Chapitre 14


Voilà maintenant deux semaines que Drago et moi appliquons l'idée farfelue de mon cousin pour démontrer à Joachim que je n'éprouve plus rien pour lui. Cependant, ces deux semaines ont été rythmées d'entrainements en vue du match de quidditch opposant ma maison à celle de Godric Gryffondor, et de séances de l'AD. Les élèves se débrouillent de mieux en mieux pour contrôler leur magie primitive et certains la contrôle parfaitement et j'en suis extrêmement fière car je ne pensais pas être aussi pédagogue. Néanmoins, une ombre vient assombrir ce parfait tableau ; Voldemort est toujours très actif et cherche toujours à entrer dans le château. Nous, élèves de Poudlard, devons être heureux d'étudier dans cette prestigieuse école, mais la vérité est tout autre. Nous craignons pour nos vies, oui, nous avons peur, même si nous ne le montrons pas forcément, pour ne pas inquiéter les plus jeunes que nous. Tous les jours, les professeurs renforcent les barrières de protection autour de l'école qui subissent des attaques nocturnes. La Gazette du Sorcier récence de plus en plus d'attaque visant les familles de moldus et de né-moldu et le quotidien français ne cesse de dénigrer le travail du Ministère de la Magie britannique qui a subi plusieurs invasions. Régulièrement je donne des nouvelles à mes parents qui s'inquiètent et régulièrement je dédramatise la situation pour éviter qu'il se fasse du mauvais sang pour rien et qu'ils me demandent de revenir en France. L'étau du Seigneur des Ténèbres se resserre autour de l'école et l'ambiance se fait plus pesante dans les couloirs.

Malgré cette situation, nous essayons de rester positifs même si cela n'est pas facile tous les jours, surtout quand la Gazette rapporte des faits meurtriers. Ces deux semaines écoulées depuis l'altercation que j'ai eu dans les couloirs avec Joachim ont permis aux élèves de penser à autre chose qu'à Voldemort. Joachim, Drago et moi-même sommes une sorte de nouvelle attraction qui divertit les élèves et les commentaires vont de bon train. A plusieurs reprises j'ai eu des discussions mouvementées avec Hermione et Ginny qui voulaient en savoir plus sur ma relation avec Drago, mais à chaque fois j'ai dévié le sujet pour parler du lien qu'il y avait entre Hermione et mon cousin. Et à chaque fois la brune rougissait fortement, elle nous rabâchait à Ginny et moi qu'ils étaient en quelque sorte des amis mais qu'il n'y aurait pas plus entre eux. Je reste sceptique sur ce point là, car je sais que, quand mon cousin veut quelque chose, il l'obtient. C'est aussi durant ces discussions qu'Hermione m'a suppliée à plusieurs reprises de l'accompagner au match de quidditch, et plus précisément dans les gradins de sa maison, à chaque fois j'ai refusé, car l'amitié entre nos deux maisons est mal vu, en fait, c'est Blaise qui n'a pas voulu m'accompagner dans la gueule des lions.

Alors que je sortais de l'école pour rejoindre le terrain de quidditch, je fis un nœud avec mon écharpe pour me protéger du froid britannique, qui se faisait de plus en plus glacial. Les élèves se plaignaient car la neige n'avait pas encore recouvert le parc de l'école alors que les années précédentes, un manteau neigeux recouvrait l'école depuis un bon moment. Mais il ne suffit pas qu'il neige pour qu'il fasse froid. Parfois je regrette Beauxbâtons, et le sud de la France, je regrette le chant des grillons qui dure jusqu'à tard la nuit et le soleil qui éclaire les murs blancs de l'école. Mais ce qui me manque le plus est de parler ma langue maternelle, le français, je suis bilingue certes, mais j'aime la sonorité de la langue de Molière à mes oreilles. Pendant que je divaguais, je ne me rendis pas compte que j'étais déjà arrivée aux vestiaires du terrain. Le vestiaire attribué à ma maison était moins bruyante que celle de l'équipe adverse. Inquiète, me m'engouffra dans la pièce faite de bois sentant la transpiration et le produit pour entretenir les balais, à ce moment une vague de protestations m'arriva aux oreilles. Charmant. J'ai été obligée de m'excuser auprès d'un des chiens de garde de Malefoy.

