Dormir
Je me reveille dans le deni le plus total. Ma vision est flou et j'ai à peine l'impression d'être réveillé.
J'arrive à peine à différencier le lit où je suis couché à le tableau gore accroché au mur en face de moi.
Je suis vêtu d'un énorme colle roulée rose vraiment hyper confortable et d un bas de pyjama trop grand pour moi, il doit probablement appartenir à un homme. Je suis habitué à me réveiller dans les bras d'un puceau pré-pubert qui me paye une fortune pour se venter d'avoir couché avec une lycéenne sexy qui ne porte qu'une petite nuisette en dentelle sexy pour aller se coucher.
Je dois avouer que c'est plus tot confortable. Mes idées se remettent doucement en place et j'arrive enfin à distinguer clairement ma situation. N'étant pas attaché et parfaitement libre de mes mouvements, je me lève et tente d'ouvrir la porte mais celle ci est fermé à clé.
Je soupire et pars en direction de la fenêtre. Je la tate du bout des doigts et constate quelle est blindé. Pas de cheminé, pas de téléphone, pas de fenêtre, pas de moyen de m'échapper. Je n'ai plus qu'à attendre.
15 minutes plus tard,
Quelqu'un toque à la porte et je ne reponds pas pour lui faire croire que je dors encore. J'attrape un des pieds du lit que j'avais préalablement arracher et limer et l'a tient comme une batte de baseball.
J'attend que l'individu ouvre la porte pour le frapper. Quand la silhouette peu clair franchit enfin seuil de la porte, je lance mon coup mais il enticipe et l'esquive de justesse avant de retourner le coup contre moi.
Il me cogna avec un telle force qu'un filet de sang dévale mon front. Je perds l'equilibre et tombe au sol en me laissant glisser contre la façade du mur.
Je devisage l'individu d un regard haineux.
Moi: ... Tarek... je grogne.
Tarek: Debout. Il dit sèchement.
Moi: Si tu es ici pour me tuer vas y, je suis à ta merci.
Tarek: J'ai dit: Debout!
Il m'attrape les cheveux et me soulève avec une force colossale. Je donne un coup de poing dans son ventre mais ça semble l'avoir à peine froler. Je continue à lui donner des coups en variant entre mes pieds et mes poings.
Il me lache et se met à rire.
Tarek: L'expression "se battre comme une fille" doit venir de toi!
Moi: T'as gueule enfoiré!
Je me met en position de boxe et lui envoie un coup dans le nez. Une petite rivière de sang s'écoule de ses fosses nasale et je ris intérieurement de mon exploit.
Moi: Tu bats déjà en retraite?
Tarek: Alors que ca devient enfin amusant? T'es dingues?
Il me fonce dessus et tente de me cogner mais j'arrive à esquiver tous ses coups sans difficulté.
Je ne réplique pas. Je sais d'hors et déjà que ça ne servirai à rien.
Je sens bien que mon inaction de se combat l'agace mais j'ai d'autre projet en vue.
Quand enfin vient mon opportunité de m'évader, j'attrape le pieu du lit qui était tombé au sol et le blesse à la cuisse.
Il lache un cri de surprise mélanger à de la douleur j'en profite pour sortir a toute vitesse en prenant bien soin de refermé les portes sur mon passage.
Je m'enfonce dans le longs couloir en courant. Une brise fraiche parcours ma peau. Là où il y a de l'air, il y a une sortie.
Un porte métallique me sépare de se qui semble être une sortie.
La porte n'est pas verrouillé et l'ouvre en grande pompe. C'est à se même moment qu'une trentaine de paire de yeux se tournent vers moi. Un énorme malaise s'installe.
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