Évolution
Le peu de blessures dont j'avais écopé se guérirent alors que nous retournions au motel. J'étais désormais assise en tailleurs sur mon lit en attendant patiemment que Malicia se calme. Bobby, Pyro et Piotr n'osaient pas intervenir. Mon amie, elle, faisait les cent pas en me sermonnant sur l'imprudence dont j'avais fait preuve, ainsi que de ma stupidité et ma témérité, et blablabla. Il faut dire que je n'écoutais qu'à moitié, voir pas du tout. Mon esprit était tourné vers Dom, celui que je considérais comme un père. Il m'avait vendu à Magnéto. Et je n'arrivais pas à me faire à l'idée, peut importe ses raisons. Malicia finit par se taire lorsqu'elle remarqua que je ne lui prêtais plus du tout attention. Mon cœur se serra violemment lorsque l'information que je me répétais depuis tout à l'heure atteignit enfin mon cerveau. Il m'avait trahi. Les larmes se mirent à couler d'elles-mêmes.
- Il m'a trahi, soufflais-je douloureusement.
Ils ne répondirent rien, et Malicia me serra ensuite contre elle pour me réconforter. Sauf que rien ne pourrait me réconforter, pas pour le moment du moins. Je séchais mes larmes d'un revers de la main rageur. Je décidais d'y penser plus tard, une question me taraudant l'esprit depuis un moment.
- Comment vous avez su pour mon rendez-vous ?
- Mine de rien, on ne peut pas dire que vous étiez très subtils lors de votre conversation, répondit Pyro en sortant son briquet.
- Et je dois admettre qu'on a en quelque sorte écouté à votre insu, avoua Bobby.
- Alors vous ne dormiez pas vraiment, compris-je.
- On t'a suivit quand Malicia nous a informé de ton départ, ajouta Piotr.
- Heureusement pour moi, complétais-je dans un soupir. J'ai été stupide, et je m'en excuse. J'aurais au moins dû vous avertir.
- L'important, c'est que tu t'en sois sortie, soupira Malicia. Maintenant, tout le monde au lit. Je doute que nous puissions rester plus longtemps dans cette ville, il nous faudra des forces pour partir demain matin.
Les garçons protestèrent pour la forme, puis retournèrent dans leur chambre en grommelant lorsque Malicia les menaça d'enlever ses gants. Je m'allongeais sur mon matelas, et le sommeil vint me chercher très vite. Le problème, c'est que ça ne dura pas longtemps. Quelques minutes plus tard, je me réveillais en sursaut, pour absolument aucune raison. Mes muscles étaient douloureux, et j'avais un mal de crâne terrible. Je commençais à avoir très chaud, des gouttes de sueur se mirent à couler sur mon front et dans mon dos. Je me retournais à plusieurs reprise, tentant de trouver une position confortable. Seulement, le moindre de mes mouvements augmentait ma douleur. Soudain, mes os craquèrent, et se brisèrent (du moins, j'en eu l'impression). Je poussais un cri, qui réveilla Malicia à côté de moi.
- Ary ? s'inquiéta-t-elle.
Je ne pouvais pas répondre, je serrais les dents pour retenir un nouveau cri. Un craquement sinistre retentit dans toute la chambre, et elle se précipita vers moi.
- Aryane ? Aryane ! me secoua-t-elle.