La tête haute, je me plaçais au centre de la pièce pour laisser les joueurs m'encercler comme je le voulais pour que je puisse mieux les détailler. Le vert contrastait avec la couleur du bois, chaque joueurs avaient leur tenue cependant Malefoy semblait être perplexe de ma venue ici et son regard me détailla de la tête aux pieds, cependant, je me détournai rapidement de lui pour faire un discours d'encouragement à l'équipe.

-Bon, aujourd'hui est un jour important car c'est le match contre Gryffondor et les élèves veulent plus de spectacle qu'offre normalement un match de quidditch. Montrez leur à quoi ont servi vos entrainements, montrez leur que la victoire contre Serdaigle n'était pas un coup de chance. Je veux de la hargne, je veux de la gloire et surtout je veux vous voir prendre du plaisir à jouer car ça, c'est primordial. Chacun votre tour vous avez expérimenté les différents postes du jeu, vous pouvez donc connaitre les réflexes qu'ont vos adversaires. Vos connaissez les feintes des batteurs, des attrapeurs et des poursuiveurs, nous les avons toutes étudiées. Grabbe, Goyle, je ne veux aucune pitié sur ces lionceaux, les poursuiveurs, je veux que vous mettiez le plus de point possible pour que même si les Gryffons attrapent le vif, nous gagnons le match. Pour les autres vous connaissez votre rôles, je n'ai pas besoin de vous le rappeler. Je veux que vous me bouffiez ces lions, je veux que vous m'en fassiez de la pâté pour hippogriffe, compris, dis-je fermement.

Un « oui » puissant se fit entendre de la part de mes joueurs. Ravie, malgré la phrase déroutante du capitaine sur mes amis, je scandais notre cri de guerre pour leur donner la force de continuer et de ne rien lâcher. La victoire devait être à nous, de plus, tôt ce matin, le professeur Rogue est venu me voir pour me demander de faire gagner les Serpentards aujourd'hui, mais aussi de reprendre de droit la coupe de quidditch qui a trop longtemps prit la poussière dans le bureau du professeur McGonagall. Alors que les verts et argents quittaient les vestiaires remplis de fierté, je m'avançais vers Drago pour continuer notre petit jeu. Il fallait que je sois convaincante, comme à chaque fois, il fallait que je sois séduite par ce blond imbu de lui-même, il fallait que je sois amoureuse d'un mangemort, mon cousin ne cessait de me répéter que j'étais une bonne actrice moldue. Lorsque je sentis les bras de Malefoy autour de mon corps, je me rappelais soudain pourquoi je m'étais avancée vers lui. Cependant, lui ne semblait pas à l'aise alors pour le détendre je l'embrassai sur la joue.

-Ouh les amoureux, rigolèrent l'équipe dans mon dos.

Cette phrase me fit rougir sans que je sache pourquoi, alors en vitesse pour éviter les regards portés sur ma personne, je lui offris le bracelet que j'avais acheté dans une bijouterie à Pré-au-Lard le week-end dernier. Le vendeur m'avait assuré que le cuir de dragon tressé donnait de la chance à la personne qui le portait. Je persiste à dire que cet homme est un charlatan, mais bon il faut avoir de petites attentions envers son « petit-ami ». Une fois cela fait, je me dirigeais vers la tribune de ma maison pour encourager mon équipe. Normalement Blaise m'a conservé une place à ses côtés, mais le problème est que les gradins sont remplis d'étudiants en ébullition face à un match qui promet d'être grandiose.

