Emil ouvrit les yeux dans le corps de l'Existence. Mais il ne se trouvait pas dans le vide. Il était allongé sur un lit. Il ressentait de la gravité. Ses cornes-bois étaient bien plus petite, s, et ses cheveux tréssés.

Ce n'était absolument pas un rêve. Il ne savait pas comment, mais il en était sûr.

Il observa la pièce dans laquelle il était. Celle-ci possédait, en plus du lit, un bureau et une armoire. Le mur dèrrière le lit et celui d'en face étaient des mirrois, donnant l'impression que la pièce sétirait à l'infinie. En temps normal, il aurait été mal à l'aise par cette pièce, plutôt petite, et ses mirroirs, mais il était détendu. En fait, il se sentait chez lui.

Il se dirigea vers l'armoire et l'ouvrit. Elles était pleine de tenues en tous genre. Il attrapa une tenu particulièrement étrange. Il s'agissait d'un ensemble constitué d'un ensemble de nombreuses pièces d'une sorte de tissu particulièrement léger et agréable au touché. Du blanc au bordeaux en passant par du bleu très pâle et du bleu roi, les couleurs des étoffes étaient particulièrement variés. Et malgré cette variété, l'ensemble ne donnait absolument pas l'air bariolé. En fait, la tenu donnait une sensation de calme, de sérénité, de grâce, de confort, et de noblesse. Certaines pièces, notamment les manche, étaient surdimensionnées, et touchaient le sol. Une sorte de voile sur les hanche cachait une partie de ce qui ressemblait à une salopette moulante. Les flancs de l'être étaient exposés à l'air libre, tout comme ses épaules et la base de son cou, quelques très fine bande de tissus retenant tout juste l'avant et l'arrière de celle-ci. Le reste était de simples voiles, plus ou moins long, qui venaient s'ajouter à cette base.

"Un savant mélange entre une tenu de tout les jours et une tenu d'apparat... Une tenu d'apparat de tout les jours, alors ? pensa Emil."

Ainsi vêtu, il s'était regardé dans le miroir, faisant la liste de tout ce qui avait changé par rapport à son rêve.

Il avait d'abord très vite remarqué que sa vision à la troisième personne n'était plus aussi efficace. En revanche, sa vision "normale" était sans faille: Emil pouvait observer à sa guise chaques détails de chaques particules se trouvant autour de lui. Mais ce qu'il trouvait étrange, ce n'était pas de pouvoir voir et compter sans problème les atomes d'hydrogène, ou de remarquer les imperfection de certaines molécules de CO2, ni même qu'il faisait tous cela sans effort ou que sa vue n'était que plus précise grâce à ces détails. Non, ce qui le perturbait, c'est qu'il avait l'impression de vivre ainsi depuis toujours.

Se reconcentrant sur l'observation du corps de l'Existence qu'il occupait actuellement, il remarqua tout de suite sur son visage une marque qu'il connaissait bien: une sorte de vaguelette que l'on pouvait facilement prendre pour une très vieille cicatrice, juste en dessous de l'œil gauche. Elle commençait près du nez remontait avant de redescendre légèrement et finissait par rejoindre le coin de l'œil. Même, forme, même apparence. Tout ce qui changeait, c'était sa couleur, le même orange qu'il avait déjà remarqué sur certaines zones de sa peau pendant ses rêves.

En parlant de peau, il remarqua qu'il ne brillait plus. Elle n'était plus aussi blanche non plus, ressemblant plus à la peau humaine, bien que toujours très claire. Les zones orangée étaient quant à elles devenus un peu plus brune.

"Mince, je ressemble plus à une étoile ! pensa-t-il avec amusement. Si j'avais couru, j'aurais pu être une étoile filante, dommage."

Il se mit à rire tout seul. On aurait pu le croire schizophréne. Peut-être l'était-il un peu. Mais il avait très vite arrêté de rire. Il avait senti une présence, où plutôt des centaines. Des personnes l'avait entendu et regardaient dans sa direction, il en était sûr, sans savoir comment ni pourquoi.

