chapitre 60
PDV christian
Sébastian : tu devrais aller le voir... C'est pas normal sa réaction...
Chris : je sais... Mais j'avoue que je suis dérouté là...
Séb : je comprends mais il l'a dit qu'il se cassait !?
Chris : c'est que des paroles en l'air parce qu'il est vexé.
Séb : peut être mais justement dans cet état, il a l'air capable du pire...
Chris : je pense pas... Mais je le laisserai pas partir de toute façon. Mais honnêtement, c'est pas ça qui m'inquiète... Dit il perplexe
Seb : c'est à dire ?
Chris : je sais pas... Il me fait peur... Il est toujours dans l'excès... La démesure... Il se met en danger inutilement... J'ai toujours l'impression qu'il défit la vie... Comme si, il lui disait, tu vois! quoique je fasse, je suis encore là!
Seb : mais comment ça se mettre en danger?
Chris : il a un comportement suicidaire je trouve... Je pense qu'il est dépressif...
Seb : pourquoi ?
Chris : drogue, alcool, crise de nerfs, sans parler qui couche avec n'importe qui... Et je suis même pas sûr qu'il se protège...
Seb : toi oui j'espère ?
Chris : oui oui ! T'en fais pas pour ça !
Seb : tu as l'air d'y tenir... Ça fait très longtemps que je t'ai pas vu ainsi!
Chris : ouiiii dis je en me sentant rougir
En plus pour te dire la vérité, j'ai jamais ressenti ça ! Je veux dire... Il m'a captivité à la première seconde.
Seb : même avec tu sais qui ?
Chris : oui même lui !
Seb : dans ce cas tu ferais bien d'aller lui parler...
Chris : tu as raison, j'y vais
En arrivant dans la chambre je le vois de dos, les cheveux mouillés, vêtue d'un jean, basket et tee-shirt à manches longues noires. il est entrain de faire son sac.
Chris : qu'est ce que tu fais? dis je en m'approchant et en tendant ma main vers lui
fab : ça se voit pas ?
Chris : on peut discuter ?
Fab : pas envie...
Chris : S'il te plaît... Arrête ça et viens t'asseoir...
Je tente de le prendre dans mes bras pour le mener vers le lit mais il m'esquive. J'insiste...
S'il te plaît, Fabrice... Aidé moi à comprendre pourquoi tu as réagit aussi violemment...
Il regarde dans le vague les larmes qui ne demande qu'à jaillirent mais qu'il soit retenir de toutes ses forces. C'est pour cette raison, je suppose, qu'il regarde le sol ou le mur et qu'il ne tente même pas de me regarder...
Je finis à force de le supplier, à l'asseoir, puis en l'attirant et en l'emprisonnant dans mes bras à l'allonger sur le dos et à me coucher sur lui en retenant mon poid sur mes avant bras et mes coudes.
En lui caressant le visage, il évite toujours mon regard et se met à sangloter et à renifler frénétiquement.
Chris : je ne veux pas que tu partes
Fab : le weekend prolongé à deux est foutu
Chris : tu peux pas dire ça....
Fab : je voulais rester qu'avec toi ! Me dit il comme un caprice d'enfant...
Chris : laisses moi deux petites heures...
Fab : non....! En plus... On part demain....
Chris : on reviendra souvent ici si tu veux..
Tout en lui parlant, je l'embrasse tendrement, j'essuie avec mes pousses, ses larmes qui inondent ses joues. Je place mon visage dans le creux de son cou.
Chris : je te demande du plus profond de mon cœur de ne pas m'abandonner.... Je t'aime et je n'ai pas l'intention de te faire passer derrière mon travail ou quoique ce soit d'autre parce que tu es la personne qui compte le plus pour moi.
Je sens que sous l'effet de mes caresses, qu'il se détend
Fab : je vais faire quoi moi en attendant ?
Chris : je sais pas... Réfléchis pendant le déjeuner... Tu as deux heures de libre
Fab : mouais...
Chris : on descend ?
Fab : d'accord...
En arrivant dans le salon, nous constatons que Sébastian à dressé la table et qu'il est dans la cuisine entrain de réchauffer le plat
Chris : tu changeras jamais toi?
Il se retourne.
Seb : non ! Et c'est bientôt prêt ! Vous tombez à pic.
Fabrice esquisse un sourire timide
Chris : à parfait !
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