Je ne pus me retenir plus longtemps, et me mis à hurler. Bordel, mais ça fait mal ! Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Je me tordis dans tous les sens, les larmes coulant de plus belle. Mes cris attirèrent les trois garçons, qui entrèrent dans notre chambre en état d'alerte. Je me mis à me débattre, tentant d'échapper en vain à la douleur omniprésente, et frappais Pyro au passage. Piotr retint mes bras, mais je continuais à me débattre, à pleurer, à hurler. Des points noirs dansèrent devant mes yeux, et une brûlure immense se fit ressentir dans mon cœur. Celui-ci cessa de battre, mon souffle se coupa, et j'écarquillais les yeux. Je tentais de respirer, mais suffoquais. Les autres se mirent à paniquer. Je ne bougeais plus, je n'y arrivais pas. Mes yeux se fermèrent d'eux-mêmes mais mon esprit continua de lutter contre l'inconscience qui me gagnait. Sauf que j'étais trop faible, le combat était perdu d'avance. Finalement, épuisée, j'abandonnais la partie. Et cessais de vivre... pour revenir deux secondes plus tard. Je me redressais en poussant un cri strident, puis portais ma main à mon cœur, qui avait recommencé sa course effrénée. Je tentais de me calmer, mais la douleur était encore présente, quoique moins forte je dois l'admettre. La panique me gagna et je sentis des picotements au bout de mes doigts. J'approchais ma main tremblante de mon visage, et vis que mes ongles étaient devenus argentés, métalliques. Mais qu'est-ce que ça veut dire ? D'un coup, mes ongles s'allongèrent, pour devenir des griffes acérées en métal. Je reculais vivement ma main, et vis alors mes amis qui me fixaient, étonnés ou soulagés. Malicia se jeta sur moi.
- On a crut que tu étais morte ! pleura-t-elle.
- Je l'étais, avouais-je. Mais je suis revenue. Qu'est-ce qu'il m'est arrivé ?
- Je crois que ta mutation a jugé que tu étais prête à avoir un nouveau pouvoir, déclara Bobby. Celle de Logan.
- Logan ?
- Celui qui a combattu les Terreurs la première fois qu'on s'est vu, précisa John. Tu sais, celui avec la régénération et les griffes d'Adamantium.
- Adamantium ? m'étonnais-je.
Mes ongles redevinrent normaux, mais gardèrent leur apparence métallique.
- C'est le métal le plus solide du monde, encore plus que le diamant, expliqua Piotr. Rien ne peut le briser.
Je fixais à nouveau mes mains, et comme un vieux réflexe, réussis à pousser mes ongles pour les transformer en griffes tranchantes. Je testais mon nouveau pouvoir quelques fois, avant de sourire.
- C'est cool ! souris-je.
Ils sourirent aussi. Pour tester une nouvelle théorie, je tentais de transformer mes mains en ergots, sauf que ça ne marcha pas. J'essayais plusieurs fois, en vain.
- Il faut croire que je devrais me passer des ergots, désormais, soupirais-je. Mais j'aime bien ces griffes là, sauf que c'était douloureux.
- Vu comment tu criais, on peut facilement le deviner, se moqua Pyro.
- Oh merde, j'ai dû alerter tout le motel ! m'horrifiais-je.
- On a dit que tu faisais un cauchemar, répondit Bobby en haussant les épaules.
- Quoi ? Mais c'est idiot, personne ne va gober ça ! m'interloquais-je.
- On verra ça demain, trancha Malicia. Pour l'instant, je crois qu'on mérite tous une bonne nuit de sommeil, surtout toi Ary.
Cette fois, personne ne protesta. J'enfilais ensuite mes gants (je demanderais au professeur de me créer des gants qui me permettraient d'utiliser mes griffes sans les briser) et le reste de la nuit se termina sans encombres.
*****
Nous nous réunîmes tous au restaurant le lendemain matin, et vis que plusieurs résidents nous lançaient des regards étranges. Je décidais de ne pas y prêter attention, et nous commandâmes notre déjeuner (j'avais enfilé ma capuche). J'étais un peu fatiguée par la nuit dernière, qui avait été mouvementée et assez douloureuse, mais ne laissais rien paraître. La serveuse vint nous voir, et me lança un regard aimable.
- Vous vous êtes remis de votre cauchemar ?
Je la rassurais en balbutiant quelques mots, puis elle quitta. Je lançais ensuite un regard étonné aux autres, qui étouffèrent des rires.
- Mais elle est stupide ! soufflais-je. Elle l'a crut !
- Je te l'avais dit ! répliqua Bobby, tout fier.
Je n'ajoutais rien, et nous mangeâmes assez vite avant de remonter prendre nos affaires en haut. Nous sortîmes ensuite à l'extérieur et passâmes au Barmuttant dire au-revoir à tout le monde.
- Tu dois vraiment partir ? se désola Klaus lorsque nous ressortîmes enfin.