Mon équipe est en train de faire leur échauffement quand la professeure de vol appela les deux équipes pour siffler le coup d'envoi. Le spectacle devant mes yeux était magnifique et mon cousin est juste ébahi de voir la progression des joueurs grâce aux entrainements. Le seul bémol de ce jeux est que Harry est recruté Joachim pour remplacer un de ces batteurs. J'espère vraiment que le match va bien se passer car je sais qu'il est mauvais joueur et qu'il peut être impulsif à certains moments, surtout quand le jeu ne tourne pas en sa faveur. C'est à cause de cela, qu'il est un très bon batteur. Des points sont accordés dans les deux maisons, les cognards fusent et frôlent de près mes poursuiveurs. Je suis parfaitement concentrée sur le match et sur le jeu des adversaires. Luna annonce que de nouveaux points sont attribués à Gryffondor qui resserre l'écart avec Serpentard. Je repère Malefoy pour savoir s'il rempli bien son rôle.

Celui-ci est perché sur on balai, le plus haut possible du terrain pour avoir une meilleure vue, comme je lui avait conseillé. Cependant, des hurlements dans les tribunes me font lâcher mon meilleur atout des yeux. Les Poufsouffles s'agitent dans tous les sens, et un éclat doré se dirige vers nos gradins. Je fixe clairement le Vif qui se trouve devant mes yeux. A mes côtés, Blaise souffle d'admiration envers cette petite balle convoitée par deux des quatorze joueurs de ce match. Au loin, j'observe Drago qui se place correctement pour ne pas effrayer le Vif et pour pouvoir l'attraper, cependant, Harry se dirige rapidement vers moi. Toujours silencieuse, je ne fais aucun bruit et aucun mouvement pour éviter de faire fuir l'objet tant convoité et qui pourra mettre fin au match qui dure depuis maintenant deux bonnes heures. Un vent violent me fit fermer les yeux et en les ouvrants je vis que Malefoy avait attrapé le Vif d'or.

La joie explosa du côté de ma maison, Blaise me sauta littéralement dessus pour me prendre dans ses bras et me soulever dans les airs. Un sourire franc étirait ses lèvres et la fierté brillait dans ses yeux.

-Tu as été formidable, tu as vraiment fait du bon travail avec eux, hurla-t-il à mon oreille pour recouvrir le brouhaha autour de nous.

Je le remerciais et répondis à son sourire contagieux. Ils l'ont fait, ils ont gagné le match le plus important de l'année. Un cri de stupeur stoppa la joie de ma maison. Un cognard frappé par un batteur de Gryffondor fila vers Drago qui observait l'objet dans sa main. Avant même d'avoir dit « quidditch », il chuta de son balai et tomba lourdement au sol dont sa chute à été amortie au dernier moment par le directeur de l'école. Un vent de panique souffla sur les tribunes maintenant silencieuse, en attendant la réaction des professeurs et aussi la mienne.

Je fixais le batteur de l'équipe adverse d'un regard assassin. Une colère noire monta en moi. Je ne fais plus attention au personne qui m'entoure, seul lui compte à présent. J'utilisais ma magie primitive pour amener le joueur en face de moi. Sans que celui-ci ne contrôle son balai, il était déjà devant les gradins de ma maison, face à moi. Son sourire s'effaça quand ses yeux noirs rencontrèrent les miens. Je le fusillais du regard, j'avais du mal à contenir ma colère, mes poings serrés me faisaient souffrir mais je m'en moquais. Voyant ma rage, le batteur se dandinait sur son balai dont il n'avait plus le contrôle. Dans un geste que j'essayais de retenir, mon poing fermé s'abattit sur son visage et un bruit de nez cassé se fit entendre à mes oreilles. Il réprima un cri de douleur qui me fit plaisir.

-Ça, c'est pour Drago, dis-je férocement.

-Mais tu es complètement folle ma parole, grogna le rouge et or en tenant son nez cassé et ensanglanté.

-Si je me souviens bien mon amour, la dernière fois que je t'ai fais ça, tu semblais apprécier, et si mes souvenirs sont exacts, juste après nous l'avons fait dans une salle de classe vide, rigolais-je.

