Dernier chapitre 18
Pdv de M.Lauret
Je cours à ma voiture j'ai déjà averti des équipes, on se hâte tous vers le lieu de l'accident.
Une fois sur place, quelqu'un a appelé immédiatement l'ambulance. La voiture était en très mauvais état. L'avant était tout écrasé. Le capot n'était même plus là. La voiture avait foncé dans un mur qui était lui même marqué par l'événement. Des morceaux de métal gisaient sur le sol. Le véhicule qui passera très fortement à la casse et le lieu étaient marqués pour au moins un bon moment. Une femme est enfermée à l'intérieur blessée et mal en point. Des policiers sont déjà en train de la sortir de là. Je fais le tour du véhicule. Je vois ,sur le trottoir un peu plus loin, un homme agenouillé près d'une jeune fille. Je me précipite pour l'aider. Une fois plus près je reconnais immédiatement la fille. Liza Allun. Mais elle n'a plus de trace noire ni de cicatrice. Rien, juste un visage pâle d'ange. Elle n'a pas encore ouvert les yeux. L'homme qui me voit arriver et voit tout les secours pris peur, par précipitation il prit la fille dans ses bras et s'enfuit. Je le poursuivi en criant : « Monsieur, monsieur !! Il y'a une ambulance on peut aider la petite ! » mais, rien n'y fait. Il court de plus en plus vite, il va s'échapper ! J'accélérai aussitôt. Mais, je ne le rattrapais pas. Il tourna au coin de la rue. Je le suivis. Puis, il bifurqua à une autre rue. 4 secondes après j'y étais aussi. Mais, il n'y avait personne je l'avais perdu ! Essoufflé, je m'arrêtai, posa mes mains sur mes genoux pour reprendre mon souffle. Un instant après, je continua ma route en marchant, regardant partout, chaque endroit suspect. L'adrénaline me poussa à poursuivre mes recherches. La tension était à son comble. Je m'approchai doucement de l'angle d'une ruelle sombre. À à peine un mètre, je frissonna ; j'avais entendu une respiration tout près de moi. Je pris mon courage à deux mains, sortis mon arme de service et sauta en direction de la ruelle en criant « mains en l'air ! »
En constatant qu'il n'y avait personne, je rangea l'arme. Puis tout est allé très vite. L'homme me sauta dessus, arrivant par derrière. Nous nous écroulons par terre. J'essayais de récupérer mon arme ; mais je savais que je ne tirerais pas. Ce serait un crime de tirer sur un civil même si celui-ci est devenu fou; mais j'en étais incapable. Je ne reconnu pas la personne pourtant j'avais l'impression qu'il m'était familier. Il avait les mêmes cicatrices, les mêmes taches noires sur le visage et les mêmes yeux que Liza. Mais ce n'était pas elle. Je luttais de toutes mes forces mais il était plus fort et je commençait à fatiguer donc j'arrêtais. Je voyais du coin de l'œil que la petite fille -Liza Allun- s'enfuyait par où on est arrivé. Tout à coup, mon agresseur se leva, me regarda avec ses yeux qui m'étais de plus en plus familier puis s'enfuit en direction d'une maison avec un échafaudage. Je me leva et le suivi en courant. Il monta, haut, plus haut et encore plus haut. J'étais à à peine 5 mètres derrière lui. Il monta sur le toit. Pendant quelques instants, je ne le vis plus. Puis, quand j'arriva moi aussi sur le toit, je le vis près du bord de la maison. Je m'approcha doucement sur les tuiles. Il murmura quelque chose :
-Laissez-moi, il est là dans moi je dois pas me laisser faire, dites à Julie Milléni que je l'aimais...
Je vois une goutte tomber sur les tuiles en dessous de lui. Il souffla longuement. Puis me dit
- Part loin. Très loin. Vite !
Je recula doucement pour pas tomber en direction des échafaudages. Je glissa légèrement d'un pied mais je me rattrapa.
- HAAAAAAAA!!! NON! VITE ! CASSE TOI MERDE !! HAAAAAAAA!!! ,il avait mis les mains sur la tête et criait encore. Je décida de prendre le risque. Il me restait quelques mètres avant l'échafaudage. Je me retourna puis courus, sauta et arriva comme prévu à la descente. Là je continua à courir sans m'arrêter une seconde.
Le lendemain matin sur le journal :
Suicide depuis un toit
Un homme nommé Tom Greyson s'est suicidé depuis le toit de la maison en construction du chemin du milieu. C'était un agent de l'ONU masqué sous la profession de professeur au cycle. Il était orphelin, sans cousine, sans personne. Il avait quand même des amis mais pas beaucoup. Un solitaire.
Je vis qu'il n'avais plus les symptômes physique du monstre. Ma déduction : c'était une possession d'un être malfaisant, un démon ou... peut-être... est-ce que ça se pourrait si Monster Joke était l'âme du père à Liza Allun qui voulait se venger sa mort ? Peut-être. On ne saura jamais.
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MERCI !!! C'est la fin. J'espère que vous avez aimer ! N'hésitez à me dire ce que vous en pensez. Si vous avez des théories ou si vous pensez que celle la peut être juste.
Bisous 😘 ❤️
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