- Je n'ai pas le choix, les hommes de Magnéto sont sur mon dos, soupirais-je. Et si tu vois Dom, passe lui un tabac de ma part.
- Compte sur moi ! affirma-t-il sérieusement.
Il partit ensuite dans son coin en marmonnant toutes sortes d'insultes à l'encontre de celui que je considérais comme mon père auparavant. J'avais bien sûr dû expliquer la raison de ce départ précipité, et la photo de Cobb avait été accrochée sur le mur. C'était mon idée, et je ne la regrettais absolument pas. Je l'aurais sûrement pardonné, autrefois, mais les choses avaient changé, et je n'étais plus la même. Je n'étais plus la petite fille naïve qui voit du bon en tout. Le monde a sa part d'obscurité, et rien ne pourrait changer ça. J'avais finit par l'accepter, et pardonner sans cesse aux gens qui me faisaient du mal ne m'apportait rien de bon. Alors je ne lui pardonnerais pas, point à la ligne.
- Je crois que nous devrions rentrer à l'école, dit alors Piotr. Aucun de nous n'est en sécurité, encore moins Aryane, et nous ne sommes pas de taille à les affronter.
Je me mordis la lèvre, me sentant coupable de les avoir embarqué là-dedans.
- Moi ça ne me dérange pas, lâchais-je finalement. Je crois que tu as raison. Je pensais que ça leur prendrait plus de temps pour nous retrouver, mais comme Dom les a aidé...
- Cesse d'y penser, d'accord ? Et ce n'est pas ta faute, me coupa sérieusement John. Je suis pour aussi, on n'a pas assez d'expérience pour les combattre seuls.
Malicia se joignit à nous, et nous nous tournâmes vers Bobby. Le choix devait faire l'unanimité.
- C'est d'accord. Adieu, vacances de rêves ! se plaignit-il d'un air dramatique.
Nous éclatâmes de rire, puis je sortis le téléphone que le Tornade m'avait donné avant de nous laisser ici.
- Allô ? répondit la voix de Scott.
- Salut, c'est Aryane. Finalement, on va revenir plus tôt que prévu, on a rencontré quelques problèmes, débitais-je rapidement.
- Tout le monde va bien ? s'inquiéta-t-il.
- Je suis morte, mais tout le monde va bien, plaisantais-je. On va tout expliquer quand on sera de retour à l'école, d'accord ?
- On vient vous chercher, on sera là dans quelques minutes, déclara-t-il. Rendez-vous là où Tornade vous a déposé.
- À tout à l'heure !
Il raccrocha, et je me tournais vers les autres.
- Ils arrivent, on retourne au point de départ, dis-je simplement.
- Premier arrivé ! hurla Bobby en se mettant à courir.
Une course amicale s'engagea. Bien sûr, nous avions droit à nos mutations, aussi fis apparaître mes ailes malgré les rares passants qui nous regardaient avec des yeux ronds. Après tout, nous quittions la ville. Je déployais donc mes ailes, puis hésitais une seconde (apparemment, tous mes os étaient en métal désormais, alors ça risquait de faire comme avec la mutation de Piotr et je ne pourrais plus voler). Finalement, je me lançais, et vis avec soulagement que mes ailes s'étaient elles-mêmes fortifiées, et donc je pouvais voler sans problème, voir avec moins d'efforts. J'accélérais pour rattraper les autres, et lorsque Malicia me vit, elle leva les bras en l'air avec un sourire entendu. Je souris aussi, et lui happais els bras au passage. Je la soulevais, et la transportais jusqu'au point de rendez-vous en quatrième vitesse. Je la déposais en douceur, et me posais ensuite près d'elle. Ça prit quelques minutes aux garçons pour finalement nous rejoindre.
- Vous avez triché ! plaida Bobby, mauvais perdant.
- Nous avions droit à nos mutations, répliquais-je en lui tirant la langue.
Je sais, c'est très puéril, mais ça nous amuse, alors pourquoi arrêter ?
- Ils ne devraient plus tarder, fit remarquer Piotr.
