Harmonie : Yuki, occupe-toi du tournoi, on as besoin de moi dans l'autre monde. Le stratège militaire est mort et l'ennemi avance, je dois aller les aider. Ne fait pas dans les feux d'artifices et abrège moi ces putains de combats ! On as plus le temps pour la petite friture ! Élimine en vitesse les faiblards et fait très vite remonter le boss, fous lui la raclée de sa vie et viens me filer un coups de main.

Yuki : Fais gaffe a ne pas te faire suivre.

Azhure : Je... Je comprend pas tout.

Harmonie : Seika et Yuki sont les actuels princesses mais pas de sang, de combats. Elles sont les deux dresseuses les plus fortes mais impossible de les départager...

Yuki : C'est bon ferme là et bouge ton cul ! Sinon on va avoir du rôti d'humain ce soir !

Harmonie partit en courant.

Yuki : *se tourne vers Haya* Je peut savoir pourquoi tu as fait ça ?

Haya : Parce que j'en ai marre qu'elle me vole ce qui me revient de droit.

Yuki : De quoi ?

Haya : Je suis la seule digne de l'amour de Jun.

Yuki : Tu te pense digne de Jun ?? Non mais quelle prétentieuse. Tu as remédier a quelque chose contre son malheur quand il a perdu son premier pokemon ? Tu as soutenue Seika quand elle allait au plus mal ? Tu as fait quelque chose pour les pauvres ? Tu as détruit ne serait-ce qu'une base militaire dans l'autre monde ? As-tu seulement pénétrer l'autre monde ? Sais-tu ce qu'est un pokemon ?? Qu'est-ce que tu connais de Jun ? De Seika ? De moi ou même d'Harmonie ? Rien ! Tu n'as fait strictement RIEN de ce que j'ai énoncé ! Alors ne la ramène pas trop tout ça parce que t'as un gros cul et de gros boobs !

Elle partit sans attendre de réponse.

Maioko : Haya, elle n'a pas totalement tort

Haya: *sombre* Elles vont me le payer!

Azhure: Content de toi Sasori?

Haya: Je veut Jun et je l'aurais!

Sasori: *déconfit* Viens ma puce, on rentre.

Haya: Et tu fait rien pour Seika? Elle a quand même fuguer!

Sasori: On verra ça quand elle rentrera!

Haya: Elle mériterait une bonne gifle *plus bas* et mes crocs dans sa gorge..

Sasori: Mêle toi de tes affaires Haya.

Maioko : *souffle* Faut que je pense à dire à Seika qu'elle peut venir chez moi plus souvent.

Azhure: *chuchote a Maioko* Viens avec moi, on va voir Sato et Kiyo. Je crois savoir que Jun a une très grande complicité avec son père.

La brune hocha simplement de la tête et suivit la blonde. Azhure s'approcha de Sasori:

Azhure: On va faire une course, rentre seul et fait attention où tu marche!

Sasori : Où je marche?

Azhure: Ne bouscule personne, ne marche pas sur les pieds. *commence a partir* Euh.. *revient* Finalement, passe par les toits! *part avec Maioko*

Sasori : Vient Haya...

Au bout de dix minutes, Azhure en eut ras le cul de galéré à avancer alors elle sauta et déploya ses ailes. Contrairement à ce qu'elle pensait, cela n'étonna personne de voir une personne comme elle dans les environs. Maioko continua de se faufiler entre les personnes, et avec vitesse, comme elle aime faire. Azhure alla se poser sur un toit. Elle attendit que Maioko monte et elle continuèrent leurs chemins en marchants. Elles n'avaient plus l'âge de courir comme elles le faisait avant. Cela prit deux heures pour atteindre le domicile de Sato. Entre les détours causé par les toits, et le fait qu'il y avait un bon bout de chemin en campagne, dans la boue, à pied et à la vitesse de deux vieilles... Le trajets en fut bien allongé. C'était une belle grande maison à un étage. Le salon-salle a manger et la cuisine ainsi que des toilettes et un placard pour les produits ménager en bas. Et deux chambres, une salle de bain dans chacune d'entre elles, des toilettes dans chacune aussi et un autre placard a produit ménagés en haut.Un homme bien baraqué sortit de la maison et souris aux deux arrivantes.

