Lundi 12/06/17
Martine,
Je me permet de revenir vers toi concernant notre conversation de ce jour à la cafétéria. J'ai longuement réfléchit avant de rédiger ce mail. Mais certains évenement bien trop fâcheux ne peuvent être mis sous silence.
Lors de notre dernière entrevue tu m'as fait part de ton souhait à mon encontre. Etant dans un premier temps surpris voire étrangement mal à l'aise. J'ai supposé que l'humour faisait partie pour une fois de ta journée. Néanmoins, suite à cet evenement qui ne devrait en aucun cas faire partie des priorités de l'entreprise et de nos emplois respectifs. Je suis au regrets de t'annoncer que je ne peux être le collaborateur que tu attends.
Ta démarche qui m'a bien entendu également flatté, car elle ne peut être que la résultante de nos années bien trop communes. Et je conçoit bien naturellement, que le besoin et le souhait de ton acharnement n'a pu être qu'une motivation supplémentaire dans l'intérêt bien évidemment de m'atteindre.
Malgré, ton adoration à mon encontre ainsi que ta loyauté sans faille. Je suis au regrets de t'annoncer une malheureuse nouvelle.
Je sais bien qu'il t'as fallu beaucoup de temps et de courage pour affronter ma volonté et je salue cet acte. Car derrière ton irritabilité et ton manque cruel de savoir-faire, je reste à ton écoute et à ton besoin pour comprendre au mieux ta problématique. Je suis d'ailleurs toujours disponible pour développer le dossier cotorep qui t'aiderai à te satisfaire dans ton travail au mieux.
Je suis bien entendu toujours humain et j'essaye dans la mesure du possible de te soutenir. Seulement, nous ne pouvons pas continuer comme cela et nous devons arriver à un accord qui sera bien plus clair à la fin de ce mail. J'ai d'ailleurs dans ce but chercher à comprendre tes motivations qui m'ont semblé très peu convaincante.
Je comprend bien ton besoin de reposer la masse arrière dont tu es bien entendu victime. Et je loue ta bravoure pour avoir réfuté mon autorité.
Je pense que nous pouvons être enfin d'accord, car il est nécessaire que je te rappelle les faits suivant qui sont plus que primordial à cet instant :
(1) Je suis ton supérieur
(2) Je gagne toujours
Tu comprendras donc, que le bureau ainsi que le fauteuil mis en cession par le grand patron lui même me revient de droit. Etant supérieur à toi et souhaitant absolument vouloir récupérer ce mobilier pour mon bureau personnel tu m'oblige à user d'une véhémence atroce à ton encontre.
Sache que jamais, tu n'auras ce fauteuil ainsi que ce bureau.
A bon entendeur.
Luc.
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Ouais...
Vos chefs sont balaises pour rédiger des mails propre pour simplement vous dire d'aller vous faire foutre.
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