- J'espère qu'ils seront là avant la bande de Magnéto, frissonna Malicia.
- Demande refusée ! ricana une voix derrière nous.
Nous nous retournâmes vivement en position défensive. C'était Damon.
- Ne t'approche pas, ordonnais-je froidement. Tu n'es pas de taille contre nous.
- Moi, peut-être pas. Mais nous tous contre vous, c'est vous qui n'êtes pas de taille, se moqua-t-il.
Comme si sa phrase avait été un signal, le reste de sa bande sortit de leurs cachettes, et ils nous encerclèrent (je sais, ils font ça tout le temps, mais ils ne semblent pas décidés à changer). Malicia se retrouva donc aux prises avec le Crapaud et Azazelle, Pyro dû se résoudre à combattre Damon, Piotr se fit assaillir par les Terreurs Carter et Bobby partit aider Malicia. Il n'y avait aucune trace de Mystic, ne restait donc plus que Dent-de-Sabre et moi. La panique me gagna, et mes ongles se mirent à s'allonger, puis se rétracter, puis se rallonger, puis se rétracter... Merde, je contrôle plus rien. Je tentais de me concentrer pour que mes griffes reste sorties, mais mes émotions font foirer toutes mes tentatives. Devant moi, Dent-de-Sabre ne comprend pas trop ce qu'il se passe.
- Adamantium ? s'interloqua-t-il.
Mais juste à ce moment, je reprenais le dessus sur ma mutation, et parvint enfin à la contrôler. Je lui sautais donc dessus, et me mis à attaquer avec mes nouvelles griffes. Rien qu'en passant, il faudrait que je demande à ce Logan de m'entrainer parce que je ne contrôler absolument rien et ne sait pas me battre avec, ce qui fait que je me suis plus souvent blessée moi-même que j'ai blessé mon ennemi. D'un coup, le vent se leva, et les combats cessèrent. Peu après, le reste de notre bande débarqua en renfort, ce qui veut dire Tornade, Jean, Scott et... mais qu'est-ce que Kitty fout là ? Enfin bref, nous avions repris l'avantage. Dent-de-Sabre m'envoya un coup de poing, sauf que celui-ci me traversa sans que je ne sente quoi que ce soit. Traverser ? Je croisais le regard surpris de Kitty.
- Plus tard, lui intimais-je.
Finalement, la bande de Magnécon battit en retraite avec l'aide d'Azazel. Je soufflais un bon coup, et mes griffes redevinrent des ongles normaux, quoique toujours en métal. Je crois que ça va rester comme ça pour le reste de ma vie, d'ailleurs. Je me tournais vers les autres, et Jean s'approcha. Elle avait un regard inquiet et me scrutait de toutes parts. Elle faisait vraiment mère poule avec moi, parfois, mais ça m'amusait, alors je la laissais faire.
- Je vais bien, tentais-je de la rassurer.
Elle ne répondit rien, et me prit une main. Soudain, mes griffes remontèrent. Elle sursauta, et la lâcha.
- La mutation de Logan ? s'interloqua-t-elle.
- Surprise, grommelais-je. Tu ne peux même pas imaginer par quoi je suis passée pour l'avoir.
- C'est ça que tu voulais dire quand tu m'a dis que tu était morte, comprit Cyclope.
- Morte ? s'horrifia Tornade.
- Mais non, enfin, je veux dire oui, je suis morte, mais je suis revenue grâce à la régénération, balbutiais-je. Et il y a aussi celle de Kitty qui a fait son apparition lors de la première attaque que j'ai subie. Mais je crois qu'on devrait retourner à l'école pour en parler, d'accord ?
Tous acceptèrent, et nous remontâmes dans le jet. Seulement, alors que j'arrivais à la porte, mon corps traversa la petite passerelle et je me retrouvais coincée jusqu'à la taille dedans. Je poussais un juron bien senti, m'attirant l'attention des autres. Ils étouffèrent des rires au mieux, et Kitty s'approcha de moi. Elle me saisit le bras, et me remonta comme si de rien n'était.
- Il faudra vraiment que tu m'apprennes à faire ça, soupirais-je.