---

Plus loin, quatre personnes s'étaient mises à courir.

"Loki, ralenti ! Ça sert à rien de courir ! avait hurlé un homme magnifique aux cheveux blonds.

_Tu peut toujours parler Popol ! Si Arti te retenait pas, tu serait déjà la bas depuis un bout de temps ! avait alors répondu un homme aux cheveux noirs en batailles.

_Pour toi, c'est Artémis ou Diane ! avait crié avec hargne une jeune femme dont les long cheveux également noirs étaient constélés d'argent. Et pour info je te trouve pas très futefute pour un dieux malin. Non mais sérieux, tu sais très bien que je suis la seule parmi nous à pouvoir ouvrir la porte!

_Ouais, enfin, normalement tu aurais du le localiser il y a déjà presque 10 ans."

Face à cette remarque, Loki et Artémis s'arrêtèrent pour hurler en cœur un magnifique "la ferme" à leur camarade. Reculant et tournant la tête de droite et de gauche en espérant trouver une échappatoire, le blond remarqua au loin un garçon en train de courir aussi vite qu'il le pouvait dans la même direction qu'eux il y a une seconde.

"Pouce ! C'est pas un guide, là-bas ?"

Artémis plissait les yeux alors que Loki regardait à travers un cercle formé par son pouce et son index.

"Si, t'as raison. Mais pourquoi il cours dans cette direction? Les bloc des nouvelles âmes sont de l'autre côté, avait commencé la première.

_Moi je me demande surtout pourquoi il est essoufflé, dit le second. C'est une âme, il a pas de corps, il peut pas être fatigué ! Franchement, les âmes humaines sont vraiment trop bizarres. Surtout les attés. Ils ont du mal à s'habituer en général.

_Là t'es pas cool Loki. Tu sais très biens que ça n'a rien à voir avec ça. C'est juste parce que ça fait trop longtemps que Prophèt à disparu, même les touts puissants commence à faiblir. Regarde Univers, il a l'air super vieux !

_Il a pas l'air, il est super vieux. Nuance.

_Mais on s'en fou, tu m'a très bien compris !

_Et toi tu es trop susceptible !

_Au moins les gens connaissent mon existence !

_Je suis connu aussi je te signal ! Il reste même des personnes qui me vénèrent, même si ça n'a rien à voir avec avant. Je suis pas sur que tu puisse ne dire autant.

_Quoi !? Je te signal que je suis...

_Totalement immature, le coupa Artémis. Et toi aussi Loki, alors ne rigole pas !

_Aoutch... Ça tire à flèche réelle. Sinon, t'as pensé aux fusils ? Il sont très efficaces de nos jours.

_Une arme divine ne s'échange pas pour un vulgaire fusil ! cracha en retour la femme, indignée. Et je te signal que mon arc est toujours mieux que leurs fusil. La technologie du monde originel n'est pas encore assez développée. N'oublie pas qu'on est presque des tests. Par contre, dans l'U-37/21, je t'ai tiré dessus depuis l'autre bout d'univers.

_Alors c'était toi !? Mais tu sais que ça m'a fait super mal ! Une douleur qui réussi à traverser 36 Univers c'est pas rien ! Mon corps entier a du se reconstruire là-bas....

_ Je sais, c'était le but. Ah mais je reconnais ! C'est Mika !

_Mika? Genre comme Mikael? avait crié joyeusement Apollon."

Avec un sourire d'enfant, ce dernier avait alors sprinté en direction du dénommé Mikael, et l'avait ramené tout aussi vite vers sa sœur et son ami.

Ami qui avait peur de mourir prochainement.

"Arti...

_Artémis, corigea la jeune femme insensible au ton  pitoyable de Loki.

_Arti, je suis mort. J'ai insulté Mika devant Popol sans le savoir....

_J'avais remarqué.

_Prête moi une flèche.

_Non. T'as dit que c'était nul les arcs.

_Je compte m'en servir comme poignard.

