chapitre 25

non corrigé


un coup de vengeance

point de vue Clément 

Je quitte le lycée et m'engage dans la rue en marchant d'un pas rapide, une idée précise derrière la tête, s'il croit qu'il va s'en sortir indemne de cette histoire, et bien il c'est fourré le doigt dans l'oeil.

Je sais que je vais m'en prendre plein la gueule par après, mais je prends le risque, quand on me cherche on me trouve, et qu'il s'estime heureux que je ne sois pas venu lui refaire sa tête au carré avant.

Si il n'y avait pas Fabien Alvin serait déjà dans un lit d'hôpital avec le visage tuméfié, mais voilà je tiens trop ah mon petit Fabien pour risqué de le perdre, mais la il a voulu s'en prendre à moi, et pas seulement à mon ami.

Donc j'ai une raison d'aller lui rendre une visite, même si pour ça je dois mentir et sécher les cours, mais vaut mieux éviter que Fabien le sache, je lui expliquerais tout ce soir, je ne compte pas lui cacher de tout façon.

J'ai vraiment trop la haine pour fermer les yeux, c'est vrai après tout, j'ai baisser ma garde et j'ai laissé ce merdeux devenir un "ami", il ne l'a jamais été, soyons clair, il était juste l'ami de mon ami.

Et en tant que tel il aura du lui dire ce qu'il ressentait et ne pas chercher à nuire à la réputation de son ami, il est un piètre ami, je plains ceux qui n'ont pas ouvert les yeux sur l'horrible égoïste qu'il est.

Je rejoins l'école d'Alvin sachant qu'il finisse un peu après nous à midi, je me planque dans un abris bus avec ma capuche sur la tête, juste ne face du portail par ou sorte les élèves.

Je n'ai pas attendu longtemps avant de voir les étudiants sortir, et parmi eux ce trouve ma proie que je repère rapidement, faut dire qu'il est assez grand le gus.

Il n'est pas seul, je vais devoir attendre qu'il soit accessible, sinon bah je foncerais dans le tas, peut-être que ses amis ne s'en mêleront pas.

Ils avancent en direction du parc, ils ne sont  que 2 à présent, une partie du groupe est rentré dans un snack, c'est parfait, je les suis donc jusqu'à ce qu'il s'installe.

je m'approche d'eux sans pour autant me dévoilé, dois-je vraiment le faire, je ne veux pas foutre ma relation avec Fabien dans la merde pour ça,mais ne même temps si personne ne  lui fait comprendre qu'il n'a pas à faire ça, il continuera.

Et je ne veux pas qu'il s'en prenne encore à mes amis, car Lucas lui l'est, bien que je n'avais pas confiance en  lui au début, j'ai réalisé qu'il  était plus attentionné qu'il ne le laisse paraître.

je viens me poster devant Alvin en me raclant la gorge pour signaler ma présence.

-Bon mon chère Alvin.., j'ai certaine chose à te dire, alors ouvre bien tes grandes oreilles d'accord, commencé sur un ton sec et méprisant.

-De quoi veux-tu me...

- Ah oui et aussi ta gueule, c'est moi qui parle toi tu écoutes et intègre, je ne vais pas parler trop vite, j'ai pas envie de me répéter car tu es trop con pour assimiler ce qu'on te dit rapidement, dis-je de façon sarcastiques avec un regard de dégoût pour sa personne.

- Pour commencer Fabien ne t'aime pas, c'est pas sa faute, mais sûrement la tienne, alors arrête d'essayer de me faire des coups de putes pour que je  m'en éloigne. Car soyons honnête, tu es trop égoïste 

Il baisse la tête tandis que je continue un sourire satisfait sur le visage, il est si docile, c'est pas croyable comme il n'a pas les couilles de se défendre.

-Lydia nous à dit pour la photo que tu as fait affiché dans notre lycée, franchement ça n'a rien changé à ta vie, mais merci, ça nous à rapprocher encore plus, nous sommes soudé comme jamais.

-Pourquoi tu lui parle comme chien merdeux, s'emporte le pote d'Alvin.

-Le matou rentre tes griffes, tu fais pas le poids contre moi, puis regarde le, dis-je ne montrant Alvin, il a la queue entre les jambes et obéit comme une petite pute à son maître, à mais je comprends c,'est ta pute, hésite pas sur les coups de fouet dans ce cas, me moqué-je de lui.

Il tente de me mettre une droite mais je bloque son coup avec mon avant bras.

-Tu fais pas le poids j'ai dit alors assit,je suis l'alpha la, dis-je pour lui faire comprendre qu'il doit faire ce que je dis.

- Sérieusement Alvin reprend toi, car un ami comme Fabien il y en a pas deux, et malheureusement tu l'as perdu.

Et merde lui parler ne m'aide pas, j'ai toujours envie de lui faire mordre la poussière.

.Tu as quoi as dire pour ta défense, dis-moi, demandé-je curieux.

