Souvenir de Leeseo, d'Aki et interuption
Point de vue de Leeseo
- Moi, dis-je, je me souviens... De la haine. Injustifiée. Partout où je suis passé on m'a toujours méprisé. Ça à commencer à l'orphelinat, où on m'a detester pour mes marques étranges et ma manière d'attirer le maleure. Ce qu'on appel des fléaux, ils ne le voyait pas, et me detestai pour ça. J'ai appris à cacher mes marques au fil du temps, comme la douleur. On apprend à la cacher à vivre avec , elle ne parte jammais. Mes marques, j'en suis fiere, et je l'assume, c'est les gens autour de moi qui ont du mal. Quand je me bat, je les laisse ressortir, pour mon père. C'est de lui qu'elles me viennent. Mais dans la vie de tout les jours, la moitié des exorcistes me deteste pour ces marques. Un quart de l'autre veut me tuer à cause d'elle. Si le quart suivant n'existait pas, je crois que je serai devenue folle. Je me serai pas tué, j'aurai tué les autres. Je deteste cette manie des humains, de rejetter, detester, pousser à bout tout ce qu'ils ne comprenne pas. Pourquoi? Si je pouvais être seulement un fléau...
Après l'orphelinat, c'était l'école primaire. On m'y a envoyer avec les autres élèves de l'orphelinat. On m'a hait pour rien. Ils avait juste besoin d'une cible, et c'est moi qu'on a choisi. Ils y avait plus faible, plus méchant, plus moche ou je ne sais quel critère. Mais c'est moi qu'on a choisi. Pour rien. Ils l'on fait parce qu'une personne ne m'aimait pas. Elle s'appelait Suzie, et elle m'a tout de suite detester. Sans raison, juste parce que j'était sur cette terre et que je respirai le même air qu'elle. Alors, ils m'on tous detester, pour suivre son exemple. Au bout d'une semaine j'en ai eu mare. J'ai frapper Suzane, sans aucune magie. J'ai fait en sorte de ne pas la tuer, pour ne pas devenir comme elle. Et c'est moi qu'on a déclarer fautive.
Ensuite à l'école d'exorcisme, on m'a detester pour mon père. Même pas pour moi, juste parce que mon paternel était un fléau meutrier. On a chercher à me tuer pour ça. Alors oui, moi je me souviens surtout de la haine. Et de la haine j'en ressens aussi pour les gens comme ça, qui me deteteste sans raison, juste pour mon père, mes marques ou mon existence. Si un jour, je tut quelqun, qui ne sera pas un fléau je veux dire, ce sera quelqun comme ça. Voilà. A toi Aki!
Point de vue d'Aki
QUEWAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
" Heu, je... " j'écrie. "Je n'ai rien à dire sur moi"
- Mais siii, m'assure Leeseo.
"Ba... Moi je me souviens de la peure. Quand j'ai decider de ne plus parler, on m'a detester pour ça, on a éssayer de me forcer à parler, de me pousser à dire ce que je taisai. Il n'y a que très peu de personne qui se sont assise et on éssayer de me comprendre, et encore moins qui on compris direct, qui m'on regarder et dit, OK, et qui on repris leur vie en fesant comme si de rien n'était, juste en m'inttegrant de façon à ce que je puisse ne rien dire. C'est à ces gens la que je voudrai penser, mais je pense aux autres. A ceux qui m'on jugés, harceler pour ça. Et ça me poursuis dans mon choix du silence. Enfin, si ce n'était qu'un choix. La véritée, c'est que même si je le voulais, je ne pourai plus. J'ai trop peur. Alors je me tais. Au fond, je suis lache. "
Elles ne réagissent pas, car la porte s'ouvre à la volée et un éléctrissiens rentre.
- Vous voula sauvé!
- LIBEREE DELIVRER! S'écrie Enya en sortant.
- A merde, dit Tori, elle est bourée.
- Comme tout le monde sauf toi et Aki.
Leeseo sortis sans dire en revoir, suivi de Iseult. Les deux échangere leur num.
- ISEULT! Cria Ayano, ATTEND MOI! Merci monsieur, vous êtes notre héros!
Et elle couru rejoindre Iseult.
- HE LE PETIT FARFADET MALICIEUX NUMERO 1, Cria Hikari, C'EST ALASKA QUI A LE PORTABLE! TU COMPTE RENTRER A PIED?
- VOUS ETIEZ OU? Cria un mec bruns aux deux vollayeur.
- Tiens Daichi, dit Tori.
- C'est une longue histoire.
- He Aki, me cria mon frère, JE VAIS T'ENFERMER SI T'OSE REDISPARAITRE!
On se regarda tous, tous les enfemré, et on éclatta de rire.
- On se rappelle, propose Alaska, filez moi vos num!
- ALASKA GOJO TU ES MORTE! Cria un homme aux cheveux blancs, dressés sur la tête par un bandeau.
- ENYA ANIMA TU VAS MOURIRE! Cria une femme qui lui ressemblait.
- Ouais dans 7 mois.
- ...
- Je crois que c'est ce que je prefere dans le fait de savoir que je vais clamser, pouvoir le retorquer à tout le monde.
J'éclatta de rire et signa un en revoir.
- Bye! Nous lança Ayano.
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