_Alors là, même pas en rêve ! Le sang divin, ça part jamais totalement, je veux pas avoir le tiens sur une de mes flèches.

_...

_Loki.

_Oui ?

_Repose en paix."

Alors que le blond était revenu, accompagné, ou plus exactement traînant derrière lui, d'un garçon d'une dizaine d'années à vu d'œil, il avait dit à Loki qu'il était pardonné pour cette fois.

"Mais pourquoi t'es essoufflé comme ça Mika?

_Je....venais...de co-commencer.... Fffu... Une séance d'exercices.... En mode humain. Je suis bloqué jusqu'à T-M2232 16h.

_Attend... T'as pris 5h de sport en mode humain ? Alors que vu comme tu court, l'âme qui t'as été attribué viens d'arriver ?

_6h de sport. Et mon protégé ne devait pas arriver avant encore 80 ans minimum. Ça devait être une âme centenaire, mais actuellement, elle a seulement 20 ans.

_C'est étrange..., dit Artémis. Le système ne peut pas se tromper, il est infaillible, affirma-elle les sourcils froncés. Mais dit moi, pourquoi tu court dans cette direction. La seule âme qui puisse se réveiller, par là-bas, c'est Prophèt. Et Prophèt n'a pas besoin de guide.

_Grand dieux  non ! s'exclama-t-il alors que les trois dieux grimaçait.

_Je t'en supplie, ne prie pas à côté de nous ça fait un mal de chien.

_Oui, pardon, j'ai pas fait attention. Mais non, mon âme n'est pas Prophèt. C'est Amélia/Emil, né Dupont, mort Baxer. Mais il n'est pas encore Baxer, son marriage n'est que dans encore un mois environ. Mais il y a encore plus étrange: il n'est pas mort. Et il se trouve actuellement dans la chambre de Prophèt."

Un long, très long silence suivi. Ce fut Loki qui reprit la parole, sérieux, contrairement à son habitude.

" On devrai y aller alors. Plus vite on aura nos réponses, mieux ce sera."

Tous avaient acquiescé. Et ils avaient repris leur course, bien plus sérieux qu'au départ

---

Emil était terrorisé. Terrorisé par l'euphorie et la joie qu'il ressentait. Ce n'était pas ses sentiments, et il en était pleinement conscient. Au fur à la mesure que le temps passait, ce sentiment devenait plus fort, plus vif. Et d'autres sentiments, bien plus familier sans qu'il ne sache l'expliquer grandissait en même temps: de l'angoisse, de la tristesse et de la frustration.

Ces derniers lui firent penser à Kabel. Il devait être mort d'inquiétude. N'ayant pas le souvenir d'avoir souhaité s'endormir, il se doutait qu'il avait dû tomber dans les pommes, chose qui ne s'était plus produite depuis ses fiançailles. Il espérait se réveiller le plus tôt possible auprès de Kab.

Pour le moment, il cherchait unr porte de sortie, ou au moins une cachette dans la chambre. Il était persuadé que où qu'il soit, quelqu'un viendrait le chercher. Et il ne savait pas si cette personne serait un ami ou un ennemi.

Malheureusement, aucune porte n'était visible, l'armoire était bien trop pleine, et il ne restait plus que le dessous du lit. Or, ses traumatismes risquaient de se réveiller s'il s'y glissait, et Kabel n'était pas la pour le rassurer. Il était seul dans un milieu inconnu.

Ce fut à ce moment qu'il entendit vaguement des voix derrière les murs de la pièce. N'ayant plus le temps d'hésiter, il se glissa sous le sommier et tendit l'oreille. Une femme, probablement jeune au son de sa voix, semblait gronder, ou avertir peut-être, quelques personnes.

"... on est d'accord ? Je vous jure que si vous respectez pas ce qu'on a décidé, je vous tue. Surtout toi, je sais que tu te crois encore plus irrésistible que mon frère, mais je me ferais une joie d'avoir une bonne excuse pour t'étriper.

_Oui m'dame! Bien compris !

_Allez frangine, ouvre, dépêche toi !

