira vers lui comme pour me cacher de son père. Il me chuchota que la femme aux côtés de son père est sa tante maternelle et qu'elle s'appelle Bellatrix. Cette dernière et le père de Drago se mirent de part et d'autre de la porte pour faire l'entrée solennelle de Voldemort. Peu de temps après leur arrivée, un homme entra dans la pièce où nous étions. Il était habillé d'une tunique noire qui trainait parterre et il marchait pieds nus. Il est grand, très grand et surplombait de toute sa hauteur. Il nous dévisagea un à un tout en faisant tourner sa baguette dans ses mains. Ses yeux étaient injectés de sang, ce qui accentua sa grandeur. Il n'avait encore prononcé aucun mot, mais il dégageait un charisme et une aura malfaisante. Il étincelait tel un soleil sans lumière et sans chaleur. Tout à coup il se stoppa et se tourna violemment vers nous dans un bruyant mouvement de cape.
-Mes chers enfants. Aujourd'hui est un jour particulier car aujourd'hui est une nouvelle année. Année qui je l'espère sera la dernière de Harry Potter. C'est pourquoi je vous ai convoqués. Mes chers élèves de Serpentard, je veux de vous un comportement digne de moi. Je veux que vous créiez l'Enfer à Poudlard, je veux voir les professeurs abdiquer. Je veux cette école et plus que tout, la mort du vieux fou de Dumbledore et d'Harry Potter. Mais avant tout, je vais demander aux jeunes émissaires français de recruter le plus de monde partisans de nos idées en France. Nous avons besoin de gonfler nos rangs et quoi de mieux de faire appelle à la jeunesse qui portera le monde sur ses épaules dans quelques années. Ce sera tout, vous pouvez rentrer chez vous et commencez à célébrer notre future victoire.
Puis il se tourna dos à nous pour partir comme il était arrivé. Drago m'empoigna la main pour me forcer à le suivre rapidement.
-Maître.
Ce dernier se stoppa dans sa marche, sans pour autant se retourner.
-Maître, laissez-moi vous introduire, Théa Beauregard, étudiante à Serpentard, d'origine Sang-mêlée. Elle vit en France avec ses parents et depuis qu'elle est à Poudlard, elle s'est rendu compte du bourrage de crane que lui faisait son parent moldu quand elle était avec lui. Elle aimerait intégrer les rangs.
Enfin il se tournait vers nous pour mieux détailler la demande de l'héritier Malefoy. Puis son regard rouge se porta sur ma personne. Mais rien, aucuns sentiments ne transparaissaient sur mon visage. J'étais calme et sereine. Il nous demanda alors de le suivre jusqu'au salon d'hiver du manoir et pour la seconde fois de la soirée, je me trouvais devant la porte blanche finement sculptée. Il l'ouvrit et une grande pièce ouverte et chaleureuse s'offrait à moi. La cheminée était allumée et des chandeliers éclairer d'une lumière chaude la pièce.
-Je testerais ta loyauté sur le terrain, pour le moment, je veux juste que nous nous battions en duel.
Lentement je me plaçais face à lui. Nous nous saluons mutuellement avant de nous tourner puis de nous mettre en garde. Le premier sort fusa rapidement, c'était un experliamus lancé par mon adversaire qui réussi sans mal à me désarmer. Il m'ordonna d'aller chercher ma baguette. Le bois d'olivier me réconforta et fit appel à ma magie primitive pour me défendre en cas de besoin absolue. Un second sort fut jeter, mais cette fois sur la défensive, je lançais un protego. Puis tout s'accéléra, du rouge, du violet, du bleu éclairait le salon. Du coin de l'œil je pu observer que mon cousin avait rejoint Drago. Je me fis violence pour ne pas utiliser la magie primitive pour me défendre convenablement, mais il fallait qu'il me croit faible. Il fallait que pense que je lui suis parfaitement soumise, et pour la seconde fois il me désarma. Un rictus mauvais se forma sur ses lèvres.
-On va arrêter ici ton acharnement, cependant, je peux affirmer que tu sais te battre et que tu ne te décourage pas si facilement. J'aime cet état d'esprit chez mes fidèles. Je te félicite pour cette première étape, passons à la seconde veux-tu ?
Il appela un certain Greyback qui arriva très rapidement, à croire qu'il était au perron de la porte du salon d'hiver. Ce dernier, qui était aussi haut que large, n'était fait que de muscle. Son nom ne m'était pas inconnu car régulièrement le journal quotidien français relatait les victimes des Mangemorts et à plusieurs reprises j'ai pu voir son nom quand les victimes étaient des enfants. Selon la rumeur française, il serait un loup-garou. Il tenait dans une de ses puissantes mains, une frêle jeune fille à peine plus âgée que moi. Elle semblait terrifiée. Ses vêtements étaient déchirés et du sang séché tachait sa chemise et son pantalon.
-A toi l'honneur Théa. Je veux que tu la torture pour au final la tuée. Tu connais les sorts au moins ?
