Chapitre 6 : L'agression (Partie 1 : Enlèvement)
*Attention*
Ce chapitre contient des propos vulgaires et homophobes, ainsi que des mentions de violence pouvant choquer l'âme des plus sensibles.
Je préviens afin que les âmes sensibles voient si elles décident de s'abstenir ou non !
Bonne lecture à ceux qui souhaitent !
Pour les autres, un récap sera fait en fin de chapitre, même si j'espère que vous lirez une partie de l'histoire.
* * *
Le jour du drame, dans les souvenirs de Marc :
Je sortais du collège, quand c'est arrivé. On connaissait l'engouement de Chloé pour ce qui est de nous maltraiter, mais cette fois-là on ne s'est douté de rien...
Je venais de finir les cours et ma mère m'avait demandé de la rejoindre à son travail, mais... Je mentirais si je disais que je n'aurai pas préféré rester avec Nathaniel...
Le pauvre, depuis que l'histoire avec Chloé avait commencé, il n'allait vraiment pas bien et sa classe n'aidait pas, surtout Chloé, mais je ne savais pas vraiment quoi faire pour l'aider... Au début, je voulais lui proposer de demander un changement de classe, mais j'ai laissé tomber l'idée, comprenant qu'il ne serait pas mieux dans une autre classe, peu importe laquelle... Et idem pour moi, malheureusement... Merci Chloé !
J'ai jeté un dernier regard au collège, en pensant à la dernière fois que l'un de nous s'est faits Akumatiser : cette fois-là aussi, j'avais laissé Nath seul avec sa classe et il s'était fait Akumatiser en Dessinateur. Je me rappelle qu'il avait passé l'après-midi à me chercher dans Paris, avant de me trouver et de s'écrouler dans mes bras, en pleur... Le pauvre, semblait détruit de l'intérieur, complètement anéanti, et on a eu du mal à le convaincre de renoncer au pouvoir du Papillon sans le blesser.
C'est depuis ce jour que j'ai peur à chaque fois que je dois le laisser seul...
Je soupire, me détourne du collège à contre-cœur et commence à partir. Je n'ai pas eu le temps de faire 10 pas que quelqu'un m'a attrapé le bras. J'ai d'abord pensé qu'il s'agissait de Nathaniel ou de quelqu'un du collège venu me rattraper, mais, avant que je n'aie le temps de me retourner, la personne m'a mis un sac de toile sur la tête, me cachant la vue, et j'ai comprit qu'on était en train de m'agresser. J'ai voulu crier et me débattre, mais mon agresseur m'a saisi les deux mains pour me les attacher dans le dos et une autre personne m'a plaqué quelque chose sur la bouche par-dessus la toile, étouffant les sons que j'essayai de faire sortir.
Ils m'ont saisi et ont commencé à m'entrainer avec eux. Ils étaient au moins 2... Non, je compte une main en plus et j'entends trop de voix différentes... Plus de 3 ? 4 ? 5 ? Une dizaine ? Comment dire à quel point j'ai eu peur...
Je me suis fais entrainer sans pouvoir faire quoi que ce soit, complètement désorienté, et m'ont installé à l'écart du collège, dans un lieu sinistre, froid et sombre. Je suis resté dans cet endroit effrayant pendant une durée que je ne saurai estimer, dans la peur et le silence, à me demander ce qu'il allait advenir de moi. J'étais en train de perdre l'espoir de sortir d'ici, quand j'ai pensé à Nath et que des larmes me sont montés aux yeux... Non ! Hors de question que notre histoire se termine comme ça, sans avoir vraiment pu la commencer !
Sans pouvoir m'aider de mes mains ou de mes yeux, je me suis relevé, chancelant un peu, et j'ai essayé de m'enfuir, mais, n'y voyant rien, je me suis vite fait rattraper.
Je me suis fait attraper par deux mains fermes au niveau des épaules, mais mon geôlier me calma avec sa voix, étonnement, douce :
- Eh, où tu vas, Petite Pédale ? demanda-t-il, sur un ton calme et amusé, sachant très bien que je ne pourrai pas répondre.
Il m'a encouragé à me rasseoir, mais j'ai lutté de toutes mes forces en poussant des petits gémissements de peur et de douleur. Il a desserré sa prise, comme si son but n'était pas que je me fasse mal.