_Popol, tait toi ! Et Diane, t'inquiète pas, tout va bien se passer."

Le silence qui suivi se prolonga quelques secondes. Un cliquetis se fit entendre, puis les contours d'une porte apparurent comme par magie. Un porte qui s'ouvrit sur une paire de botte montante et trois paires de baskets. Le jeune homme se ratatina d'avantage sous le lit.

---

Il n'y avait personne dans la chambre.

"Il est où ? demanda Apollon.

_J'en sais rien. Mika, Emil est toujours localiser ici ?

_Une seconde, Di, je vérifie.... Oui, Amélia/Emil, né Dupont, localisation, chambre originelle O-000, actuellement immobile."

Il y eu un silence pendant lequel ils se regardèrent, puis Loki se dirigea vers l'armoire qu'il ouvrit. N'y trouvant rien, il se dirigea vers le lit, et se mit à quatre pattes pour regarder en dessous.

Emil qui respirait difficilement entre l'angoisse du lit et la peur d'être découvert fixait les yeux bleu qui l'avait débusqué. Une soconde plus tard, il hurlait presque.

"Loki ?! J'ai été kidnappé par un acteur ?! Mais vous êtes fou ou quoi ?!"

Sortant vite de l'espace plus que réduit dansl lequel il se trouvait, il dévisageait le dieux qui n'avait pas l'air de comprendre grand chose.

"Alors... Je suis bien Loki, je suis suffisamment beau pour être acteur, mais je suis un dieu. Et les gens croyants en moi étant de moins en moins nombreux, il serai idiot que je gaspille la puissance nécessaire à une humainisation.

_Je suis où ? Qu'est ce que vous m'avez fait ? Et vous êtes qui ?"

Personne ne semblait comprendre. Mika rompit le silence qui s'était installé en posant la question silencieuse de tous.

"Tu ne te souviens pas ? De rien ?

_Me souvenir de quoi ? De comment quatres fous dont un gamin de 10 ans m'ont enlevé ? Mon fiancé doit être mort d'inquiétude. Ramenez moi chez moi... Ou au moins dite moi comment faire !

_Attend Prophèt... C'est une blague ? demanda Artémis en espérant qu'elle avait raison.

_Prophèt... C'est nom, c'est ça ? Je me souviens l'avoir entendu dans un rêve."

A ce souvenir, il se regarda dans un des mur miroir et fronça les sourcil avant de demander, purement et simplement curieux:

"Comment vous avez fait pour me mettre dans le corps d'un personnage de rêve ? Et comment vous avez fait pour deviner à quoi il ressemble. Mes croquis sont restés à mon travail, et je doute que vous soyez aller les chercher. Et ça n'expliquerakt pas le réalisme, et le fait que je n'ai aucune sensation d'être dans un costume."

Les trois dieux et le guide se regardèrent, perturbés, et Artémis demanda à Apollon d'utiliser ses dons médicaux pour voir le problème. Emil, qui les entendait parler entre eux comme s'il n'était pas là s'était éloigné le plus possible dans un coin de la pièce. Apollon se tourna vers lui et s'approcha lentement, comme il l'aurait fait avec un animal sauvage apeuré.

"Mec, je t'en supplie, arrête ! C'est un humain, pas un lièvre ! Ta sœur détain sur toi ? dit le dieux farceur alors que la chasseresse lui collait une claque derrière la tête. Aïeeee...

_Bien fait. Mais il a raison, c'est encore plus flippant que si tu lui avait sauté dessus. Pour un dieu de la lumière, t'as pas beaucoup d'idées lumineuses."

Le blond soupira. Il avait perdu le soutien de sa jumelle et de son ami qui préféraient tous deux se moquer de lui. Se tournant de nouveau vers le petit être apeuré. Lui souriant, ses yeux bleu devinrent argentés.

"Je veux juste voir si tu as été blessé d'une manière ou d'une autre. Tu permet ?"