Je déglutissais péniblement avant d'hocher la tête. Greyback la balança à mes pieds comme un bout de chiffon.
-S'il vous plait, je vous en pris, aidez-moi, implora-t-elle.
Je fermai les yeux un court instant pour reprendre contenance. Je devais pour ma propre sécurité jouer le jeu même si cela me déplaisait fortement. Je croisais son regard émeraude larmoyant, il fallait que mon cœur soit aussi dure que la pierre, il fallait que je me ferme à toutes émotions, il fallait que je lui que je pouvais rentrer dans ses rangs. Alors je levais ma baguette une première fois.
-Endoloris.
Puis une seconde fois.
-Endoloris.
Les cris résonnaient dans ma tête. Les hurlements de cette jeune fille résonnaient dans le Manoir Malefoy. Je levais ma baguette encore et encore pour toujours lancer le même sort. Mais je m'arrêtais pour voir si elle était en vie. Je me rapprochais d'elle. Elle gémissait. Elle pleurait. Elle murmurait de l'aide.
-Désolée, murmurais-je plus à moi-même qu'à la fille recroquevillée à mes pieds.
Je pointais de nouveau ma baguette sur son corps qui était tendu, attendant de recevoir un énième sort doloris. Mais ce ne fut pas le cas. Je m'apprêtais à faire pire que lancer des doloris. J'allais donner volontairement la mort à quelqu'un comme seul Dieu peut le faire.
-Avada kedavra !
La lumière verte éclaira la pièce entière projetant les ombres des personnes qui observaient le spectacle. Mon sort était sans émotion, froid, très calculé dans un sens. J'étais là, devant le corps sans vie d'une jeune fille qui allait manquer à sa famille et à ses amis. J'étais là, en face de la mort elle-même, en face de mon avenir. Je me fis violence pour me retourner face au Seigneur des Ténèbres, m'incliner devant lui en attendant une quelconque remarque de sa part.
-Ton bras gauche, me dit-il sèchement.
Sans trop poser de question je le lui tendis. Il releva la manche de ma combinaison jusqu'à hauteur du coude avant de pointer sa baguette à l'intérieur de mon avant-bras. Il psalmodia une formule incompréhensible et mon bras commençait à me faire souffrir. Une douleur intense se répandait dans tout mon membre gauche. La douleur était cuisante et je ne pu m'empêcher de réprimer un grognement animal. Je fermais les yeux, serrais les dents pour essayer de faire passer l'intense douleur que me procurait le sort. Puis tout à coup la tension se libéra et je n'avais plus mal du tout. Curieuse je regardais mon avant-bras et l'étonnement me saisi. La marque des ténèbres me sauta aux yeux. Elle se mouvait lentement, comme vivante sur ma peau diaphane. Sous mes doigts je pouvais sentir les lignes du serpent comme s'il glissait sur mon corps.
-Considère cette marque comme un don, un cadeau que je te fais, gage de ma confiance la plus totale. Tu peux disposer maintenant.
Hébétée, je ne pouvais pas bouger, c'est donc Drago qui me récupéra pour sortir du salon d'hiver. Plus rapidement que prévu nous étions dehors. J'avais toujours la manche de relevée et le froid du 1er janvier 1998 me fit frissonner, tout en me faisant reprendre mes esprits. Rageusement j'abaissais la manche de ma combinaison, puis me tourna vers mon cousin.
-Maintenant c'est à toi de jouer Blaise. Je veux que tu nous fasses transplaner tous les trois.
-Je veux bien mais où ? je ne connais peut être pas l'endroit, je pense qu'il faudrait que tu fasse le transplanage d'escort.
Je lui tendis alors un bout de papier chiffonné qui était dans une de mes poches. Dessus il y avait une adresse qui a été griffonnée à la va-vite par un Gryffondor à lunettes. Quand il lu l'adresse, il me fixa de ses yeux surpris.
-Je pense que tu connais mieux l'endroit que moi.
Il fit brûler le bout de papier que je lui avais donné puis nous invita Drago et moi à prendre ses mains pour effectuer le transplanage. Arrivés à destination, nous étions dans un parc face à plusieurs bâtisses.
-Euh, excusez-moi, mais on est où là, nous demanda Drago tout en suivant Blaise
-12 square Grimmauld, maison de la famille Black, ou plus précisément les quartiers de l'Ordre du Phoenix.
Mon cousin entra sans frapper, il se présenta en criant et une femme rousse apparu face à nous.
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Bonjoir,
Cela fait presque un mois que je n'ai pas publié et je m'en excuse, mais vous en connaissez l'excuse :)
J'attends avec impatience vos réactions car ce chapitre est très important pour la suite des évènements. Nous sommes à peu près à la moitié de la fiction !
Que pensez vous du nouveau personnage Ludivine ? Et Blaise ? Drago ?
Qu'attendez-vous pour la suite ?
Des bisous
Cp
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