Joachim ne savais plus quoi répondre après cette humiliation. Je lâchai alors la pression que j'exerçais sur son balai et il eu du mal à le contrôler pour atterrir et rejoindre ces coéquipiers.

Déjà autour du corps inanimé de Malefoy, les professeurs et l'infirmière s'activaient. Cette dernière le transporta en urgence à l'infirmerie. Blaise et moi-même descendions les escaliers des tribunes à toute allure pour le rejoindre. A plusieurs reprises, je glissais dans les marches en bois et manquait de me blesser. Blaise qui était plus endurant que moi et qui aussi avait de plus grandes jambes que moi, me devançais largement mais me demanda de me presser quand il franchit les portes de l'école.

Des escaliers et des couloirs. Toujours courir plus vite. Essoufflée et épuisée je m'arrêtai brusquement devant les lourdes portes de l'infirmerie. A présent, je ne savais plus quoi faire. Franchir ou non les portes. Mon cousin prit la décision à ma place et s'engouffra dans la pièce. Timidement, je le suivis. Il appela l'infirmière qui arriva à sa hauteur.

-Comment va-t-il ?

-Il est vraiment mal en point, tous les ans j'ai des blessés à cause de ce sport, je pense qu'il est temps qu'Albus cesse les matchs de quidditch. Enfin bref, il a plusieurs côtes de cassées et il a un magnifique traumatisme crânien, j'ai fais mon maximum, maintenant, c'est à lui de faire le reste. J'espère seulement qu'il sera sur pied pour les vacances de Noël, dit madame Pomfresh sur un ton las.

-Merci madame.

-Est-ce qu'on peut aller le voir, demandais-je.

-Bien sûr, mais ne rester pas trop longtemps les enfants.

Blaise se dirigea d'instinct vers le lit avec le malade alors que moi je restais en retrait. Il ne dit rien de plus et reparti doucement. Ne comprenant pas sa réaction je l'interrogeais du regard.

-Tu as entendu l'infirmière, on ne peut rien faire, donc cela ne sert à rien de rester des heures à son chevet, en revanche, je reviendrais tous les jours pour prendre de ses nouvelles et pour lui apporter ses devoirs s'il se réveille entre-temps.

Il se détourna de moi avec un visage grave. Seule, debout dans la pièce où en face de moi était alité Drago. Doucement je m'approchais de lui et m'asseyais sur la chaise près de son lit de malade. Il semblait plus pâle qu'à son habitude et ses cheveux blonds retombaient sur l'oreiller blanc tel un halo. Il avait été dévêtit de sa tenue pour n'être qu'en pyjama, enfin cela me semblait être un pyjama. Je ne sais pas combien de temps je suis restée là, à le contempler en espérant qu'il ouvre ses yeux, mais quand je relevais les yeux pour regarder dehors, je pu apercevoir qu'il faisait déjà nuit et qu'il était temps pour moi de rejoindre mon dortoir, malgré le fait que je n'avais pas mangé, mais je n'avais pas faim. En me relevant de l'inconfortable chaise, je lui pris la main et l'embrassa sur le front. Je ne compris pas mon geste, mais il me semblait naturel de faire cela.

D'un pas incertain je le quittais, lui et cette atmosphère froide. La mort dans l'âme je rejoignis difficilement ma salle commune et mon lit. Dans mon dortoir j'étais seule, complètement seule. Pas de Drago pour me souhaiter une bonne nuit ou pour me déranger pendant que je me lave les dents. Personne. Seule je me couchai, seule je me réveillerai demain. Aucun bruit ne se faisait entendre alors que d'habitude, le souffle régulier de Drago me permettait de dormir, mais là, non, Morphée ne veut pas de moi. Parfait, je vais alors trainer dans les couloirs pour m'épuiser et dormir un peu plus tard.