- Purée, ce que t'es chou ! s'exclama la jolie voix de mon geôlier.
- (Quoi ?)
- Ne t'inquiète pas, je ne te ferai rien !
Je ne comprends rien de ce qu'il est en train de se passer, mais sa voix est étonnement rassurante, alors je le laisse me pousser doucement. Il m'a gentiment encouragé à me rassoir, ce que j'ai fait sans opposer de résistance. Il était doux dans ses geste – pas comme les brutes de plus tôt – et calme dans ses mots. Et sa voix... Il avait une voix douce et chantante, comme quelqu'un qui avait l'habitude de chanter, et sonnait comme la plus belle des mélodies !
Perdu dans mes pensées, une petite tête rousse vient se glisser au milieu de mes interrogations ! J'essaie de parler, mais le bâillon m'en empêche. Je finis quand même par sortir, d'une manière étouffée :
- Nafanié...
Mon geôlier a immédiatement changé de ton, en me répondant :
- Ton p'tit ami ? Il arrive...
Cette simple phrase m'a immédiatement redonné de l'espoir. Nath arrive et tout ira mieux ! Le simple fait de me dire que mon copain allait venir me sauver me rendit tellement heureux que je n'ai pas remarqué que le ton de mon gardien était devenu froid et sec sur ses derniers mots.
Le temps est passé doucement et chaque seconde se faisait plus longue et douloureuse que la précédente... Au bout d'un moment, j'ai cru perdre espoir à nouveau... puis des cris se sont fait entendre au loin...
Je ne comprenais pas clairement, mais au ton de la voix il était simple de deviner que celui qui criait était enragé. Au bout d'un moment, j'ai réussi à discerner, parmi les cris, les jurons et les insultes, une voix sortant du lot, que je reconnus aussitôt :
- Mais lâchez-moi, bande d'ordure ! Où est-ce que vous m'emmenez ? Et où est Marc ? Vous me le pairez si vous osez lui faire du mal ! Vous m'entendez !
C'était Nathaniel !
Comme rengorgé par le son de sa voix, je me redresse et essaie de me rapprocher de lui, voulant le retrouver, me blottir dans ses bras et oublier toute cette histoire comme si elle n'avait été qu'un mauvais rêve !
Le garçon qui m'avait retenu précédemment ne m'empêcha pas de me lever et de chercher à suivre sa voix, au contraire, il me guida, la main posée sur mon épaule, à travers cet endroit inconnu.
Alors qu'on avançait, je secouai la tête pour essayer de faire tomber le sac en toile que j'avais sur la tête, mais c'était mission impossible, sans mes mains. J'ai quand même réussi, à forme de m'agiter dans tous les sens, à défaire un peu la corde qui me serrait les poignets et à libérer mes mains. A l'aide de ses dernières, je suis vite venu attraper la chose qui me couvrait la bouche et je l'ai arraché.
Une fois ma bouche dégagée, j'ai pris une grande inspiration et j'ai crié son nom le plus fort possible, afin qu'il m'entende quelque soit l'endroit où il se trouve :
- Nathaniel !!!
Plusieurs cris cessèrent et je pus entendre plus clairement la voix, à la fois paniqué et rassuré, de mon copain me lancer :
- Marc ? Tu es là ? Est-ce que ça va ?
J'allais lui répondre, mais on m'a poussé brusquement en avant. J'ai trébuché et j'ai eu du mal à retrouver mon équilibre, ne voyant pas les obstacles ni l'environnement autour de moi. J'ai essayé d'avancer à l'aveugle, suivant juste la voix de Nathaniel, quand deux paires de mains m'ont attrapé les bras, me redressant et me trainant jusqu'aux voix de plus en plus énervé. Je ne parlais pas, j'avais trop peur pour appeler mon amoureux à l'aide. Je craignais également qu'il ne soit dans une situation pire que la mienne.
Finalement, on s'est immobilisé et on m'a brutalement retiré le sac que j'avais sur la tête. J'ai enfin pu voir l'endroit où j'avais été retenu captif : simplement une petite ruelle délabrée non loin du collège – supposition faite en entendant les bruits des élèves sortant de cours et des bus démarrant pas loin.
Mais ce ne fut pas le plus effrayant ! Mon cœur a manqué un battement quand j'ai enfin pu voir la personne qui criait, enragée, contre nos agresseurs et, comme je l'avais deviné, il s'agissait bien de Nathaniel ! J'étais à la fois rassuré de le voir et à la fois effrayé en pensant à ce qu'il allait lui arriver à lui aussi.