Il redresse la tête et me regarde avant de me répondre.

-Je n'ai rien fait de tout ça, Lydia vous à manipulé, j'y suis pour rien, dit-il alors que je vois rouge.

Je viens l'empoigner et le colle violemment son dos contre un arbres.

. Ah oui tu n'as rien fait, bah moi non plus je ne vais rien faire vois-tu, dis-je alors que je vois ses yeux apeurés montrer un signe de soulagement.

Je viens donner un coup de poing violent dans son ventre, il se plie en deux à cause de la douleur et tousse fortement.

- Quoi tu as mal, pourtant je ne t'ai rien fait, dis-je de façon à me moquer de lui.

Je lui fous une droite dans la gueule, j'ai du frapper plus fort que je le pensais, car sa lèvres est fendu, il se plaint de la douleur mais ne cherche pas à se défendre.

Je vais pour lui mettre un autre coup quand je sens qu'on me tire en arrière et qu'on me fait tomber à terre.

C'est son pote qui m'a attaqué comme un lâche, décidément ils sont fait pour s'entendre ses deux là.

-Tu vas le regretter dis-je alors qu'il me donne un violent coup de pied dans le torse que je n'arrive pas à esquiver, je fais une grimace suite à la douleur mais tente de ne pas montrer celle-ci.

Je réussis à me relever et il se jette sur moi pour me mettre une droite que j'encaisse afin de bloquer son coup suivant plus facilement, profitant de sa soudaine confiance en lui pour le surprendre dans un geste rapide.

-Ne tente plus rien ou tu vas avoir mal, le menacé-je ne le jetant à terre, quand à toi Alvin tu n'as toujours rien fait? lui redemandé-je d'un ton menaçant.

Il me regarde hésitant à répondre, je le fixe d'un regard noir et il finit par répondre.

-J'ai.. je suis  pas innocent, finit-il par dire apeuré.

-Mais c'est qu'il a enfin retrouver ses couilles, je pensais qu'on te les avaient coupés, riais-je en attrapant ses cheveux et en tirant dessus, bon écoute je vais te demander de ne plus approcher Fabien, et ne plus rien tenter contre nous ou tu vas le payer fort, j'ai été sympa tu n'es pas encore trop amoché, mais la prochaine fois tu auras pas cette chance, dis-je ne le relâchant avant de partir et de le laisser la.

Vaut mieux que je parte car je risque de passer mes nerfs  sur lui, ça ne m'a pas calmer, et franchement j'aurais bien voulu en savoir plus sur ses raisons.

Voir si ce que Lydia à dit était vrai, car cela voudrais peut-être dire que j'ai aucune chance avec Fabien, s'il n'est pas amoureux de lui, il ne le sera surement pas de moi.

Les moments gênant entre nous se multiplie comme l'autre jour quand il c'est retrouvé nu sur moi et que mon corps à réagit, heureusement qu'il a cru a mon histoire de gaule du matin, parce que j'aurais été dans la merde, puis j'étais tellement gêner, encore plus quand il à retirer la couette qui me cachait.

J'aurais voulu disparaître et ne plus réapparaître avant plusieurs mois.

Je pense que je vais lui dire, je dois juste trouver le bon moment et l'endroit aussi, c'est pas un truc qu'on dit dans un lit ou sur le siège d'une voiture.

Le lieu doit être comme un symbole, un souvenir de ce moment, je sais c'est vachement niais, surtout quand on sait qu'il y a quelques minutes je ne pensais qu' à refaire la tronche d'un connard.

Mais Fabien me rend plus romantique, et franchement ça ne me dérange pas, car il mérite ça, et je sais que je mérite d'être avec lui, certe j'ai pas été toujours sympa mais je l'aime et je suis prêt à respecter ses choix, qu'il me plaise ou pas.

Enfin sauf quand il s'agit d'alvin, lui est à part, si je veux le frapper je le fais, enfin je ne compte pas recommencer, je crois qu'il à compris la leçon, d'ou moins je l'espère.

Je rejoins ma voiture en faisant un détour pour flâner dans les rues de la ville, j'ai pas fait ça depuis un moment et ça me manque, être seul et les écouteurs dans les oreilles avec la musique a fond.

C'est mon truc pour me détendre, car je sais que quand je vais rentrer il sera furax, et vaut mieux que  je suis calme pour gérer ce petit diable sur ressors, sinon je risque de monter le ton.

Et j'y tiens pas trop..

Après 2h de marche je retourne à ma voiture pour rentrer chez moi, je me sens détendu et relaxé, ça me fait un bien fou, je me sens moins tendu.

j'arrive rapidement à destination et me gare devant la maison, je sors de ma voiture, la verrouille et rejoins la porte d'entrer.

Je souffle un coup avant d'ouvrir la porte et de pénétré à l'intérieur.

-Je suis rentré, annoncé-je en sachant qu'il était rentré en vue de l'heure qu'il est.

























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