Je pris alors le plaid qui était au pied de mon lit, le mit sur mes épaules et sortis des cachots, direction la tour d'astronomie. Toujours en silence et seulement éclairé d'un sort de lumière je déambulais dans les couloirs de l'école. Connaissant le tour de garde de Rusard et de sa chatte, je les évitais facilement. Arrivée à la tour d'astronomie, je vis que quelqu'un était appuyé à la rambarde et regardait les étoiles.

-Toi non plus tu n'arrive pas à dormir, le questionnais-je.

La personne, surprise, se tourna vers moi. Le clair de lune éclairait son visage. Il me sourit quand il me reconnu.

-J'aime bien venir ici pour me détendre car la salle commune est parfois trop bruyante, surtout que les filles parlent de garçons, rigola Théodore.

Je m'approchais de lui et posa mes coudes sur la rambarde pour mieux observer le ciel. Je resserrais le plaid autour de mon corps pour éviter que le froid ne s'immisce dessous et que je sois malade pour les vacances.

-On n'a pas eu trop le temps de se parler depuis que tu es en couple avec le prince, dis-moi comment cela se passe entre vous ?

-Bien.

-C'est tout ?

-Que veux-tu que je te dise de plus ? Que je l'aime ? Et bien c'est faux, je ne l'aime pas, je ne suis pas amoureuse, c'est juste une idée de mon stupide cousin pour que mon ex me lâche, pour que mon ex comprenne que je ne veux plus de lui.

-D'accord, je m'attendais à tout sauf à ça, murmura-t-il.

-Promets-moi de ne le dire à personne, je veux dire, on a fait semblant pendant deux semaines et avec ce qui s'est passé, je vais encore devoir faire semblant pendant un petit moment encore.

Alors que je me confiais à Théodore sur tout ce qu'il se passait dans ma vie durant ces deux dernières semaines, je lui pris sa cigarette qu'il venait d'allumer. Je tirais sur cette dernière et la nicotine empli mes poumons. Alors que je recrachais la fumée, je ne pu m'empêcher de penser à Drago et à ses changements de comportement depuis cette histoire de faux-couple. Cette nuit, les étoiles ne m'ont pas aiguillée sur le chemin à prendre pour la suite des évènements, elles n'ont pas répondu à mes questions.

-Il commence à se faire vraiment tard, il faut que l'on retourne aux dortoirs Théa.

-Je te suis.

Nous descendions les escaliers de la tour pour rejoindre notre salle commune.

-Théodore, j'aimerai que tu dormes avec moi, enfaite, j'ai jamais aimé dormir seule et comme Drago est à l'infirmerie, mais juste en ami, enfin tu vois.

Je me perdais dans mes explications mais en le regardant je vis qu'il avait compris ma requête et je l'en remercie silencieusement.

En se dirigeant vers mon dortoir, une idée me vient à l'esprit.

-Théodore, j'aimerai savoir si tu as déjà une cavalière pour le bal de Noël ?

-Euh, non, pas encore, pourquoi ?

-Alors voilà, Drago vers sûrement rester à l'infirmerie jusqu'aux vacances et donc il sera dans l'incapacité de m'accompagner alors peut-être que l'on pourrait y aller en tant qu'ami ?

-Et bien ce sera avec plaisir, et puis comme ça on ne sera pas obligé de s'embrasser sous la branche de gui, rigola-t-il.

Je lui rendis son sourire, c'était vraiment plaisant de parler avec lui, c'est comme s'il nous comprenait alors que tout ce chamboule dans nos vies. Alors que je me couchais dans mon lit et que Théodore prenait place dans celui de Drago, une question s'imposait à moi : veux-je vraiment arrêter ce faux-couple ?

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Bonjoir (j'ai piqué l'expression d'un ami qui dit ça pour dire à la fois bonjour et bonsoir) !

Tout d'abord, je voulais remercier Z-Smiley pour la couverture, elle est vraiment magnifique :)

Bon alors voilà, le Père Noël est passé chez moi en avance et a déposé sous le sapin le nouveau chapitre alors j'espère qu'il va vous plaire

N'hésitez pas à voter et à commenter, de plus, je vous souhaite un JOYEUX NOËL !

Cp

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