Chapitre 45 : Le départ
Bonjour tous le monde !! Presque 1000 vue et plus de 100 vote, c'est énorme !! Merci beaucoup a tous pour votre soutient, ça me touche :') (On va pas parler des plus de 1400 commentaires... N'est ce pas Kim ? XD)
Et sinon, petit nouvelle : Je me suis amusé a travaillé sur une nouvelle couverture pour l'histoire ! Je n'avais pas d'idée de dessin alors j'ai fait des logo et je voudrait votre avis, j'en ais fait beaucoup trop x) Donc voici :
Idée 1 :
Idée 2 :
Idée 3 :
Idée 4 :
Idée 5 :
ça s'était les idées nuls XD Maintenant passons au meilleurs !
Idée 6 :
Idée 7 :
Idée 8 :
Idée 9 :
Voila, merci de donner votre avis et désolée du spam d'image XD Sur ce, bonne lecture~ !
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La lune avait beau briller de mille éclat ce soir-là, personne ne pouvait la voir, car sa lueur était cachée à cause de nuages gris. Les même épais nuages gris qui assombrissait le cœur de Florentin cette nuit-là. Tellement de questions tournait dans sa tête et si peu de réponses était présente, il devait faire un choix, mais il détestait ça. Encore plus les choix cruciaux. Et choisir entre deux de ces meilleurs amis et l'amour de sa vie...c'était un choix crucial. Assit sur le canapé, d'une maison devenue beaucoup trop grande, trop vide et trop silencieuse pour lui, il réfléchissait. Depuis peut être une heure, ou deux, il ne savait pas vraiment combien de temps il était là : les piles de l'horloge mural étaient vides depuis déjà longtemps... La décision la plus évidente a ces yeux était de ne rien choisir et d'abandonner, mais il ne voulait pas agir tel un lâche, même si l'envie était grande. Depuis plusieurs mois, déjà, le jeune scientifique était le seul habitant de cette maison fantôme. Laurine, Mathieu et Rollan l'avait tous les trois abandonnés pour prendre des chemins bien différent. Ils avaient tous choisit, tous sauf le dernier homme qui n'avait pas encore quitter cette demeure. Le court de ses pensée fut interrompue par une vibration de son téléphone. Il ne restait que 15% et l'objet demandait à recharger ces batteries. Le brun se leva alors pour se diriger vers la cave, son laboratoire de recherche, l'endroit où il passait le plus clair de son temps ces derniers mois. Une fois les escaliers descendus, sur son bureau il trouva son chargeur déjà brancher à une multiprise. Il y brancha son téléphone et s'asseya devant, la tête posée sur sa table de travail, il attendait que cette nuit interminable se finisse enfin.
Le lendemain, le scientifique fut réveillé par des coup de poing assez violant contre une porte, ces bruits étaient tellement violant qu'il en tomba de sa chaise sur laquelle il avait passé la nuit. En frottant son front endoloris par la chute, il ouvrit enfin la personne qui martelait la pauvre porte en bois. Son amie, la deuxième scientifique, se tenait devant lui.
Carla : Qu'est ce que tu fais encore ici ?!
Florentin : Hein ... ? Demanda le brun aux yeux rouge, encore fatigué.
Carla : Tu n'as pas reçu mes messages ? Je t'en ais envoyé toute la nuit mais tu n'as jamais répondu !
Florentin : Désolé, je dormais donc je n'ai pas reçu les notifications.
Carla : Aucune importance, allez viens !
Elle le prit par la main et le força à avancer.
Florentin : Quoi ? Mais où ça ?!
Carla : A la gare, idiot ! Tu vas quand même dire « au revoir » et « bonne chance » à Laurine, même si vous êtes en froid.
Il se rappela enfin que le grand jour était déjà arrivé, Laurine partait se battre et il ne pouvait rien y faire. Il savait bien qu'ils risquaient encore de se disputer sur son choix mais il savait également qu'il ne pouvait pas laisser sa petite amie partir sans même lui dire au revoir. Alors, il se résolu à suivre Carla.
De nombreuse personne était présente à la gare, tous des soldats d'Imperium Psy. De moins en moins de civils se déplaçaient près des zones de conflits, donc les gares et les aéroports se vidaient de plus en plus. Chargé de son sac contenant un minimum d'affaire personnelle, Laurine était prête et déterminé à suivre sa façon de penser jusqu'au bout.
Florentin : Alors... ça y est...
Laurine : Oui, désolée mais je veux et je vais y aller.
Florentin : Oui, après tous tu fais ce que tu veux de ta vie...Mais s'il te plait...Fait attention a toi... Répond-il, le regard triste mais en essayant de cacher ces larmes.
Il fut étonné de recevoir un câlin de la blonde, lui qui avait l'habitude de la consoler, aujourd'hui c'était elle qui le consolait.
Laurine : Je te promets qu'il ne m'arrivera rien, tu sais bien que je sais me défendre !
Florentin sourit un peu et serra ces bras autour de Laurine pour prolonger l'accolade.
A côté, Kévin et Carla regardait la scène, l'un ému, l'autre neutre.
Kévin : Ils sont trop mignons ! On se fait aussi un câlin d'au revoir, Carla ?
Carla : Tu sais bien que je ne fais jamais ça en public ! S'indigna la scientifique.
Sans même avoir son accord, Kévin se mit à enlacer son amie qui se retint de lui donner un gros coup de poing. Les secondes s'écoulèrent et Carla lui renvoya enfin son accolade.
Carla : Prend soin de toi, crétin heureux. Dit-elle enfin avec un air triste dans la voix.
Kévin : Comme toujours ! S'exclama Kévin, un grand sourire aux lèvres.
Quelques minutes plus tard, le train était prêt à partir et tout le monde avait rejoint ces sièges. Accoudée a la fenêtre, Laurine fit un dernier signe d'au revoir à ces amis pendant que le train quittait la gare. Maintenant plus rien ne pouvait stopper le court du temps, l'acte final allait bientôt commencer et tous le monde s'en doutait.
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