Azhure : Kiyo !

Kiyo : Azhure ! Quel plaisir de vous voir toutes les deux. Entrez ! Vous voulez du café ?

Azhure : Volontiers. On vient te voir pour te parler de Jun.

Kiyo : Jun ? Il as fait une bêtise ?

Azhure : Non mais nous aimerions nous renseigner. Et ainsi savoir quel est sa relation avec Seika.

Ils rentrèrent dans la maison. Kiyo les fit asseoir au salon et leur apporta à chacune un café. Il posa le sucre en morceau sur la table ainsi que des petits gâteaux.

Kiyo : Tenez, ils sont faits maison. C'est Sato qui les as faits tout a l'heure. Elle est sous la douche, elle nous rejoindra plus tard. Expliquez moi donc pourquoi vous voulez parler de Jun. Il a fait quelque chose a Seika ? Qu'est-ce qui se passe ?

Azhure : Tu aurais entendu ton fils parler d'un... « autre monde » ?

Kiyo : Il....

Une petite créature ressemblant a un pingouin arriva en courant dans la pièce.

Kiyo : Sato est là.

La jeune femme rentra dans la pièce vêtu d'une légère robe rose, lui arrivant a mi-cuisse et marque a la taille. Elle était pied nu et se frottait les cheveux avec une petite serviette.

Sato : Désolé de mon retard.

Elle fit la bise aux deux invités et alla s'asseoir a coté de Kiyo, la créature sur les genoux.

Sato : Vous parliez de Jun non ? J'ai entendu les dernières phrases désolé.

Azhure : D'où vient cet animal ?

Sato : C'est Seika qui me l'a offert pour mon anniversaire il y a un an. C'est un Pokemon de type eau, Tiplouf.

Azhure : Donc vous êtes au courant que votre fils et Seika s'isolent dans une sorte de monde parallèle ?

Sato : Oui. Ils ne s'isolent pas, ils gèrent. Il existent divers brèches donnant sur l'autre monde. Seika en as découvert une, Jun une autre et Yuki une troisième. Bien qu'ils ne soient pas originaires de l'autre monde, ils ont vite dépassé les meilleures dresseurs de l'autre monde. Ils avaient 5 ans quand ils ont découvert la première. Ils ont rencontrer Yuki dans l'autre monde et ont appris plus tard qu'elle venait de la même ville. Qu'est-ce qui se passe ?

Les deux femmes d'une autre génération se regardèrent.

Azhure : Nous ... Pourrions voir ce.... Portail ?

Sato consulta Kiyo du regard. Même si elle décidait de beaucoup de choses dans la maison, il avait aussi sa part de responsabilité.

Kiyo : *s'appuie contre le dossier de sa chaise* Non. Jun nous as fait jurer de ne pas en parler et de ne faire emprunter ce portail a un autre humain sous aucun prétexte. Nous avons déjà bien blasphémer cette promesse en vous parlant de l'autre monde comme Sato l'a fait, nous ne trahirons pas notre fils encore plus. Mais ne lui dite rien. Et ne répétez rien. Surtout pas a Sasori.

Maioko : Pourquoi surtout pas a lui ?

La bleu jeta un regard ahuri a son mari. Elle tourna le même visage vers les deux femmes.

Sato : Est-ce que vous êtes conscientes que Sasori bat et séquestre Seika ? Pourquoi pensez vous qu'elle se tire dans l'autre monde ? Heureusement qu'elle a le don d'un de ses ancêtres.

Azhure : QUOI ??? Seika n'as pas de Don..

Kiyo : Tais-toi Sato tu en as trop dit. Si jamais ça leur échappent, nous sommes mal. Tu sais tout aussi bien que moi ce qui va se passer.

Sato : Pardon... Oubliez ce que j'ai dit.

Maioko : Non attendez...

Sato : *la coupe* Je vous demanderez de partir maintenant.

Azhure : Mais...

Kiyo : Pouvez-vous quitter cette maison ? Et ne répétez rien a personne.

Azhure : Pardon du dérangement...

Elles se levèrent et Sato les accompagna a la porte.