Je crois que j'aurais dû réfléchir avant de parler, c'était sorti tout seul. Et maintenant, j'allais avoir des cours spéciaux avec elle. O joie, o bonheur ! Mais bon, si je pouvais me contrôler, alors ce serait un mal pour un bien. Nous retournâmes ensuite à l'école, et le jet se posa dans la cours. Kitty partit rejoindre ses amis, et nous, nous nous rendîmes au bureau du professeur Xavier. Nous entrâmes, et tout le monde prit place.
- J'ai cru comprendre que Magnéto vous a causé des problèmes, dit-il en croisant les mains sur son bureau.
- On s'est dit que c'était plus prudent de revenir, répondit Piotr.
- Une idée sur comment ils vous ont retrouvé ? demanda Scott.
Aucun de mes amis n'osa répondre.
- C'était un ami de longue date, déclarais-je d'un ton bas. Il m'a trahi, il m'a vendu aux hommes de Magnéto pour sauver sa famille.
Personne n'ajouta quoi que ce soit, puis Jean intervint.
- Aryane possède de nouvelles mutations, affirma-t-elle avec un brin d'inquiétude dans la voix.
- Ce n'est rien, j'ai parfaitement le contrôle... tentais-je.
Mais, au même moment, une de mes griffes s'allongea et effectua une longue égratignure sur le bureau, prouvant ainsi que je mentais.
- Où presque, grimaçais-je. Désolée.
- De l'Adamantium ? s'étonna-t-il en haussant un sourcil. Comment as-tu pu copier ça ? Il ne s'agit pas d'une mutation, pourtant.
- Pardon ? demandais-je en écarquillant les yeux.
- Logan a subi des expériences qui l'ont rendu ainsi, expliqua-t-il. Mais il semblerait que ça a également affecté son ADN, autrement, tu n'aurais pas pu la copier. J'imagine que ton cœur a cessé de battre quelques secondes ?
- C'était horrible, confirmais-je en frissonnant à ce souvenir. Mais sinon, j'ai également découvert que j'avais eu un contact physique avec Kitty, par accident. Résultat, elle va me donner des cours pour je contrôle ça aussi.
- De mon côté, je vais faire revenir Logan pour qu'il s'occupe de toi, conclu le professeur. Allez vous reposer, vous en avez sans doute besoin.
Je me levais et, alors que j'allais pousser la porte pour l'ouvrir, je passais au travers en poussant un cri. Je tentais de me relever alors que mes amis éclataient de rire de l'autre côté de la porte, sauf que mes griffes sortirent et s'enfoncèrent dans le parquet, m'empêchant ainsi de bouger. Je me mis à tirer en gigotant et en poussant des jurons à tout va pendant que les autres ouvraient finalement la porte, lorsque mes griffes se rétractèrent d'un coup. Emportée par mon élan, je fus projetée vers l'arrière et entrais en collision avec Bobby, qui tomba sur Malicia, qui tomba sur Pyro, qui tomba sur Piotr et qui lui, surpris, ne pu nous retenir à temps grâce à sa super-force. Résultat, nous nous retrouvâmes tous allongés sur le sol en riant à moitié.
- Encore désolée, soupirais-je. Je vais vraiment devoir m'entrainer, parce que mine de rien, ça me tape sur les nerfs de perdre le contrôle comme ça.
Ils m'aidèrent à me relever, quand je pensais à quelque chose. Je retournais dans le bureau du professeur.
- Professeur ? Est-ce que ce serait possible d'avoir des gants qui me permettraient d'utiliser mes griffes sans les briser (les gants)? demandais-je.
- Ça devrait être faisable, me sourit-il.
- Merci !
Je sortis ensuite rejoindre les autres, et nous nous rendîmes nous reposer à l'extérieur, sous le soleil.
Fait intéressant (ou pas): Je me demande... l'Adamantium est le métal le plus solide du monde, rien ne peut le détruire. Mais, si jamais Wolverine allait se battre contre Darth Vader pour absolument aucune raison, qui est-ce qui gagnerait: les griffes d'Adamantium, ou le sabre laser?
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