Quand il remarqua ma présence et que nos regards se croisèrent, je vis plusieurs émotions passer sur son visage, allant de la surprise à l'horreur, puis passant par la peur et la tristesse, car, comme moi, il savait pourquoi on était là tous les deux, avant de se finir par de la rage.
- Espèce d'ordure ! Je vais vous le faire regretter, si vous osez le toucher ! leur lança-t-il, les larmes aux yeux, avant de s'adresser à moi. Ça va ? Ils ne t'ont rien fait ?
J'ai fait « non » de la tête, mais il a vu à ma tête que ça n'allait peut-être pas durer, alors il s'est tourné vers l'un de ses agresseurs et je pus voir une marque rouge sur sa tempe quand il a commencé à cracher sur le garçon à sa droite :
- Vous allez le regretter, je vous le promets ! Osez-lui faire quoi que ce soit...
- Silence !
Le cri venait de plus loin, dans l'obscurité, mais cela ne suffit pas à faire taire Nathaniel, qui continua de crier des insultes sur nos agresseurs, alors que moi j'essayai de me dégager en douceur. J'espérai pouvoir prendre la fuite avec Nathaniel, mais la voix du garçon de tout à l'heure me fit sursauter. Je me suis interrompu pour écouter ce qu'il avait à dire, d'un air lassé :
- Bon, les gars... Vous savez ce que vous avez à faire, alors faites-vous plaisir, mais faites-le vite ! Qu'on en finisse...
J'ai tourné la tête dans la direction de la voix, espérant découvrir enfin qui est l'auteur de tout ça... mais je fus surpris et horrifier de reconnaitre le visage de ce garçon, un peu plus grand que moi, au teint clair, cheveux blond cendrés et avec des pointes bleu nuit, similaire à ses yeux... Hugo Lavillant, le grand frère de Rose, appelé Blue à l'époque où il jouait dans le groupe de sa sœur. Mais, pour une raison inconnue, il a quitté le groupe après un an...
Je l'ai fixé un long moment, ne comprenant pas ce qu'il faisait ici et ne pouvant pas croire que quelqu'un d'aussi adorable que Hugo puisse être un dangereux chef de gang qui enlève les gens pour les garder prisonnier dans une ruelle sombre... Pourtant, tout était contre lui : c'était son gang, ils lui obéissaient au doigt et à l'œil, lui-même obéissant à quelqu'un d'autre par l'intermédiaire de son téléphone...
Il nous fixa durement, Nath et moi... Enfin, quand son regard se posa sur moi et que je décide de le soutenir... Nous ne sommes plus arrivés à nous lâcher des yeux et, plus les secondes passaient, sont regard se détendait et devenait de plus en plus doux. C'était étrange et je ne savais pas quoi penser de cette situation... si je devais avoir peur ou être en colère contre lui, pleurer... Je ne savais pas !
Son visage se détendit et la froideur de son expression laissa place à de la tendresse et un sourire doux, me faisant rougir.
Un cri nous fit briser notre contact visuel. Nous nous sommes tournés vers l'auteur de ce cri, qui n'était autre que l'un des gardiens de Nath que ce dernier venait de frapper à la jambe. Le pauvre lycéen était au sol replié sur lui-même en tenant sa jambe et criant.
Nath regarda dans notre direction, provocant un peu de honte en moi. Le roux est resté bête, reconnaissant également Hugo. Il eut, comme moi, une courte phase de questionnement, avant de s'énerver :
- Bon sang, Hugo, c'est toi ? Mais qu'est-ce que tu fais là ? Et c'est quoi cette histoire ? Vous foutez quoi ici, avec nous ? Laisse-nous partir ! Tu vaux mieux que ça, tu...
- Ferme-la ! Je ne suis pas Hugo, je suis Blue ! Réfléchis à qui tu parles avant de te permettre de lui faire la morale, le pédé !
Nathaniel allait répliquer, fou de rage, mais le gars qu'il avait frappé s'est relevé et lui a envoyé un direct du gauche au visage, le faisant tomber.
- Nathaniel !!!