Sato : Je suis désolé de vous mettre ainsi a la porte. Je ne veut pas qu'il arrive quoi que ce soit a Seika. Elle à déjà bien trop donné pour sa famille, à bien trop fait pour un monde qui n'est pas le sien et à déjà bien trop souffert pour une famille non aimante. Ne vous en prenez pas à Haya, ni à Sasori... Il a fait comme il a pu.

Elle ferma la porte, un air triste collé sur le visage. Par les grandes baies vitré, elles virent Sato revenir au salon et discuter avec Kiyo. Mais leurs voix ne pouvaient traversé les murs. L'expression de Sato empira jusqu'à ce qu'elle fonde en larme. Kiyo se leva et la prit dans ses bras. Il se pencha à son niveau et parla à Sato lentement, comme pour la rassurer. Azhure se concentra et réussit à capter les sons sortant de la bouche de Kiyo.

Kiyo : Nous ne le laisseront plus toucher à Seika, nous allons demander sa garde. Tu es sa marraine, tu as le droit d'en avoir la garde.

Azhure en fut choqué et sa concentration partit en éclat. Elle tomba sur le cul. Maioko se pencha sur elle.

Maioko : Tout va bien ?

Azhure : A... Aye... Désolé... J'ai perdu l'équilibre...

Elles repartirent en ville. Mais peu désireuse de marcher, elles appelèrent un taxi dés qu'elles furent rentrer dans la ville. La voiture les arrêta devant un HLM miteux. Elles rentrèrent dedans, montèrent aux 14 ème étage (à pied comme l'ascenseur ne marche jamais). Azhure ouvrit une porte parmi les 4 de l'étage. Elle ouvrit la porte sur un petit appartement de 60 mètres carré. Azhure et Len ayant été chanteur, ce n'est pas le manque d'argent qui les faisait vivre ici. Mais ils aimaient se sentir en danger.

Azhure : LEN !!!! JE SUIS RENTRER !!! IL Y A MAIOKO !!!

Elle referma la porte derrière la brune qui s'assit comme chez elle.

Len : *revient* Alors ?

Azhure : Alors je sens que notre belle famille va bientôt partir en éclat !

Len et Maioko : QUOI !?

Azhure : Maioko, il est hors de question que Seika retourne dans sa villa. Je vais l'accueillir chez moi pendant un temps ou je demanderai à cette Harmonie de la garder avec elle.

Maioko : Je peut très bien...

Azhure : Non. Parce que le but, c'est que Sasori ne puisse plus avoir accès à elle. Et si c'est toi qui en as la garde, il pourra venir quand il veut. Il a les clés de chez toi je te rappel. Il suffit que tu t'absente deux heures et ça va partir en couille. Il peut l'enlever comme il veut. Ce que je dis dois rester dans cette pièce. Pigé ?

Len : Et puis au pire je m'en fous, faite ce qu'il vous plaît ! Je vais me coucher ! *part*

Maioko : Promis juré.

Azhure : Je devrait pas te dire ça mais Kiyo et Sato vont traîner Sasori devant la justice. Étant les parrains de Seika, ils ont droit a sa garde.

Maioko commença à se poser des tas de questions. Elle fixa le sol, pensive, sa mine se détériorait peu à peu. Remarquant qu'elle avait fait une faute, plutôt grave à son insu.

Azhure: Le problème, c'est Haya...

Maioko : Je ne sais pas... Comment ai je pu passer à coter de ça...

Azhure: Seika ne c'est jamais plains... Elle devait avoir peur d'être puni.... Mais vu comme Haya est peste, Sasori n'as pas du la toucher et as du la sur protégé

Maioko : C'est certain. Seika le cachait bien... Je n'ai rien vu, rien remarqué.

Araya: Tu crois que c'est quoi, les Dons de Seika!?

Maioko : Je ne saurais pas le dire. Mais je pense que tu as déjà remarqué... Je remarque facilement quand Sasori et Haya vont mal. Mais Seika, rien... pour moi elle allait toujours bien...

Azhure: Je....

Ses pupilles rétrécirent et elle se jeta sur le téléphone

Maioko : Qui a t il?

Azhure: Araya...

Maioko : Elle a un problème ? !

Azhure: Mais non Baka! Qui de mieux placer qu'une guérisseuse pour savoir comment cacher une douleur!?

Maioko : Seika...?

Azhure: Araya peut soigner n'importe quoi je te rappel!

