Chapitre 14
-C'est que il... a été assassiné. Le coupable n'a pas été retrouvé. Ma fille en a été témoin. Ça l'a traumatisée. Il s'appelait Henri Allun,sanglota-t-elle.
-Merci pour vos informations madame Allun,je me leva et dit au revoir à cette pauvre femme.
Arrivés au poste de police, l'autre groupe faisait déjà leur compte rendu écrit à l'ordinateur. Nous fîmes de même. Puis par curiosité, je lus en vitesse le texte de mon collègue Albert Garcha. Il remarqua que je lisais et me donna un léger coup de coude. « Eh, occupe toi de tes affaires on discutera plus tard » je rigola, « C'était si horrible que ça ? » il me jeta un regard noir menaçant. J'en conclus silencieusement que oui il y a du s'y passer quelque chose et me remis au travail. Puis quand j'us fini mon texte, je fis quelques recherches sur Henri Allun d'abord sur Google puis, comme ça donnais rien à par des articles 20minutes, Le Matin ou Le Nouvelliste sur un certain procès. Je me pencha vers les archives. Je trouva un dossier sur lui qui disait : Marié, a une fille, trafic de drogue, meurtre d'une centaine de personnes dans le monde,1 ans de prison. Assassiné par un expert de la défense suisse.
Je pus conclure que c'était un monstre mais que sa famille le savait pas, enfin,... à vérifier. J'ajouta ce que j'ai trouvé sur lui dans mon compte rendu. J'imprima, puis j'allai à la cafétéria en mettant la feuille dans mon casier, précieusement. Je trouva mes trois collègues qui boivent du thé ou un café. En discutant de la journée. Surtout Albert qui se plaint de sa journée. Je me prend un café et m'assois à côté de mon collègue de journée Guillaume Mori qui me chuchote un petit : « Au secours Albert est devenu fou » je rigole et demande à justement, Albert pour savoir ce qui s'est passé. Julie Milléni commence à en avoir marre et elle trouve l'excuse qu'elle a encore du travail pour partir.
- Un petit con d'enseignant qui veut draguer MA Julie,dit-il pour la centième fois depuis la fin de journée.
-Mais à ce que je sache ce n'est pas ta petite amie ? Déclare je, que je regretta un peu d'avoir dis mais bon d'un côté Albert est très possessif.
- Non mais elle ne sera pas à cet enfoiré.
- Peut-être mais elle va sûrement pas sortir avec un gars qui accepte même pas que d'autre la regarde.
-Il l'a pas juste regardé ! Il a même dragué en sachant que c'est une policière !! Dit-il en s'énervant petit à petit. Mon voisin ayant fini sa boisson. S'était levé et débarrassé sa tasse. Annonça :
- J'y vais. Avec tout tes petits caprices Albert on va pas avancer dans l'affaire.
- Ouais, c'est vrai... lui répondis-Je en me levant. Je rentre moi, on se voit demain pour la suite. À 8:00 ici Guillaume.
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Le matin, c'était 9:00 on faisait nos affaires. Puis on partit pour aller poster quelques questions à Mme Allun. Surtout une question qui me trotte dans la tête. Arrivés à destination, nous descendâmes de la voiture puis on allait sonner à la porte. Elle répondis. Nous reconnaissant, elle nous fit entrer. Une fois assis, je commença avec la question la cruciale.
- Saviez-vous que votre mari a fait des centaines de meurtre dans le monde ? Et qu'après, une inattention, on a découvert que le tueur était lui, qu'on a fait un procès qui a été conclu à 1 ans de prison,en plus du trafic de drogue. Il a été tué pour la défense publique par un expert. Le saviez-vous ?
- Ou..oui enfin j'étais au courant qu'à la fin du procès de ce qu'il a commis. Il disait devoir voyager pour le travail. Cet expert aurait pu le faire à un autre moment et endroit que dans la chambre de ma fille devant elle quand même !!déclarait-elle.
-Oui nous en sommes conscients et terriblement désolés de cet incident. Mais donc vous l'avez laissé revenir chez vous quand il est sortit de prison ?
-Pour notre fille ! Oui ! Elle a presque pété un câble de ne plus voir son père, surtout quand elle a appris ces accusations...
-Bien. Pensez vous que votre mari à un rapport avec le tueur qu'est votre fille actuellement ?
- ... Bonne question... c'est vrai que ça se pourrait. Il y a le même acharnement,... je ne sais pas vraiment quoi dire,... Il y'a-t-il une raison pour que ma fille devienne comme ça ?
- C'est à vous de nous le dire,... Avant nous avons eu contact avec votre fille. Nous avons 2 photos. Connaissez-vous cet homme ?je montra les deux photos imprimées que Liza nous a envoyé le jour de sa sortie de l'hôpital où il y'avait un homme suspect. J'observais la réaction de la femme. Elle ne bougea pas tellement observant les photos. Je suis persuadé qu'elle sait quelque chose mais elle le cache pour je ne sais quelle raison.
-Comment voulez vous que j'identifie un homme de dos où l'on voit presque que sa veste ? S'indigna-t-elle.
-Bien merci de votre compréhension. On reviendra peut-être un autre jour. Au revoir et encore merci Mme Allun. Puis nous partons. J'ai une hypothèse sur le problème mais je ne le dirais pas. Pas tant qu'on ait un autre indice.
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