(NDA : au regarde de ce qui va suivre, l'auteure tiens a rappeler n'avoir consommé aucunes drogues. C'est juste que ce scénario n'a aucun sens. )

les trois étaient prêt. Sous le couvert d'un pique-nique, ils sortirent en ville.

Ils s'étaient équipés et avait emportés:

-un livre pas trop épais

-Une lampe torche

- un pique-nique et un en-cas chacun

- un carnet de note et des stylos

-De quoi faire un peu de grimpette

- une corde

-pas de tabouret, conclu Luc.

Ils avaient tout le nécessaire.

Il était dix heures lorsqu'ils arrivèrent devant la forêt. Appréhendant pour la première fois l'ampleur de la tache qui les attendait. Ils prirent soudain compte de la folie de leur aventure mais pas question d'abandonner! Le monde, rien que ça, dépendait de leur réussite. Autant dire qu'ils n'avaient vraiment pas la pression. Ils suivirent un sentier de randonné jusqu'à la lisière de la forêt non-cartographiés et démarqués par des panneaux «ATTENTION», «N'AVANCER PAS, DANGER» et autres «WARNING» le tout ficelés de rubans jaunes et rouge.

Ils ignorèrent plus ou moins superbement les écriteaux et s'engouffrèrent plus avant dans la forêt.

Après deux heures de recherches infructueuse ils mangèrent silencieusement.

Ce fut dans le début d'après midi qu'il trouvèrent une grotte. Ils surent au plus profond d'eux qu'ils étaient devant la bonne grotte. Bon, en réalité c'était surtout que sur l'avant de la grotte était gravé «Épreuve. Prince de Goûts Mêlées».

Ils se préparaient avec anxiété à rentré dans la grotte quand soudain...

Un loup-garou les attaqua!

Paniquer, ils coururent en catastrophe droit vers la grotte. Le loup était presque sur eux. Ils pénétrèrent dans la grotte. Le loup-garou parut hésiter. Finalement il se posta devant l'entrée pour attendre qu'ils sortent.

«-Je ne savais pas que les lycanthropes était claustrophobes, Souffla Yann.»

Armées de leur torche électrique ils avancèrent dans la grotte immense. A nouveau cette étrange odeur de sucre les pris au nez, des relents de moisissure s'y mêlé, avec une profonde odeur de pierres humide. Une sorte de mousse/lichen bioluminescent diffusé une lumière verte pâle et blafarde. Elle était suffisamment forte pour être éclairé sans torche et assez faible pour laisser de nombreux points d'ombres. D'un commun accord ils éteignirent deux torche et les rangèrent.

Soudain comme dans des tas de livres, film d'action Yann sentit une des pierres visqueuse s'enfoncer sous son pied. Il trébucha. Cela lui sauva la vie car une flèche enflammé se planta dans le mur juste là où il était, une fraction de secondes plutôt. Plaqué au sol, il sentit une odeur de souffre et soudain il compris!

«-COUREZ!!! Hurla t-il, TOUT VA PRENDRE FEU!!!»

La matière gluante qui recouvré le sol et les murs était en faîte un produit hautement inflammable.

La suite lui donna raison. Le feu quitta la flèche pour se répandre partout. Ils coururent plus vite que le plus rapide des marathoniens. Luc eu alors la pensé saugrenue que l'expression «avoir le feu au fesses» prenait tout son sens.

Trop occupés à s'échapper ils n'entendirent pas les notes victorieuse et glauques d'un orgue résonnait doucement dans la grotte.