C'était la première fois que je parlais depuis que je m'étais retrouvé devant Nath, mais ce cri m'avait échappé. Je me suis jeté en avant, voulant me rapprocher de celui que j'aimais et l'aider, mais mes geôliers me retenaient fermement par les épaules en se moquant de nous.
Nathaniel, sonné par le coup, pendait mollement dans les bras des ordures qui le retenaient. Celui qui l'avait frappé s'apprêtait à recommencer, mais son collègue, hilare, réussit à le convaincre de ne pas « le faire tout de suite ». A la place, ils ont redressé Nath et j'ai pu voir une grosse marque rouge sur sa joue et un fin filet de sang couler de sa bouche. Je me suis débattu davantage en voyant ça, essayant de me libérer, ne pouvant supporter de voir mon chéri dans cet état, mais les deux lycéens me tenaient fermement et, me voyant m'agiter, resserrèrent leur prise sur mes bras et épaules à chacun de mes mouvements.
J'ai essayé de frapper celui à ma gauche, mais je n'ai réussi qu'à lui donner un faible coup de boule, lui arrachant un petit grognement, mais qui suffit pour l'énerver. Il leva le poing, prêt à me coller une gauche comme l'autre avait frappé Nath. Par peur, j'ai fermé les yeux, attendant un coup qui ne vint jamais.
Quand j'ai rouvert les yeux, j'ai vu Hugo retenir le poing de l'ordure, un regard de réprimande à son intention, et dire d'une voix froide et autoritaire :
- Non ! On avait dit « juste un » !
L'autre garçon a grommelé quelque chose d'incompréhensible, puis, une fois qu'Hugo l'eut lâché, reposa sa main sur mon épaule.
Paniqué par les mots du cendré, j'ai reporté mon attention sur Nath : il a relevé la tête et m'a regardé avec des yeux ronds et remplient de peur. Il venait visiblement d'entendre ce qu'Hugo avait dit... et il semblait lui aussi avoir comprit de quoi il allait s'agir...
Il lança à Hugo, paniqué :
- Hugo... Blue... Peu importe comment tu te fais appeler ! S'il te plait, laisse partir Marc ! Vous n'avez besoin que d'un seul d'entre nous, n'est-ce pas ? Alors... garde moi et laisse-le partir !
- Nath, non !
Je venais à nouveau de crier, parce que je ne pouvais pas imaginer le laisser seul. Je savais ce qu'il allait se passer et il était hors de question que je laisse pareil drame se produire !
Hugo ne porta pas d'attention à Nathaniel et commença à partir, quand mon rouquin lança la supplique de trop :
- Blue... Je t'en prie... Si tu ne le fais pas pour moi ou pour Marc, fait le pour toi !
Le cendré s'est arrêté, comme intrigué, et j'ai lancé un regard inquiet à mon copain. Je ne sais pas ce qu'il prévoit, mais j'espère que, si c'est du bluff, ça marchera...
- J'ai bien vu comment tu regardais Marc... Je sais que tu ne veux pas le voir pleurer, alors, s'il te plait... je t'en implore à genou... laisse-le partir !
Mon rouquin avait les larmes aux yeux et, en le voyant ainsi, j'ai senti mon cœur se briser. Hugo s'est retourné et s'est avancé jusque devant Nath, sous les regard surpris, interrogés et suspicieux des membres de son groupe. Il a fixé Nath de ses nombreux centimètres en plus, avec une expression neutre, et, l'espace d'un instant, j'ai vraiment cru qu'il allait accepter et carrément nous laisser partir...
C'était sans compter sur ses doigts tremblants et sa respiration accéléré, qui ne trahissaient qu'une seule expression : la peur !
- NATH ! criai-je au moment où le coup parti.
Comme je le supposais, Hugo, dans un excès incontrôlé de peur et de colère, fut le premier à faire couler une larme de mes yeux. Le bicolore, tremblant de colère, le souffle coupé, se garda bien de me regarder. Il finit par crier :
- A qui crois-tu t'adresser, sale pédale ? Crois-tu seulement mériter me parler ? Non ! conclut-il en commençant à s'éloigner. Tu ne mérites que de ramper à nos pieds en bouffant la poussière de nos empreintes !
Il s'appuya de son épaule contre le mur, pendant que ses collègues acclamaient ses propos, et nous tourna définitivement le dos. Il sortit son téléphone et reprit, comme à titre informatif :
- Et désolé, fit-il sans sincérité, mais je ne peux laisser partir personne pour le moment ! Notre... « employeur », on va dire, veut que vous soyez tous les deux présents, alors sois content que j'ai négocié pour qu'il en ait « qu'un seul de vous » qui morfle !