Il avait tendu les mains et s'était arrêté à un me trentaine de centimètre de Prophèt/Emil. Celui-ci, toujours méfiant, avait toutefois arrêté d'essayer de fuir ces fous. Apollon, doucement, avait alors frôlé la peau de l'Existence, de haut en bas, notant chaque détail. Ses yeux faisant de même, il grimaçait.

"Artémis. J'ai failli prier."

La déesse avait levé un sourcil. Son frère était d'une concentration sans faille lorsqu'il le fallait, et pour qu'il dise cela, il fallait que la situation soit grave.

Seulement, elle ne voyait pas de problème, même si elle avait demandé à Apollon de vérifier. Prophèt n'avait pas de blessures physique, son don pour la chasse le lui affirmait. Quant aux blessures psychologique, Prophèt, et l'âme qui hérite chaque fois de sa vie et de ses souvenirs, y était quasiment insensible. Il aurait fallu être torturé dans la jeunesse ou peut-être monté sur le champs de bataille, pour être suffisamment touché pour en ressentir un quelconque effet. Et elle souhaitait de tout son cœur qu'aucune âme sous sa protection n'ai eu à souffrir à ce point, et c'était d'autant plus valable pour l'Existence et ses héritiers, qui étaient comme des frères et sœurs pour elle.

Elle attendait donc, en silence, le verdict de son frère.

Le dieux des arts tenait à présent entre ses mains le visage de Prophèt. Dès qu'il avait commencé à osculter son patient, le frôlant à peine, il avait senti les réflexe de recul de l'âme. Aucune blessure physique, il en était sûr, et sa sœur aussi probablement. Mais il savait aussi qu'il avait devant lui une âme sévèrement blessé.

Les barrières et la force mentale de l'Existence étaient énormes. Comment aurait-Elle pu créer tant de choses sinon ? Comment aurait-Elle pu survivre à la solitude pendant des milliards de milliards d'années. Et comment aurait-Elle pu s'adapter si facilement au cours de ses réincarnation. Passer de la bactérie à l'être humains, en passant par la tortue ou le griffon, ce n'était pas de tout repos, pour sûr. Et chaque fois, rendue plus forte par sa vie précédente, l'Existence avait relevé avec brio sa mission: veiller sur tout et tout le monde, le tout sans être découvert.

Ces barrières mentale étaient aujourd'hui un problème de taille. Il devrait les forcer en douceur, et bien qu'un des pilliers de la médecine, il était très loin d'être le meilleur. Aujourd'hui, bien des divinités curieuses, comme Hermès par exemple, était plus au courant que lui des dernières méthodes chez les humains ou créatures similaires. Ici, sont don était sa seule aide. Se concentrant de toutes ses forces, expirant le maximum d'air de ses poumons, il ferma les yeux et cola son  front contre celui d'Emil.

Et le peu qu'il pu voir ne lui plût pas le moins du monde.

_________________________

Voilà, un chapitre.

Tant de chose à y mettre. J'aurais voulu continuer, mais si je fait ça, j'arriverai à au moins 6 000 mots.

J'aime autant vous faire deux chapitres un peu plus longs que d'habitude.

Bref. Vous avez remarqué que j'ai mit bien plus de temps que d'habitude à poster et c'est normal.

Si vous lisez les commentaires, vous savez peut-être que je suis en bac pro, et je suis actuellement en stage. J'ai donc beaucoup moins de temps, beaucoup plis de choses à faire, je reprend aussi le sport, il va falloir que je me fasse vacciner le plus tôt possible, tout ça, tout ça.

En gros j'ai d'autres priorités quoi.

Maus promo, je vous oublie pas, j'essaye au max de publier au moins un chapitre par semaine (même si je galère 😂😅).

Donc bah.... Voilà.

Comme d'hab, donnez moi votre avis, remarquez les fautes, et tout et tout, je corrigerais au plus vite.

Et su c'est nul dites le aussi, j'ai pas d' amis, ça m'occupe.

Voilà, Loki Luke, (cette blague tourne en rond dans ma tête, même si elle est trop nulle, je suis DÉSOLÉE) et à la semaine prochaine.

Bye !