Maioko : Je le sais et n'en doute pas mais... elle reste ma petite fille... et vu ce que je viens d'apprendre, je m'inquiète...

Azhure: Après 15 ans, on ouvre enfin les yeux...

Maioko : Et je m'en veux terriblement... *prend sa tête entre ses mains*

Azhure: Tu n'as pas a en t'en vouloir. Sasori a été élevé par son père

Maioko : D'où j'ai fait l'erreur... Je n'aurait pas dû le cacher... Il est tombé entre les mains de Yuma... Je pensais l'avoir changé mais je me suis trompée. J'aurais dû le surveiller...

Azhure: Ce n'est pas le moment de déprimé! Soit tu te reprend, soit je te fous l'aller-retour de ta vie, pigé?

Maioko : Azhure, fait pour avoir la garde de Seika, je me sentirai mieux...

Azhure: C'est Kiyo et Sato qui l'auront. Mais ils lui enlèveront aussi Haya. Et là, tu entrera en jeux et prendra la garde d'Haya. C'est simple, tu la remettra sur le droit chemin!

Maioko : Tu peux compter sur moi, déjà que je ne la laissais pas faire de caprice chez moi. Elle ne deviendra pas comme son grand père ou quelque peu son père.

Azhure: "Allô!? Araya!? Viens chez moi!"

La brune releva la tête et fixa le plafond. Elle lâcha un soupire de bien être. Les choses vont pouvoir s'arranger, et Seika pourra être réellement heureuse.

Azhure: Araya sera la dans 10min

Maioko : D'accord.

La blonde aux yeux bleu arriva en encore moins de temps, accompagné d'Ayumi et de son fils, Ikuto. Maioko leur sourie, faisant un signe de main à sa nièce.

Araya: Qu'est-ce qui se passe!?

Maioko : Tu veux tout leur dire Azhure?

Azhure: Elles sont digne de confiance!

Araya: Écoutez j'ai pas toute la journée alors abrégez

Maioko : Oui... On va enlevé la garde des jumelles. Seika ira chez ses parrains, et Haya chez moi. Du moins, on l'espère.

Araya: Et c'est pour ça que vous l'avez appelé??

Azhure: Non, on veut savoir comment Seika fait pour cacher ses douleurs!

Maioko : Elle a énormément souffert, sans même que l'on s'en rende compte.

Azhure: Et elle n'a pas de Don

Maioko : Du moins, on croit...

Ikuto: Si vous partez de ce point, vous n'irez pas bien loin!!

Araya: C'est pas moi qui fallait appelé mais Adam, Ève et Ikuto.

Ayumi: On vous le laisse pour qu'il vous explique. Appelez Adam. Ève ne pourra pas venir vite sans lui.

Maioko : Je vais l'appelé.

Elle sortit son portable et composa le numéro d'Adam.

Ikuto: Non je m'en charge. Je saurais le convaincre

Maioko : *range son portable* Comme tu veux.

Ikuto resta 10 minutes au téléphone. Finalement, il se tourna vers Maioko et Azhure, ferma les yeux en baissant la tête avant de se mettre a compter, les bras croiser.

Maioko : Qu'est-ce que tu fais encore...?

Ikuto: 1. 2. 3. 4. 5...

Arriver a 23, on toqua a la porte. Le blond aux yeux bleu alla ouvrir et un jeune homme brun entra, portant une fille brune avec des ailes.

Ikuto : Tu t'améliore. 23 secondes.

Maioko : Toujours aussi rapide! *sourit*

Adam: *hoche la tête* Qu'est-ce qui se passe ?

Maioko : On a besoin de vous...

Ikuto : C'est a propos de Seika et Jun

Adam: Hein!?

Ève: Tu parie qu'Haya a encore causer des problèmes!?

Adam: Ça m'étonnerait qu'a moitié!

Ikuto: Moi pas du tout !

Maioko : Racontez nous un peu sur Seika... s'il vous plaît...

Adam: On a le droit!?

Ikuto: Sans Jun!?

Ève: S'il était pas blessé, il aurait pu nous dire jusqu'où aller!

Maioko : Au moins un minimum! Une piste...

Les trois adolescents se regardèrent.

Ève: Ju... Jun est réveiller... On... Peut... Peut être aller le voir...

A suivre...