Chapitre 26 : La dispute
Moi : Euh...Je résout le mystère du chocolat disparut !
Florentin : Ne me prend pas pour un idiot. Depuis que Rollan est parti tout le monde sait que c'est lui qui volait les chocolats.
Moi : Oh, c'est vrai...
Florentin : C'est quoi ces cassettes ?
Moi : Bon, je vais te dire la vérité mais ne t'énerve pas. Je les ais trouvée dans la chambre de Rollan et j'étais curieuse de savoir ce qu'il nous cachait.
Florentin : Mais je rêve ! Déjà tu viol l'intimité de notre ami, ensuite tu utilise mon lecteur sans me demander la permission !
Moi : D'habitude ça ne te dérange pas que j'utilise tes affaires, tu es juste en colère car j'ai fouillé dans les affaires de Rollan.
Florentin : Oui, car c'est notre ami et il ne faut pas toucher aux affaires de son ami lorsqu'il part loin.
Moi : « Notre ami », tu parles...
Florentin : Quoi ?
Moi : Il nous cache tellement de trucs, il se barre sans même penser a nous. Tu appelles ça un ami ?
Florentin : Il fait ce qu'il veut de sa vie, ce sont ces choix ! Et si tu n'es pas capable de comprendre ça c'est peut-être que tu n'es pas vraiment son ami. Mais en tous cas je t'interdis de commencer à insulter mon meilleur ami, comprit ?
Moi : Eh ben voilà, on ne peut jamais rien dire sur lui. Tu prends toujours sa défense ! Je déteste quand tu fais ça !
Florentin : C'est normal que je prenne sa défense, c'est mon meilleur ami, je le considère comme mon frère ou mon héro !
Moi : Tu aimerais que j'agissent comme lui et que je te cache des choses ?!
Florentin : Bien sur que non mais tu n'es pas comme lui ! Tu n'arrives pas à comprendre, bon sang ! Arrête de jouer les idiotes pour une fois !
Moi : C'est moi que tu traites d'idiote ?! Alors toi que tu suis et croit Rollan aveuglement sans même te dire qu'il agit très bizarrement parfois ! Tu es aussi désespérant que Mathieu. Tu...TU ME FAIT CHIER PUTAIN ESPÈCE DE D'IMBÉCILE !!!
Une fois que j'avais prononcer ces mots, je les avais directement regrettées. Je n'avais jamais été aussi direct et dur avec lui et sa se voyait à sa réaction : il semblait à la fois choqué et énervé. Il ramassa les cassettes que j'avais laissé trainer par terre et se dirigea vers la sortie de la chambre.
Florentin : Si je te fais chier, peut être qu'on ne devrait pas être ensemble.
Son coté excessif m'embêter encore plus ! Mais je ne pouvais pas vraiment lui en vouloir, tous le monde était sur les nerfs à cause de Rollan...Je commença à sentir la culpabilité montée en moi et je fonçai en dehors de la chambre pour le retrouver ! Mais il était déjà trop tard, il était parti je ne sais ou en dehors de la maison.
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