J'ai ouvert de grands yeux horrifiés et, comme si cela pourrait encore changer quelque chose, je me suis débattu de toutes mes forces avec l'énergie de la peur et du désespoir, en regardant celui que j'aimais avec des yeux embués de larmes. Nath m'a regardé, au début avec peur, effrayé de ce qu'il pourrait nous arriver, puis baissa les yeux, comme s'il réfléchit, et alors que nos agresseurs se rassemblaient autour de lui en faisant craquer leurs phalanges il me lança un sourire, essayant de me rassurer.
Je vis ses lèvres bouger, tandis qu'une larme a glissé le long de sa joue. Aucun son n'est sorti de sa bouche, mais j'ai pu comprendre « T'en fais pas, ça va aller », au mouvement de ses lèvres... et ce fut la dernière fois que je vis son visage avant que nos agresseurs ne se jettent sur lui et ne commencent à le ruer de coups.
* * *
(Salut les Fans de BL !
Un nouveau chapitre s'offre à vous, remplis de violence, de haine homophobe et d'amour...
Quoi ? OK, je sais que je n'y réchapperai pas...
C'est parti pour le résumé !
Ça va être assez condensé, j'ai la flemme de découper ce chapitre en étapes.
Alors, pour commencer, Marc nous rappelle la situation dans laquelle lui et Nath se trouvent. On parle de sa mère, sans plus (promis, un jour je vous présenterai comment j'imagine sa famille), et on le voit se faire agresser. Je vous le dis de suite, j'ai voulu m'inspirer de scène d'enlèvement dans des films pour créer cette scène, mais la première version était merdique, alors j'ai tout réécrit à ma sauce et je trouve que ça rend bien ! Vous en dites quoi ?
Je saute la partie où on le voit en train d'attendre en angoissant, vous avez bien vu, ceux qui ont lu, que c'est pas la joie, et je passe directement à celui que vous attendez tous : Hugo !
Les Fans des Royaumes qui passeront par là verront de suite qui il est, mais pour les autres : Hugo est un personnage que j'ai inventé et qui prend le rôle du grand frère de Rose Lavillant. L'idée de le créer m'est venu quand (je ne sais plus d'où) j'ai appris que Rose aurait dû avoir un grand frère, alors j'ai décidé de le créer ! Pour les Miraculeurs de la chronologie de base, je compte faire intervenir Hugo autrement. Les Fans des Royaumes ont un indice concernant cette intervention...
Du coup, dans cet univers là, Hugo est un lycéen un peu voyou, chef de gang et homophobe !
Du moins... c'est le genre qu'il se donne ! J'en dis pas plus...😉
Ensuite, Nathaniel intervient. Il est assez en colère, je voulais faire ressortir ce trait de caractère à ce moment-là, en rapport avec le début du chapitre qui nous résume qu'il s'est fait akumatiser il y a peu... La colère de Nathaniel se transforme quand même vite en peur quand il voit Marc, ce qui le calme un peu (juste un peu).
Certains vont me détester, mais j'ai osé frapper Nath... Je suis un monstre...
Conscience : Oh, ça va, dans d'autres fictions tu manque de le tuer !
Pas faux, mais faut pas le dire, ça spoil !
Bref, on voit le côté Dark de Blue (côté qui existe dans tous les univers que j'ai inventé, désolé) qui n'hésite pas à user de la violence pour prouver qu'il n'est pas gay.
Ah, et avant que j'oublie : cet "employeur"... rêvez pas, c'est Chloé !
Bon, j'ai tout résumé...
Afin de ne pas choquer l'âme de certains, j'ai pris la liberté de couper en deux le chapitre, de base plus long et plus violent !
J'espère quand même qu'il vous aura plu (pour ceux qui l'ont lu)! N'hésitez pas à laisser un like si vous avez aimé, ça fait toujours plaisir ! Abonnez-vous si vous aimez mon travail, surtout en ce moment que mon compte se rapproche de la barre des 100 abonnés ! N'hésitez pas à rejoindre ma petite commu !
Sur ce,Je vous fais de gros bisous et je vous dis à la prochaine pour un nouveau chapitre !😘)
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